Vu ce qu'il vient de se passer entre eux, depuis le temps qu'ils se connaissent, oui il est temps de tenter une histoire et qui sait, malgré qu'elle ait trois ans de plus que lui, peut être bien que ça pourrait marcher et qu'il pourrait être lui l'homme de sa vie. En même temps il fallait s'y attendre, ils vivent l'un sur l'autre depuis un moment, il ne fallait plus attendre très longtemps avant que ça n'arrive. Un dernier baiser et ils se rendent dans la petite salle à manger rejoindre tout le monde. Chacun sa place, mais peut de place sous la table et souvent Elena bouge sa jambe pour ne pas avoir de crampes et touche celle de Sebastian, sans faire exprès. Mais vu qu'il sourit à ces moment là, ça ne dois pas le déranger. Les conversations sont toujours les mêmes quand est ce qu'ils vont sortir d'ici ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Les discutions étaient toujours les mêmes malheureusement mais bon il y avait pas d'autre sujet de discutions plus intéressant. Dans la cuisine la radio diffusait un petit air de musique, les femmes passait le temps a la couture et les hommes occuper à différente tâche. Dans la chambre, Sebastian regardait la neige tomber dans la rue qui transformait les trottoirs tout de blanc ainsi que la route qui de temps en temps avait des traces noir dus aux passages des voitures.

A cause de la neige, les pièces étaient plus froide et se n'est pas le petit poêle qui pouvait les réchauffés comme ils le désiraient. Le plus souvent les personnes restait au chaud sous leur couette ou s'habillait comme des eskimo. Elena et Sebastian eux avaient un moyen pour se tenir au chaud mais ils se gardaient de le dire à la famille.

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C'est vrai qu'il fait de plus en plus froid cet hiver, malgré les couvertures, malgré le chauffage, ça n'aide en rien. La seule chose qui aide les deux jeunes à se réchauffer et à ne pas tomber malade c'est faire des galipettes sous couette. Là c'est sur, ça les réchauffe tout le restant de la nuit. Mais pourtant il faudrait bien un jour en parler à leurs parents aussi. Maintenant qu'ils sont ensemble, ils ont rapprocher leur lit pour en faire un grand afin de passer leur nuit ensemble, mais si les parents venaient à le découvrir sans que rien ne sois dit, ça risque de faire des histoires. Emmitouflée sous sa couette, dans les bras de Sebastian, elle le regarde. Et quand on en parle aux parents ? Tu sais, ils ne sont pas si bête, ils doivent bien se douter de quelques chose, on est toujours ensemble.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Adosser contre le mur, la main d'Elena dans la sienne Sebastian réfléchissait à la question d'Elena. C'est vrai que tôt ou tard ils apprendront la vérité quoi que cela ne changerait pas grand chose ils ont souvent ensembles mais l'amitié avait quelque peu évoluer. Posant un baiser sur sa main Sebastian la regardait.

On leur en parlera. Mais ils faudrait trouver le bon moment. Je me vois mal leur annoncer cela de but en blanc...

Dit-il en lui souriant. La caressant, la porte de la chambre s'ouvrit s'était la mère d'Elena qui voulait demander quelque chose a sa fille. Les voyant tout les deux en petite tenue dans le même lit, elle restait surprise quelque seconde avant de quitter la chambre en silence.

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C'est vrai que leur amitié à évoluer, mais oui ils sont tout le temps ensemble. Quand Elena dit qu'elle va se coucher, étrangement Sebastian la rejoint assez rapidement, ils sortent toujours ensemble de la chambre comme si ils étaient attachés l'un à l'autre. Leurs parents ne sont pas dupe et puis si par accident ils venaient à faire un bébé ? Autant que les parents soient au courant qu'ils sont ensemble. Ça ne sera jamais le bon moment Sebastian, alors autant le faire le plus tôt possible et ne plus se …... cacher, elle voulait dire cacher mais elle s'est arrêtée en voyant la porte d'ouvrir, sa mère entrer et ressortir aussitôt. Elle soupire et regarde Sebastian. Bon ben, c'est fait, plus besoin de réfléchir, quand et comment leur dire. Dit elle en se levant et en s'habillant, elle va rejoindre sa mère dans la cuisine.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Cdosser 'est vrai que certain avait émit des doute mais ils attendaient que les deux jeunes le disent eux même où ils en étaient. Quand la mère d'Elena reparti aussi vie que elle était entré cela avait été le départ pour faire l'annonce à la famille. Quand il ut habiller, Sebastian venait à la cuisine mais laissait Elena discuter avec sa mère. Prenant une tasse il se servit du café chaud et prit place à la table de la cuisine en regardant son père qui jouait une parti de carte avec Pierre. Entendant son épouse et Elena discuter, Pierre levait son regard vers les deux femmes.

Que ce passe t-il ? Il y a un problème ?

Demandait-il alors que Sebastian restait silencieux.  

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Comme quoi leurs doutes étaient fondés. Et maintenant avec ce que la mère d'Elena vient de découvrir, il n'y aura plus de secret. Oui Sebastian et Elena sont ensemble. Est ce qu'ils sont amoureux ? Telle est la question. Dans la cuisine, Elena discute avec sa mère et finit par revenir avec elle et s'asseoir à table avec tout le monde. Non papa, il n'y à pas de problème. Mais il faudrait qu'on vous parle avec Sebastian. Dit elle en regardant son père et lui souriant. Assise à côté de Sebastian, elle glisse sa main dans la sienne.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Heydrich posait a son tour ses carte pour ne pas que Pierre triche et regardait Elena. La voyant poser la main sur celle de Sebastian il eu un sourire.

Je le savait.

Dit-il en fessant une tape sur l'épaule de Pierre.

Tu vois je te l'avais dit et tu ne m'as pas cru.

Parce que vous étiez au courant ?

Lançait Sebastian étonner.

On se doutait de certaine chose mais nous étions pas certain.

Répondit-il en regardant Pierre qui était perdu dans ses pensées.

Cela ne va pas ?

Si... c’est juste que je réfléchissait à certaine chose.

Dit-il avant de sourire à sa fille.

Je souhaite que tout ce passe bien pour vous et pour nous tous.

Dit-il avant de se levez pour se servir un café. En tout cas eux qui ne savaient comment annoncer la nouvelle a leur parent cela était fait.

La fin de l'année arrivait, et la famille fêtait ensemble Hanoucca. Avec son père Sebastian s'était glisser dans le magasin et s'étaient servit de quoi faire un bon repas tout ensemble avec au menu des latkes (galettes de pomme de terre) et des sufganiyot (beignets) cuits à l'huile. Ainsi que un bon Poulet au miel et à la moutarde et heureusement il y en avait eut pour tout le monde ! Le repas terminer et la vaisselle faite et ranger c'est à 1 heure que tout le monde se glissaient au lit pour se reposer et digérer le bon repas.

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Sa main dans celle de Sebastian, elle sourit en voyant leurs parents qui sont déjà au courant de leur relation. Elle se doutait que ses parents allaient s'en douter aussi, mais elle préférait attendre et voir par eux même. Aux paroles de son père, elle se lève et va l'embrasser, faire de même avec sa mère aussi heureuse que ses parents le prennent si bien pour eux. Les bras autour des épaules de son père, elle lui dépose un baiser sur la joue. Moi aussi je l'espère papa. Dit elle en le lâchant et en retournant s'asseoir auprès de son chéri. Un bel hanouka, même si ils ne sont pas chez eux, qu'ils ne peuvent pas faire trop de bruit, mais ils le fêtent ensemble en famille, c'est tout ce qui compte pour Elena. A la fin du repas, elle ne rejoint pas Sebastian tout de suite, d'abord elle prend le temps de se changer puis une fois en tenue de nuit, elle le rejoint dans le lit prête à dormir aussi

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Heureusement les parents prenaient bien cette relation d'ailleurs cela aurait été étonnant que ils refuse cela mais l'avantage c'est que a présent ils avaient plus besoin de se cacher. Quand ils fut dans leur chambre, Sebastian s’allongeait et faut dire que ce soir... il avait bien abuser tellement que cela était bon. Passant la main sur son ventre bien rempli il souriait.

J'suis enceinte d'un gros beignet.

Lançait-il amuser.

Mais c'était trop bon...

Dit-il en regardant Elena le rejoindre.

Et toi ça ta plus ?

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Dans la chambre, elle regarde Sebastian, elle rigole à ses paroles et venant le rejoindre, elle pose la main sur son ventre. Tu es enceinte d'environ 3 mois, à ton avis, tu va avoir une fille et ou garçon ? Demande t-elle en riant. A ça je confirme on s'est régalés. Peut être que l'année prochaine, on le fêtera chez nous. Dans une vraie maison, comme on avaient avant de devoir quitter Paris. Dans le lit, elle s'installe à sa place et hoche doucement la tête. Je me suis régalée aussi, mais pas au point d'avoir le même bidon que toi.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand elle posait sa main sur son ventre il souriait et posait sa main sur la sienne.

Demain il sera parti.

Lançait-il amuser et quand elle prit place près de lui il l'embrassait en l'écoutant et fit un signe positif. Lui aussi espérait que bientôt ils pourront rentré chez eux. Caressant son visage, il se basculait sur le côté et quand elle parlait de ne pas avoir le même ventre de lui, il passait sa main pour le constater par lui même.

Hum... c'est quand même un peu gonflé. Ça c'est le poulet.

Lançait-il amuser avant de lui poser un baiser puis posait son front contre le sien.

Un jour tout cela sera terminer. Et on vivra tranquille toi et moi, on aura une maison et tu reprendra ta vie d'institutrice.

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Si demain il ne part pas je te met au régime et sport forcé pendant 1 semaine. Dit elle en le taquinant. Allongée à ses côtés, elle prend son baiser et sourit quand il lui caresse le visage. Quand il passe à son tour sa main sur son ventre, elle pose sa main sur la sienne et sourit. Soit c'est le poulet, soit c'est un bébé. Même si la deuxième solution n'est pas possible mais elle veut juste le taquiner jusqu'au bout. Après tout il vient de lui dire qu'elle avait un petit ventre non mais. Son front contre le sien, elle frotte son nez à celui de Sebastinan et sourit. Oui, c'est le seul vœu, le seul cadeau que je veux voir se réaliser. Sortir d'ici et vivre notre vie. Avoir à nouveau mon travail et ne plus devoir me cacher d'être juive.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian écoutait Elena et souriait à ces paroles.

Sport forcé ? Et ça serait quoi ?

Demandait-il curieux. Parlant de son ventre, il fut surprit quand elle parlait de bébé.

Un bébé ? Tu crois...

Demandait-il quoi que avec toute les fois que ils on jouer au docteur cela pouvait être possible puis que il utilisait pas de parachute mais bon peu être aussi que cela était le poulet qui prenait de la place. Caressant Elena il lui souriait en l’écoutant.

Je suis sur que ça se passera ainsi.

Dit-il sincèrement avant de l'embrasser puis s’allongeait pour dormir le reste de la nuit.

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Elle fait mine de réfléchir. Je te ferais courir, puis des pompes, des abdos, une bonne séance de sport pour te faire perdre tes kilos en trop. Dit elle en souriant. Finalement, ça ne l'as pas perturber contrairement à ce qu'elle pensait, non il se retrouve même un peu surprit. Bien sur que non. Tout les mois elle à ses règles malgré qu'ils jouent souvent au docteur sans faire attention. Oui c'est le poulet, ils s'en sont mis plein la panse comme on dit. Elle sourit. Ça se passera ainsi. Dit elle sur et certaine. Un petit baiser et il est temps de se coucher aussi pour dormir.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Écoutant la séance de gymnastique que lui avait prévu Elena le fit sourire en tout cas elle avait tout prévue mais bon cela ne pouvait pas lui faire de mal. Alors que elle le rassurant que elle était pas enceinte, il fit un signe positif quoi que si elle l'aurait été il n'aurait pas été fâché après tout il se vois bien avoir un bébé avec Elena même si i fat le reconnaître que cet endroit n'est pas le meilleur pour élever un bébé. Après un dernier baiser, il fut le temps de dormir, et pour une fois Sebastian fit la grâce mâtiné jusque 10 heure après tout il avait aucun travail et faut le reconnaître que sous la couette il fait beaucoup plus chaud.

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Elena est en âge d'être maman, ça ne l'as dérangerait pas d'avoir un bébé. Mais pas ici, pas dans ses conditions. Elle ne se verrait pas avoir un bébé dans ce grand grenier. Non alors chaque fois elle prie de ne pas être tombée enceinte. Dans les bras de Sebastian, elle ne tarde pas à s'endormir. Bien douillettement blottie sous la couette et dans ses bras, elle passe une bonne nuit au chaud, même si il fait froid. Contrairement à Sebastian qui fait la grâce matinée, Elena finit par se réveiller et se lever aussi. Elle quitte le lit et va dans la cuisine prendre un petit déjeuner puis regarder la neige tombée par la fenêtre du salon en attendant que tout le monde se lève.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Elena réveiller, la famille décide de rester au lit enfin presque tous... Se sont les femmes qui se réveille en premier et mangeant un morceau, elle prépare la table pour les hommes quand ils se réveilleront. Sebastian se réveillait vers 11 heurs et après avoir passer ses vêtements il rejoignit la famille a la cuisine qui avait fini de manger et terminait leur café. La tête encore un peu dans le chou du au vin de la veille, son père eut un sourire en voyant sa coiffure comme si il sortait d'une tempête.

Tu reviens d’une soirée disco ?

Dit-il amuser en terminant son café.  

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A table, Elena déjeune avec sa mère et sa belle mère en discutant. Les trois femmes ont toujours des choses à se dire et la preuve comme elles discutent toute les trois. Après le petit déjeuner, elles vont préparer ceux de leurs hommes. D'abord son père et son beau-père qui viennent les rejoindre et Elena finit par se demander si elle ne devrait pas allez chercher Sebastian quand celui si décide de venir les rejoindre. Elle sourit aux paroles du père de Sebastian. Personnellement je te trouve très bien et très beau.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

S'avançant vers la table, Sebastian eut un sourire quand Elena parlait de sa coiffure qu'elle trouvait bien. Même si il faut le reconnaître que cela n'était pas vraiment le style de coiffure que il appréciait. Passait sa main sur ses cheveux pour les raplatir il se plaçant assit a table entre sa mère et sa chérie. Il déposait un baiser à sa mère puis embrassait Elena. Regardant sa mère et celle de Elena éplucher des pommes pour en faire une tarte, Sebastian en attrapait une sur le tas et commençait à la manger en regardant son père et Pierre qui lisait les dernier journaux que on leur avait amener.

Que raconte le journal ? Des nouvelles intéressantes ?

Demandait-il à son père qui levait le nez du journal.

Hum... rien de vraiment intéressant. La Luftwaffe a effectuer une série de bombardement nocturnes sur la ville de Manchester et de ses environs qui à fait 680 morts et plus 2 360 blessés. Et les japonais on attaquer Pearl Harbor.

Dit-il avant de plier le journal et le pousser sur la table.

Rien de bien réjouissant.

Lançait Pierre alors que Sebastian prit le journal pour regarder.

Il y a les mots croisés.

Ce n'est pas vraiment pour moi ce genre de chose. Mais si tu veux va-y.

Dit-il en tendant un crayon à Sebastian qui le prit. Pendant que Sebastian s'amusait avec ses mots croiser, la mère d'Elena lavait ses mains puis fit signe a sa fille le l'accompagner et l’emmenait dans sa chambre. Prenant une boite elle l'ouvrit et sorti une robe qu'elle déposait sur le lit. Une robe qu'elle avait fait à la main pour sa fille elle pensait lui offrir pour septembre pour la reprise de son travail mais vu les événements... elle préférait lui offrir maintenant avant que elle ne sache plus y rentré dedans.

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Elena prend place à sa place à côté de Sebastian et prolonge rapidement son petit baiser, mais devant ses parents, ils savent quand même se tenir. Elena décide d'aider sa mère et sa belle-mère à éplucher les pommes, mais voyant Sebastian en prendre une, elle lui tape sur les doigts. Chipeur de pommes. Dit elle en souriant. Ceci fait, elle continue à s'occuper de ses pommes et quand il commence à faire les mots croisés, elle regarde par dessus son épaule et lui montre une erreur. Ça s'écrit avec un S pas un C sinon ça faussera l'autre définition. Quand sa mère lui fait signe de la suivre, Elena se lève et va se rincer les doigts aussi puis va rejoindre sa mère dans la chambre. En voyant la robe, Elena est touchée de ce cadeau, surtout qu'elle est magnifique. Elle embrasse sa mère l'as remercier et l'enfile avec son aide.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Elsa le grondait pour avoir volé une pomme et il eut un sourire.

J'aime bien les pommes.

Dit-il en lui souriant avant de se pencher sur le mot croisé. Voyant Elena le corrigé, Pierre souriait puis se penchait.

Préparation liquide ou onctueuse qui sert à accommoder certains mets. C'est « sauce » le mot.

Sebastian fit une grimasse puis corrigeait son mot commençant a faire des ratures. Alors que les hommes était à la cuisine Elena était avec sa mère qui regardait sa fille enfilé la robe et souriait en voyant que elle ne s'était pas tromper dans les mesures.

Elle te va parfaitement comme un gant. Il ne faudra pas prendre de poids.

Dit-elle pour plaisanter.

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Elle regarde Sebastian et lui sourit. Oh ça je sais, à ton prochain anniversaire je t'offrirais un cageot remplit de pommes comme ça tu en aura tout le temps. Dit elle en plaisantant à moitié. Mais ça peut être une idée offrir un cageot de pommes à son petit copain. Elena se garde justement cette idée en tête. Elena enlace Sebastian par les épaules avant de lui glisser dans l'oreille. C'est pas grave, ça arrive de se tromper. Elle lui dépose un baiser et file avec sa mère. Après avoir essayer la robe qu'elle lui à offert, Elena regarde sa mère et sourit. Oui tu l'as bien faite, juste ce qu'il faut. Quand à ne pas prendre de poids, dans ce cas il faut que ma mère prépare des repas plus allégés. Sinon ce n'est pas étonnant que je prenne un kilo ou deux.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand Elena lui parlait de lui offrir un cagot de pomme pour son anniversaire cela le fit rire oui c'est plutôt original comme cadeau. Continuant son mot croisé, il eut un sourire quand elle lui dépose un baiser avant de partir rejoindre sa mère.

Dans la chambre sa mère souriait quand Elena parlait de ses repas très copieux mais bon tant qu'elle le pouvait encore elle préférait faire de bon petit plat parce que elle ne sait pas se que l'avenir leur réserve. Sortant de la chambre, elle allait préparer la pâte pour la tarte et souriait voyant les trois hommes pencher sur le journal pour découvrir les mots surtout que ceux-ci avaient annoncer quelque temps auparavant que se n'était pas leur tasse de thé.

Énorme animal fossile proche de l'éléphant et du mammouth en 10 lettres...

Pachyderme ?

Non la 5ème lettre est un O.

ça commence a me donner la migraine tout ça !

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C'est bien la seule raison qui fait prendre quelques kilos, les bons petits plats que lui prépare sa maman et Elena qui ne peut plus marcher de chez elle au travail comme elle le faisait avant. D'ailleurs Elena s'est toujours demandée pourquoi sa mère à préparer devenir couturière plutôt que cuisinière. Sa robe elle décide de la garder sur elle pour en profiter toute la soirée. Elle va mettre celle qu'elle portait dans le panier de linge sale et revient rejoindre sa mère dans la chambre. Elle n'y reste pas longtemps vu que sa mère décide d'aller faire la pâte à tarte et Elena décide de la suivre et va l'aider en cuisine. Mais d'abord elle va regarder pourquoi cet attroupement des trois hommes de la maison, elle se penche par dessus l'épaule de son père et sourit. Alors messieurs ? On capitules déjà ?

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