Une sacrée famille de têtue, après tout, les chiens ne font pas des chats, ils en ont la preuve devant eux. Victoria à le même sale caractère que ses parents et Friedhelm, elle l'aime, elle veut savoir ce qu'il se passe.
Pendant que son père va se renseigner pour avoir des nouvelle, Victoria finit par accepter le plateau. Elle mange les tartines que sa mère lui prépare. Pour un peu, elle lui tremperait même dans le café, mais elle essaie de se débrouiller toute seule, même si elle à un peu de mal.

Enfin un médecin vient les rejoindre et cette fois Victoria ne laisse pas le médecin partir avant qu'il ne lui dise ce qu'il se passe avec SON chéri.
Elle demande davantage d'explications au médecin et quand il lui signe la feuille de sortie, elle ne veut pas partir avant de voir son chéri au moins 5 minutes.

Une fois que le médecin à finit de parler avec ses parent, Victoria les regarde et les écoute avant de secouer doucement la tête.
Elle regarde sa mère.

Maman, si tu étais à ma place, je sais que tu ferais tout aussi pour voir papa. Même si tu peux être choquée ou traumatisée, tu voudrais quand même le voir. Et papa ferait de même.

Alors comprends que je veux voir Friedhelm. Surtout si il ne se réveille pas. Je n'aurais même pas eu l'occasion de lui dire au revoir.

Puis elle regarde son père.

Je sais que vous ne l'aimez pas. Mais moi si et puis je veux le voir, un point c'est tout, même si vous n'êtes pas d'accord. Et si vraiment ses parents refusent encore, elle n'hésitera pas à sortir la carte « je suis majeure, je fais ce que je veux »

Comme toujours Victoria est arrivée à ses fins et elle peut allez voir son chéri. De toute façon, elle n'aurait pas voulu que ses parents entre avec elle dans la chambre, elle veut être seule avec Friedhelm.
Aidée par l'infirmière, elle enfile tout ce qu'il faut mettre par dessus ses vêtements et se lave les mains comme elle lui à montrer.
Une fois dans la salle, elle s'assied sur la chaise qu'on lui apporte et prend la main de Friedhelm dans la sienne.

Tu vois finalement ce n'était pas qu'une simple petite coupure.
Friedhelm, tu vas pas me laisser maintenant. Pas après tout ce qu'on à vécu tout les deux. Je t'aime et j'ai besoin de toi dans ma vie. Dit elle en lui embrassant la main avant de reprendre. Tu sais si tu ne te réveille pas, je retournerais avec Jay, ce n'est pas ce que tu veux, alors reviens moi, ne me laisse pas toute seule.

Victoria reste autant que possible avec son chéri et continue de lui parler. Quand l'infirmière vient lui dire qu'il faut partir, elle l'embrasse sur la joue doucement et va rejoindre ses parents.
Même si elle est à l'hôtel avec ses parents, tous les jours, elle passe voir son petit ami, même si ce n'est que 5 minutes, pour lui dire de revenir, lui dire qu'elle l'aime et qu'elle à besoin de lui.

Le jour du départ de ses parents, Victoria les raccompagne à l'aéroport et regarde son père qui lui repose une nouvelle fois cette question.

Pourquoi tu me poses la question ? Tu sais très bien la réponse.
Je reste ici avec lui. Je vous appellerais tout les jours et dès qu'il ira mieux, qu'il sortira de l'hôpital et sera en été de voyager, on viendra vous voir. Mais je ne le laisse pas.

Jusqu'à la dernière minute, Victoria ne changera pas d'avis. Même si ses parents lui manque, elle reste avec Friedhelm. L'argent que son père lui donne, au début Victoria n'en veut pas, mais elle finit par l'accepter et serre longuement son père dans ses bras en versant quelques larmes, tout comme quand elle serre sa mère.
Un dernier câlin et il est temps pour eux de partir. Victoria reste jusqu'au départ de l'avion avant de retourner à l'hôpital.

Tout les jours, elle va voir Fried, jusqu'à ce qu'il sorte du coma et la encore elle est auprès de lui. Elle retourne en Bavière avec lui et ses parents et s'occupe chaque jour de son chéri. Même si elle continue de suivre ses études par correspondance, elle ne laisse pas tomber celui qu'elle aime et veille que la belle-mère n'en profite pas pour remettre le grappin sur son homme.
Qu'il ait arrêter le sport n'est pas si mal, il peut prendre davantage soin de lui.

Le sport de Friedhelm, elle l'as toujours trouver dangereux. Qu'il ne puisse plus le pratiquer l'arrange, ça lui permet d'être davantage rassurée.
Mais tout est devenu contrainte, Victoria qui adore les manèges à sensation, ne peut plus en faire avec Friedhelm, mais ça ne l'as dérange plus, elle à apprit à accepter que son chéri ne puisse plus faire certaines choses. Heureusement pour leurs câlin, ils n'ont jamais été trop sauvage, ils font juste un peu plus doucement.

Après quelques semaines de vacances près de sa famille, Victoria revient auprès de son chéri qui lui à quand même manquer, elle est heureuse de le revoir.
Lors d'un voyage en amoureux à Paris, ils sont allez visiter le musée du Louvre et Friedhelm à commencer à aimer la peinture, au moins, ce n'est pas dangereux, à moins qu'il ne sniffe la peinture ou ne s'enfonce le pinceau dans l'oreille jusqu'au cerveau.
Comme souvent quand il veut faire une toile, elle lui sert de modèle, autant jouer le jeu.

Allongée sur le lit, elle le laisse la peindre une fois de plus, même si elle commence à avoir des crampes et voudrait bouger un peu, mais le chef à parler.

D'accord, d'accord je ne bouge pas. Enfin je vais essayer.

Il est normal que Victoria ait exploser quand Friedhelm à peint sa belle-mère nue, que ce soit pour l'exposer ou pour l'offrir à son père, elle n'as pas apprécier du tout et le leur à bien dit. D'ailleurs elle l'avait prévenu que si il recommençait, elle lui fracasserait le tableau sur la tête. Évidemment ça l'as calmer.

Comme toute jeune fille, elle à la bougeotte, elle n'aime pas tenir en place, mais pour faire plaisir à Friedhelm, elle fait son possible, surtout en sachant que le tableau est un cadeau pour ses parents.

Non mais ça va oui ?
Et pourquoi pas en faisant le poirier aussi ? Demande t-elle en lui tirant la langue.

Comme il à finit le tableau, elle se lève et s'étire avant de venir le rejoindre pour regarder le tableau. Bien sur que je veux voir ton chef d'oeuvre.

Victoria faire le poirier, elle aurait pu il y à encore quelque semaines mais plus maintenant. D'ailleurs il va falloir qu'elle réfléchisse et qu'elle se décide pour de bon. Elle sait très bien ce qu'il se passe en elle, même si elle n'en as encore parler à personnes et ne peut pas sciemment mentir à Friedhelm. Lui même comprendra très vite ce qu'il en est.
Venant le rejoindre, elle pose les mains sur ses épaules et regarde le tableau qu'il vient de peindre d'elle.
Elle sourit quand il lui demande ce qu'il en pense. Il est très joli, tu es vraiment très doué Fried. Je suis sure qu'il va plaire à mes parents. Dit elle avant que n'arrive la belle mère pour dire qu'elle à une visite. Elle se demande qui cela peut être et se dirige vers le salon mais se fait devancer par Fried qui accueille le visiteur pas très courtoisement.
En voyant Jay, Victoria ne peut s'empêcher de sourire, c'est qu'il lui à manquer quand même.

Pendant son voyage chez ses parents, Victoria avait croiser Jay à plusieurs reprises, elle à finit par accepter un dîner avec lui et pendant ces quelques jours, elle à remis le couvert avec son ex. Au début elle se sentait mal de tromper Fried, mais elle sait très bien qu'il fait de même quand il peint une nana, peut être même avec sa belle mère quand il l'avait peinte nue. Et puis Jay ........ c'est son premier amour, il est le premier homme qu'elle à aimer et même si elle avait choisit Friedhelm, Jay elle n'a jamais cesser de l'aimer.

Quand ils s'apprêtent à en venir une nouvelle fois aux mains, Victoria allait intervenir mais n'as pas le temps, elle regarde les deux hommes et pose la main sur son ventre.

Je t'avais pourtant dis de ne pas venir Jay. Que je mettrais les choses aux claires et que je reviendrais assez vite. . Dit elle avant de regarder Fried. Elle prend une grande inspiration et lui avoue ce qu'elle à sur le coeur. Depuis que tu ne peux plus faire ton sport, tu as changer et nous deux ça ne marche plus. tu le sais comme moi.
On à essayer, mais on arrive plus à être heureux ensemble. Quand je suis partie voir mes parents, je me suis rendue compte que ma vie Londonienne me manquais, qu'ici je n'étais pas bien. Je fais semblant mais je n'y arrive plus. Je ne suis pas heureuse ici.
Partir chez mes parents m'as fais le plus grand bien. Pendant mes quelques jours de réflexion, Jay à été très présent pour moi et ma vie elle est avec lui et le bébé que je porte qui est de lui.

Je suis désolée Fried, mais je te demande de me laisser partir avec lui. Si tu m'aimes encore un peu, laisse moi m'en allez. Dit elle en allant vers Jay et en se blottissant dans ses bras.

Quand elle à apprit être enceinte, elle pensait que c'était le bébé de Friedhelm, mais le médecin lui à rapidement annoncer qu'elle était déjà enceinte de presque un mois, autant dire que le bébé à été conçu quand elle était à Londres chez ses parents. Et quand elle était chez ses parents, elle n'était pas avec Friedhelm mais avec Jay, il ne faut pas être diplômée d'Harvard pour comprendre qui était le père de ce bébé.

Dans les bras de Jay, elle se sent bien, mais de l'autre côté, elle se sent mal de faire de la peine à Friedhelm. Elle sait que même si il ne lui montre pas, ça lui fais quelque chose qu'elle le quitte. Quand il lui dit de ce casser, elle hoche la tête, mais elle veut quand même récupérer ses affaires. Restant dans le salon avec Jay, elle lui demande de rejoindre la voiture le temps qu'elle aille chercher une valise.
Son chéri partant, Victoria monte dans l'ancienne chambre qu'elle partageait avec Friedhelm, elle frappe et entre.

S'il te plais Friedhelm, j'ai pas envie que ça se finisse comme ça entre nous, pas après tout ce qu'on à vécu. Dit elle fermant la porte derrière elle.

Une fois dans la chambre, elle parle à Friedhelm mais voyant que celui si est occupé avec sa peinture, elle ouvre le placard et sort ses deux valises qu'elle remplit de vêtements et d'objets personnels qui sont à elle.

Et pourquoi pas après tout ? Pourquoi tu ne me souhaiterais pas d'être heureuse, d'avoir une bonne vie ? Après tout c'est bien ce que je te souhaite alors pourquoi ça ne serais pas réciproque ?

Elle soupire et ferme la première valise.

Je pense que malgré tout je le mérite bien que tu me dises ces mots non ? Je sais tu m'en veux, mais tu aurais préféré quoi ? Que je fasse passer ce bébé pour le tien ? Que je reste avec toi alors que je n'étais plus heureuse et que toi non plus n'étais pas heureux ?

En l'entendant crier, elle relève la tête et sursaute en voyant qu'il lui braque une arme, son premier réflexe est de mettre les mains sur son ventre pour le protéger.

Mais tu es devenu fou ou quoi ? Qu'est ce qui te prend ? Ne fais pas de conneries s'il te plais et range cette arme. On est pas obligé d'en arriver à cette extrémité Fried. S'il te plais, tu me fais peur.
Ce qui me dis que tu es malheureux ? Ta façon d'agir, ta façon d'être avec moi. Depuis l'accident, tu ne te rend même pas compte qu'on ne s'aiment plus comme avant.

Elle hésite entre s'approcher ou se reculer, mais tétanisée par la peur, elle reste sur place.

C'était aussi ce que je voulais au début. Jusqu'à ce que tu changes.
Oui tu aurais pu être le père de mon bébé, si tant est qu'on auraient fait l'amour un peu plus souvent, parce qu'une fois de temps en temps désolée.
S'il te plais pose cette arme, arrête de la pointer sur moi et laisse moi partir avant que tu ne fasses quelque chose que tu regrettes, je sais que tu m'aimes encore assez pour me laisser m'en allez. Dit elle en regardant par la fenêtre aussi avant de comprendre ce que ça signifie. Jay bordel.

Victoria ne voulait pas qu'ils en arrivent là. Elle pensait qu'ils étaient assez adultes tout les deux pour se séparer en commun accord. Qu'ils se souhaitent une bonne vie et qu'ils en restent là comme deux adultes.
Tant que possible elle essaie de lui faire entendre raison, mais elle n'arrive pas à avoir gain de cause. Quand les policiers entrent en trombe dans leur ancienne chambre, elle se fait sortir de force et peut retrouver Jay et ses bras sécurisant. Elle s'y blottie encore plus en entendant des coups de feux en entendant un des policiers dire " c'est finit, il est mort " elle pleure dans les bras de son chéri, n'ayant jamais souhaiter la mort de Fried.
Mais de l'autre côté, elle sait qu'elle pourra vivre sa vie avec celui qu'elle aime et peut partir avec lui.