La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Dans les tranchés de la première guerre que la France et l'Allemagne se livre dans une bataille sans merci. Perdu dans la foret deux jeunes son perdu, l'un est Français et blesser au ventre entre ses mains il serre la photo de sa belle française sentant la mort venir. Non loin de lui un jeun soldat Allemand épuiser, son arme est vide. Approchant du jeune Français il s’accroupit devant lui, il doit être a peine âgée de 17 ans. Le voyant blesser, il lui fit comprendre que il va l’emmener ailleurs. Ces deux jeunes son « ennemi » et pourtant ils vont s’entraider... Quand l’armistice est signé le 11 novembre 1918 à 5 h 15, mais les feux cesse à 11h alors que les cloches du village voisin raisonne pour annoncer la fin de la guerre à la grande joie de Pierre et Heydrich.

Les années on passé les deux jeunes étaient devenu des pères de familles mais pour autant n'avaient pas cesser de se contacter ils étaient devenu des frères de cœurs malgré les distance qui les séparaient. Heydrich avait vécu un moment à Paris avec son ami Pierre avant de le quitter pour retourné en Allemagne là où il avait rencontré sa futur épouse. Heydrich âgée de 40 ans qui est ingénieur vit dans les faubourgs de Berlin avec son épouse Danka 39 ans qui est mère au foyer et leur fils Sebastian 17 ans qui termine ses études. Une vie bien tranquille qui va être brisé en 1933 à l'arrivé du parti Nazi au pouvoir. Heydrich perd son travail, contrait à démissionner simplement parce qu'il est juif ! Certaine personnes sont frapper en pleine rue sans raison sauf parce qu'elles sont juifs. On boycott des magasins juifs et on arrête les gens sans raison. Même Sebastian est expulser de son lycée parce que la direction ne veulent pas de juif. Beaucoup fuient l’Allemagne pour aller en Israël, Pologne... Quand  Heydrich écrit sa situation à son ami Pierre celui-ci est attristé par la situation et en informe à sa famille qu'il a l'intention de faire venir son ami et sa famille chez eux à Paris après tout leur appartement est très spacieux et la famille a largement les moyen d’accueillir trois bouche de plus à nourrir. Et puis Pierre n'a jamais oublier que si il à eut la vie sauf cela était grâce à  Heydrich et il compte le sauver à son tour.

Quittant Berlin pendant la nuit, la famille traverse toute l’Allemagne ainsi que la Belgique pour arriver finalement en France. Après 12 heures de voiture, la famille arriver chez Pierre au petit matin. Mais ils attendent une heure raisonnable avant de sonner à la porte à 10 heures. Une femme ouvre la porte se présentant comme femme de ménage et les faits entré dans le grand appartement de la famille.Rapidement Pierre les accueilles heureux de les voir puis les conduits à la salle à manger où se trouve sa famille pour faire connaissance.

Mes chéries voici nos invités : Heydrich, Danka et leur fils Sebastian.

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En 1933, Elena est âgée de 20 ans. Elle vit encore avec ses parents dans un bel appartement à Paris. Pourtant elle à une vie, elle fréquente un beau garçon qui ne devrait pas tarder à lui faire sa demande, elle travaille dans une école primaire comme institutrice et elle vit heureuse, il n'y à pas d'autres mots à dire, elle est heureuse. Il y à quelques jours, alors qu'ils étaient entrain de dîner, son père leur à dit qu'il allait faire des amis à lui qui devait fuir leur pays. Elena à tout de suite comprit pourquoi son père voulait aider son ami, sa femme et son fils, même si elle demande si c'est une bonne idée et si ils ne risqueront rien en acceptant des Allemands chez eux. Une chose est sure Elena ne dira rien à personne sur la présence de ses gens chez eux. C'est aujourd'hui qu'ils doivent arriver, Elena ne travaille pas, elle à prétendue être malade exprès pour rester à la maison avec ses parents et accueillir les nouveaux venus. Quand leur père revient avec les nouveaux arrivant, Elena se lève aussi pour les accueillir. Bonjour.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Dans la salle a manger, Heydrich saluait la demoiselle qui le saluait.

Elena c'est cela ? Bonjour... la princesse de son papa. Il m'as beaucoup parler de toi.

Dit-il en souriant alors que Pierre fit un signe de se taire. Oui Elena est la princesse a son papa et son bébé mais il savait que la demoiselle détestait que il l'appel ainsi en publique. Heydrich souriait voyant le malaise de son ami puis serrait la man de la mère de famille.

Voici ma femme, elle parle un peu le français mais elle se débrouille bien. Et... le grand timide là c'est mon fils.

Danka saluait les deux femmes puis Sebastian s'avançait et en fit de même.

Et bien parfait ! Elena ma chérie veux-tu bien montré la chambre de Sebastian s'il te plais ?

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C'est vrai qu'Elena n'aime plus que son père l'appelle sa princesse ou son bébé. Elle à quand même 20 ans, elle est presque fiancée, ce n'est plus une gamine, mais pour le coup, elle ne dit rien, elle se contente de regarder son père et de sourire. Oui c'est Elena, ravie de vous connaître. J'espère que c'était en bien quand il voulait parlait de moi. Dit elle en souriant puis en laissant le père de famille présenter sa femme et son fils. Elle hoche la tête à la demande de son père de conduire Sebastian à sa chambre. Oui bien sur papa. Elle s'approche de Sebastian. Tu viens le grand timide ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Heydrich souriait à Elena au sujet de ses conversation avec son père.

Oui bien sur. Mais... je ne vais pas m'attarder là-dessus.

Lançait-il en souriant et prit place a la table alors que Pierre l'invitait à le rejoindre avec Danka. Sebastian quand à lui suivit Elena avec sa valise et fit une légère grimace quand elle l’appelait le timide se qui amusait les grand à la salle a manger. Suivant Elena, Sebastian restait silencieux puis entrait dans la pièce qui allait être sa chambre. Elle était plus grande que la sienne a Berlin et il posait sa valise sur son lit. Sebastian n'était pas un timide comme le disait son père simplement que il avait difficile avec les gens que il ne connaissait pas tout simplement.

C'est... gentil de nous accueillir chez vous.

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Elle regarde Heydrich et hoche la tête. Nous en reparlons un autre jour alors Monsieur Bartels. Dit Elena en souriant aussi pour clore le sujet. Pendant que les parents vont s'installer à table et discuter entre eux, Elena à la demande de son père conduit Sebastian dans sa chambre. Arrivée au bout du couloir, elle ouvre la porte et le laisse entrer en premier pour qu'il puisse découvrir sa chambre toute fraîchement aérer et qui sent bon le frais et la lessive. Elle entre à sa suite. Tu sais c'est mon père qu'il faut remercier, c'est lui qui à décider de vous faire venir. Après on avaient pas de raison spéciale de refuser que vous venez. Comme dit mon père, il y à de la place. Elle ouvre une armoire. Tu auras assez de place pour mettre tes affaires ? Sinon il y à aussi le placard dans le couloir où tu pourras entreposer un peu de tes affaires aussi.

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Quand Elena annonçait que cela était à son père de faire les remerciement il fit un signe positif puis regardait Elena lui montré les différent endroit il se disait que il aurait pas besoin de toute cette place. Ouvrant sa valise il sorti quelque manuel scolaire que il avait emmener avec lui mais qui ne lui servirons plus à grand chose ainsi que quatre chemise, deux pull deux pantalon et des sous-vêtements. Malheureusement le reste de ses affaire étaient resté a Berlin et il avaient pas autre choix que prendre le stricte minimum.

Je penses que... avec l'armoire j'aurais assez...

Dit-il en commençant a placer des chemises sur les cintres en soupirant.

Désoler je suis de mauvaise compagnie. C'est juste que... que j'ai encore difficile a croire que nous avons dus partir du jour au lendemain notre maison et tout laisser derrière nous. J'ai même pas pus prendre mon chat avec moi c'est une voisine qui l'a recueillit pour qu'il ne soit pas à la rue.

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C'est vrai qu'elle n'y est pour rien. Elle n'avait pas vraiment son mot à dire. C'est ses parents qui ont pris la décision. Elena n'as pu qu'acquiescer. Dans la chambre, elle lui montre l'armoire, le petit bureau si il va en cours et le placard dans le couloir au besoin. Au cas où tu sais où ça se trouve. Dit elle en allant ouvrir la fenêtre pour qu'il puisse regarder la vue qu'il à de sa chambre. Quand il continue, elle se retourne et le regarde. Chacun sa façon d'être. Si j'avais été à ta place je réagirais peut être comme toi, ou même peut être pire que toi. Alors pas besoin de t'excuser, je comprend très bien. Au moins ton chat ne se retrouve pas dehors et qui sait peut être qu'un jour tu pourras rentrer pour le reprendre avec toi. Je te montre la salle de bain ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Rangeant ses affaires, Sebastian allait vers sa valise et regardait Elena ouvrir la fenêtre. Il hésitait un instant puis s'avançait se plaçant au côté d'Elena et regardait dehors en l'écoutant. Oui il espérant que un jour il pourra rentré chez lui et retrouver son chat.

Je ne voulais pas partir mais pour mon père c'était la seule solution si je ne voulais pas.... enfin voilà.

Dit-il en retournant vers sa valise. A sa question de voir la salle de bain il fit un signe positif.

Oui je veux bien.

Répondit-il en la suivant.

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Elle hausse doucement les épaules et quand il vient regarder par la fenêtre à côté d'elle, elle lui laisse la place. Après tout la vue elle l'as connait, elle l'as voit tout les jours. Ce n'est pas une découverte pour elle. Mais si tu n'étais pas venu avec il t'aurait laisser la bas. Sauf que tu es mineur, tu n'avais pas le choix de partir ou rester. Tu n'as qu'à te dire que ce sont des vacances, des très longues vacances et ensuite tu retourneras chez toi. Elle lui fait signe de la suivre alors et sortent de la chambre, elle l'emmène quelques portes plus loin qu'elle ouvre. Voilà la salle de bain. A côté il y à la chambre de tes parents. Le bureau de mon père. Les deux portes face à face sont des placards et à côté il y à une autre salle de bain, il y à ma chambre et celle de mes parents. Puis la salle à manger comme tu as vu et plus loin la cuisine et le salon.

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Écoutant Elena il fit un signe négatif.

Se n'est pas parce que je mineur. Mais il ne voulait pas que je me fasse tuer. C'est pour cela que nous avons fut l’Allemagne. Tout comme vous on es juif et en Allemagne, les juifs sont pas du tout bien vu depuis le nouveau gouvernement. On nous prend pour des moins que rien pire que la peste. Mon père a perdu son travail et moi j'ai été renvoyer du lycée uniquement parce qu'on été juif. Mais tout cela personne ne le sait hors de l'Allemagne et puis d’ailleurs qui nous croirait ?

Suivant Elena il fit des signes positif en l'écoutant parler et essayant de se rappeler des différente porte pour ne pas débarquer dans la chambre de Elena pensent que c'est la salle de bain.

D'accord, je vais essayer de retenir tout cela.

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Pour l'instant ici ça va. Les juifs, les catholiques et les protestants c'est la même chose. On ne se considère pas comme différent. On est des êtres humains comme les autres. Puis entre nous, il valait mieux que tu viennes en France avec tes parents que te faire tuer non ? A moins que tu n'avais envie de mourir ? Je ne sais pas qui peut vous croire, m'enfin ici tu pourras retourner au lycée si tu en as envie. Peut être que mon père à déjà pris ses dispositions pour que tu sois inscris, je te conseille de voir avec lui. Après lui avoir fait visiter la salle de bain, elle lui explique les autres dispositions des pièces. Je te ramène à tes parents ? Ou tu veux te reposer un peu dans ta nouvelle chambre ?

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Pour le moment en France tout était tranquille et Sebastian espérait que cela le reste le plus longtemps possible. Non il n'avait pas envie de mourir mais quitter sa maison du jour au lendemain c'est quelque peu difficile sans conter tout ce qu'il avait laisser derrière lui comme sa petite copine, ses amis et sa famille. Elena lui proposait de retourner au Lycée a cela il ne savait pas si cela était une bonne idée mais bon c'est mieux que de tourné en rond.

D'accord j'en parlerais avec lui.

A sa demande de le ramener il fit un signe positif.

Oui je veux bien. Et boire un verre d'eau aussi.

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Après tout, il fera comme il veut. Si il veut retourner à l'école ou si il préfère travailler ou rester glander à la maison, c'est lui que ça regarde. Elena toute façon c'est déjà vu pour elle, dès lundi, elle reprend son travail. Et entre ses heures de travail, son temps passé avec son chéri, les corrections des devoirs des enfants, elle n'aura plus le temps de penser à autres choses. Oui voilà tu parleras avec eux, tu verras bien ce que tu feras de toute façon. Comme il veut retourner à la salle à manger avec les parents, Elena l'y ramène et quand il demande un verre d'eau elle sourit. Sur la table, il y à une cruche, il y à un verre, tu te sers mon grand. Et une fois dans la salle à manger, elle lui montre la cruche au centre de la table et le verre à côté. Elle, elle prend une tasse de thé et revient s'asseoir à sa place.

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Quand Sebastian descendit avec Elena il allait prendre la cruche d'eau poser sur la table mais les parents d'Elena l'invitait à prendre place à table pour manger avec eux. Vu le voyage il devait avoir l'estomac dans les talons et cela était le cas. S'asseyant près de son père qui buvant son café, Sebastian prit une tranche de pain et se mit de la pâte chocolat noisette et la mangeait se qui fit sourire Pierre.

Je suis heureux que vous, vous sentez bien ici.

La première nuit était un peu difficile pour Sebastian. Alors que tout le monde dormait lui était totalement réveiller, incapable de fermé l’œil. Malgré la fraîcheur de la nuit, il ouvrit la fenêtre et s'asseyait au bord regardant Paris illuminé.

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Revenant à la salle à manger, Elena se contente d'une boisson chaude et voyant l'heure, elle s'excuse auprès de ses parents et de leurs amis et remonte dans la salle de bain, elle se douche, se change et se prépare. Fin prête, elle revient dans la salle à manger et souhaite une bonne soirée à tout le monde, elle prend sa veste et s'en va pour allez dîner avec son petit ami. Une bonne soirée au restaurant en amoureux, une balade bras dessus bras dessous au bord de la Seine et un petit câlin chez lui mais toujours pas cette demande tant convoitée et attendue par Elena. C'est tard dans la nuit qu'une voiture se gare et qu'Elena en sort accompagnée de son petit ami. Un dernier baiser et les deux se séparent. Elena rentre chez elle et devant la porte, retire ses chaussures à talons pour ne pas faire de bruit quand elle entre. Elle referme la porte derrière elle et monte dans sa chambre.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Entendant des pas dans le couloir Sebastian regardait en direction de sa porte. Se levant il fermait sa fenêtre et s'avançait vers sa porte. Entendant les pas non loin de lui il ouvrit doucement la porte de sa chambre qui fit un petit grincement et vit Elena arriver dans sa direction.

La soirée était agréable ?

Demandait-il en lui souriant. Bon il était pas curieux cela était juste histoire de discuter et puis il avait pas vu Elena embrasser son chéri sinon il aurait dus se pencher a la fenêtre au risque de tomber.

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Pourtant Elena à fait doucement. Que ce sois en fermant les portes, en montant les escaliers et en marchant dans le noir pour ne pas réveiller la maisonnée. Quand elle entend une porte s'ouvrir, elle sursaute légèrement et se retourne. Elle regarde Sebastian et lui fait signe de chut. Parle moins fort, sinon tu vas réveiller nos parents. Elle se rapproche de la porte. Pardon de t'avoir réveiller. J'ai fais doucement pourtant, mais faut croire que je ne suis pas si discrète que ça. Elle sourit. Elle n'était pas mauvaise, ça aurait pu mieux ce passer mais bon. Dis donc t'as vu l'heure toi ? Va au dodo jeune homme. Et tant qu'à faire moi aussi je vais me coucher. Elle lui dépose une bise sur la joue. Bonne nuit.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand Elena lui annonçait de baisser la voix il fit une grimasse désoler puis la regardait s'avancer en s'excusant de l'avoir réveiller il fit un signe négatif en chuchotant.

En fait je ne dormais pas, j'ai difficile a trouver le sommeil.

Quand elle parlait de sa soirée il eut un faible sourire.

Dommage pour toi.

Parlant d'aller faire dodo il lui souriait et fut surprit par le baiser puis la regardait s’éloigner

Bonne nuit...

Dit-il en la regardant s’éloigner et quand elle fut dans sa chambre, Sebastian fermait sa porte a son tour.

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Si tu n'arrives à dormir, tu peux allez te faire chauffer une tasse de lait, après tout tu es chez toi aussi maintenant. Dit elle en souriant. Quand il lui demande comment c'est passé sa soirée, elle ne va pas mentir et dire la vérité. Tant pis écoute c'est comme ça. Ca viendra quand ça viendra tout simplement. Dit elle en souriant. Après l'avoir embrasser sur la joue, elle lui souhaite une bonne nuit et par dans sa chambre. Elle se change pour se mettre en tenue de nuit et va se coucher aussi. Elle ne tarde pas à trouver le sommeil d'ailleurs et dort comme une bien heureuse.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Oui il pourrait aller se chercher une tasse de lait mais il sait que cela ne l'aidera pas à dormir. En tous cas même si Elena semblait avoir passer une bonne soirée dans la façon qu'elle lui parlait Sebastian senti que elle était aussi déçu mais par quoi la est la question en tout cas cela ira pas plus loin puis que Elena parti dormir et Sebastian en fit de même.

Les mois passaient approchant de la fin de l'année. Heydrich avait eu une petite place aux côtés de Pierre dans l'entreprise, Sebastian avait reprit ses études et Danka aidait la mère d'Elena dans ses travaux de couture. Assit a la table de la salle a manger, Sebastian fessait ses devoirs mais il avait difficile a se concentré devant Elena qui fessait des aller et venu de droite a gauche. Il avait l'impression d'être sur un bateau qui tanguait. Soupirant il savait quel était la raison pour laquelle elle était ainsi, son chéri avait préférer aller dans le sud de la France pour passée les fêtes de fin d'année au lieu de les passées avec la femmes qu'il aime.

S'il te plaît Elena assied toi tu me donne le mal de mer.

Lançait-il en la regardant quelque seconde.

Au lieu de tourné en rond pourquoi tu ne va pas le rejoindre dans le sud ?

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Une bonne nuit de sommeil voilà ce qu'il fallait à Elena. Le lundi suivant, elle retrouve son travail et ainsi de suite. Les mois ont passés, Heydrich, Danka et Sebastian vivent toujours avec les James à la maison et ça ne dérangent pas. Chacun à trouver sa place dans la famille. Au début ce n'était pas facile, parfois ils se marchaient dessus, mais maintenant ça va. Elena à finit de corriger les cahiers de ses élèves, elle attend que son chéri l'appel mais depuis qu'il est parti dans le sud, elle n'as pas encore eu de nouvelles et elle s'inquiète un peu. Même si ce n'est que pour les fêtes de fin d'année, tout de même, un appel ou une lettre ce n'est pas trop demander si ? En ayant marre d'être assise elle se lève et fait plusieurs allez retour de la cuisine à la chambre, de la chambre au salon, du salon à la salle à manger, elle ne tient pas en place. Quand Sebastian lui demande de s'asseoir, elle le regarde. Elle hausse les épaules mais finit par s'asseoir aussi et regarde ce qu'il à écrit sur ses devoirs, avant de pointer deux trois réponses du doigt. La c'est faux, la c'est faux aussi et la c'est complétement faux. Tu es bon pour recommencer. Puis elle le regarde. Pourquoi je devrais allez le rejoindre ? J'ai pas envie de quitter mes parents, surtout pas pour Noël.

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Regardant Elena, il ne pensait pas que elle allait regarder ses devoir et quand elle lui montrait où il avait faux il soupirait et fit une boulette avec sa feuille de papier avant de l'envoyer dans la corbeille qui était au coin de la pièce. Puis a sa question pourquoi le rejoindre il eut un faible sourire alors qu’elle annonçait être bien ici.

Et bien au moins tu ne serait plus aussi... Comment on dis déjà en français... Ah oui sur des charbons ardent c'est ça ? Non franchement, ta relation ça me regarde pas mais depuis que... ton copain, fiancé est parti dans le sud tu remballe tout le monde. Je t'ai connu beaucoup plus sympathique.

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Déformation professionnelle. Après tout Elena est institutrice, même si elle n'apprend pas aux enfants du même âge que Sebastian, quand elle repère une faute, elle le montre et quand elle le voit froisser sa feuille et la jeter, elle sourit. Tu aurais pu juste effacer espère de banane. Par la suite elle l'écoute et soupire. Mon fiancé tu parles, depuis le temps qu'on est ensemble, il n'as même pas été foutu une seule fois de me faire sa demande en mariage alors que ça fais un bout de temps qu'on parlaient de se marier. Dis moi, je suis pas le genre de femme qu'on épouse ? Je suis énervée c'est normal. Tu le saurais aussi si ta nana était à des milliers de kilomètres de toi et que tu ne puisse pas lui faire confiance.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand elle parlait effacer au lieu de la jeter il souriait.

Oui j'aurais pus mais autant mettre au propre.

L'écoutant attentivement, il posait son stylo et s'accoudait à la table en l'écoutant.

Peu être que il n'est pas prêt de faire le pas... Si je serais a sa place je serais heureux de t’avoir pour épouse.

Dit-il en lui souriant. L'écoutant, il fit un signe positif avant de rester silencieux quelque seconde.

Avec Greta je suis sorti avec elle... 6 mois avant que on ne quitte l’Allemagne. C'est peu être aussi a cause d'elle que je ne voulais pas partir. Au début j'avais... difficile a l'imaginé avec un autre garçon. Maintenant, je me dis que il vaut mieux qu'elle fasse sa vie sans moi. Mais... pour toi c'est pas pareil. Mais si tu doute déjà maintenant de lui qu'es ce que cela sera plus tard. Je me dis que les base d'une relation c'est la confiance. Si on ne se fait pas confiance l'un a l'autre cela ne serre a rien d'aller vers le mariage.

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