La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Se tournant, Pierre regardait sa fille et lui souriant la regardant de bas en haut.

Tu es magnifique ma fille.

Dit-il avant de passer son bras sur ces épaules.

Et bien mademoiselle l'institutrice nous avons besoin de vos lumières.

Lançait-il alors que Sebastian redressait la tête pour regarder Elena et eut un sourire en la voyant dans une robe que il avait encore jamais vu sur elle.

Tu as une très jolie robe.

Dit-il en luis souriant quand on se mit a tambouriner à la porte. Surprit et effrayer personne n'osait bouger. Heydrich se levait de sa chaise et descendit les marches vers la porte. Sebastian se levait de sa chaise, restant silencieux puis demandant qui était là il entendit une voix familière celle du mari de leur logeuse. La tension descendu, on lui ouvrit la porte et celui-ci entrait avec plusieurs sacs à provision de quoi tenir quelque semaines en annonçant que cela chauffait en ville et que il préférait avec son épouse se mettre a l'abri quelque temps parce que des personnes comme eux qui avait cacher des juifs avaient été fusillés. Après avoir bus un café il les quittaient et refermait la cache derrière lui. Pendant ce temps les femmes rangeait les provisions en classant les marchandises qui pouvaient se garder longtemps et ceux à consommer rapidement. Laissant la table de la cuisine libre, Sebastian embarquait le journal et allait s'installer dans sa chambre.

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Au compliment de son père, Elena lui sourit. Merci papa, félicite aussi ta femme, c'est elle qui m'as fait cette magnifique robe. Blottie contre son père, elle regarde aussi les mots croisés. Tu sais, je n'aime pas trop les mots croisés et le seul mot qui me vient à l'esprit actuellement c'est rhinocéros. Dit elle en souriant à Sebastian qui lui fait à son tour un compliment. Elle pose la main sur son épaule et se penche pour lui déposer un baiser sur le front. Merci. Ils sont bien là et quand elle entend frapper à la porte, Elena sursaute et se blottie un peu plus dans les bras de son père. Mais heureusement ce n'est rien de « grave » juste le logeur. Elena lui prépare un café pendant que tout le monde discute. Quand il s'en va, elle aide sa mère et sa belle mère à trier les provisions et prend une pomme, elle vient la ramener à Sebastian. Tiens c'est une avance sur ton futur cadeau d'anniversaire. Dit elle de façon taquine.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Pierre souriait il savait que son épouse pouvait faire des miracle avec un simple morceau de tissu. Serrant sa fille contre lui il fut rassurer que cela n'était que le logeur. Malheureusement le mot qu'avait donner Elena n’allait pas sur le mot croisé. Allonger sur le lit, Sebastian avait abandonner de casse tête de mot croiser et avait reprit la lecture de son livre.

Elena arrivant dans la chambre, Sebastian levait la tête et attrapait la pomme que elle lui donnait en souriant. Posant son livre sur le côté et la pomme il attrapait la main d'Elena et l’attirait à lui en souriant prenant soin de ne pas abîmé sa jolie robe.

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Son père à de la chance, il à la femme parfaite et il à une fille qui est aussi assez parfaite dans son genre. C'est vrai qu'ils sont rassurés du faite que ce n'est que le logeur, Elena s'était déjà imaginée être séparée de ses parents et de Sebastian. Tant pis si le mot n'est pas le bon, Elena l'as dit, elle n'aime pas les mots croisés. Pendant que les parents restent dans la cuisine et la salle à manger, Elena va rejoindre Sebastian avec une pomme. Elle lui sourit aussi et se laisse attirer, elle s'installe à son aise sur ses genoux et lui caresse le visage. Tu as l'air pensif.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Elena sur ses jambes, Sebastian passait ses bras autour de sa taille en la regardant et quand elle annonçait que il avait l'air pensif il eut un sourire.

Ça se voit autant que ça ?

Demandait-il amuser. Faut dire avec que toute ces années il avait plus aucun secret pour elle.

Je me demandais... Je sais pas trop... je me demande comment ça se passe dehors. On a un sons de cloche avec se que Albert venait nous dire maintenant que il ne va plus venir on ne saura pas se qui se passe. Est-ce vraiment aussi dangereux pour nous ?

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Elle secoue la tête et caresse sa nuque avec un sourire. Non ça ne se voit pas. Mais je commence quand même à te connaître depuis toutes ses années non ? Et encore heureux qu'elle le connaisse, sinon quel genre d'amie aurait elle été et maintenant quel genre de petite amie serait elle ? Elle réfléchit un instant à ce qu'il dit. Honnêtement je n'en ai pas la moindre idée. La seule solution comme on dit c'est de sortir nous même et d'allez voir, mais je t'avoue que j'aurais quand même la trouille de sortir. Vu tout ce qu'on à vécu ses dernières années, je me dis que oui, que ça doit vraiment être dangereux pour nous en ville. Peut être moins dans les campagnes. Au pire, vu qu'ils sont partis, on peux se glisser en douce chez eux et regarde ce qu'on lit dans le journal ou ce qu'on peut entendre avec la TSF.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian souriait à Elena et l'écoutait parler. Il y a une parti de lui qui était curieux qui voulait voir se qui se passait à l’extérieur mais une part avait tout de même la crainte de sortir. Mais c'est vrai que ils pourraient se glisser en douce dans les étages des propriétaires et voir se qui se passe. Mais pour le moment... il préférait penser à eux. Caressant le visage de d'Elena, Sebastian lui glissait une mèche de cheveux derrière l'oreille avant de l’embrasser tendrement puis se basculait sur le côté pour la faire allonger sur le lit et poursuivit son baiser se plaçant à ces cotées. 

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Peut être pas tout de suite, mais ils y iront dans quelques temps, un soir ou une nuit, à l'insu des parents, sinon ils se doutent qu'ils se feront engueuler comme la fois où ils se sont glisser dans la boutique en catimini pour chercher de quoi manger. C'est même là que leur histoire à commencer si elle s'en souvient bien. Elena voudrait bien sortir, marcher dans l'herbe, assister à un lever ou un coucher de soleil, à la pleine lune, à tout ce qu'elle pouvait voir avant qu'ils ne soient obligés de fuir leur vie et de se cacher. Pour l'instant, elle préfère ne pas y penser non plus, le baiser de Sebastian est nettement plus intéressant et la jeune femme le prolonge avec la même tendresse, allongée sur le lit.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

A Sebastian aussi cela lui manquait de pouvoir respirer de l'air frais. Ils ouvraient les fenêtre pour aérer mais pas longtemps pour ne pas attiré l'attention et cela n'était pas la même chose que se balader dehors et faire de longue balade à vélo. Alors que il fut allonger avec Elena, il prolongeait le baiser et glissait une main sur sa jambe remontant le long de celle-ci sous sa robe. Le poursuivant il se rapprochait d'Elena collant son corps contre le siens.  

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Si l'air frais manque au jeune couple, il y à une chose qui ne leur manque pas, ce sont les câlins, la dedans ils sont devenus champions. En même temps c'est une façon comme une autre aussi de passer le temps. Mais maintenant que les logeurs sont partis, Elena ne se gênera pas d'allez furete dans leur maison. Non pas pour fouiller ou piquer, mais pour se relaxer dans un bain ou dans un canapé, tout ce qu'ils ne peuvent pas faire ici. Allongée avec Sebastian, elle ne quitte pas ses lèvres et laisse sa main sur sa nuque qu'elle caresse et son autre main de libre, elle l'as met dans son dos pour le rapprocher d'elle.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Depuis que Sebastian était avec Elena officiellement, il était quelque peu devenu expert en la chose. Et si il pouvait satisfaire la demoiselle dans ses désires cela était le principal. Alors que elle l'attirait d'avantage vers elle, Sebastian se glissait entre les jambes d'Elena tout en poursuivant le baiser avant de passer au chose sérieuse mais cette fois-ci restant a moitié habiller en journée il y avait plus de risque que une personne n'arrive que en soirée et malheureusement ils n'avaient pas fermé la porte de la chambre mais cela ne les avaient pas empêcher de passer un bon moment.

Les jours suivent Sebastian et Elena se glissait hors de la cache pour se glisser dans le magasin et la maison avant de leur parents ne l’apprennent. Au début ils avaient gronder les jeunes avant de faire de même. Eux aussi occupaient certain étage profitant de l’absence des occupant pour pourvoir « vivre » un peu normalement. Mais dès que les allemands fessait les patrouilles tout le monde remontait dans la cache afin de ne pas attiré l'attention.

L’hiver avait fait place enfin au printemps. En ce jour de mai 1942 cela était une très belle journée ensoleiller et même si ils ne pouvaient pas sortir dehors Elena et Sebastian avait profité du balcon arrière de la maison pour profiter du soleil. Allonger tout les deux sur une serviettes, Sebastian caressait Elena avant que leur parent ne débarque en les fessant rentrés et passer un savon. Pour eux évoluer dans la maison était déjà un risque mais s’afficher à l’extérieur cela était du suicide. Oui cela le pouvait vu les événements mais comme Elena, Sebastian ne pouvait plus supporter de rester enfermer. Traitant son père de parano, Sebastian se prit une gifle de celui-ci et ne disant rien, il grimpait dans sa chambre en silence.  

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C'est vrai que depuis qu'ils sont ensemble, Sébastian est devenu un chaud lapin, mais de plus en plus doué. Dire que la première fois qu'ils ont couchés ensemble, il était puceau, maintenant personnes ne pourraient s'en douter qu'Elena était sa première fois. D'ordinaire quand ils font l'amour c'est soit le soir, soit la nuit, soit le matin, quand ils sont sur d'être seuls et que personnes ne viendrait les surprendre. Cette fois c'est en pleine journée et ils n'ont même pas penser à verrouiller la porte, mais ça ne les empêche pas de s'adonner à leur sport favori. Comme il l'avait dit, le jeune couple rofite de l'absence de leur logeurs pour allez se promener dans la maison et dans le magasin. Leurs parents ne tardent pas à les imiter et souvent ils passent des soirées, des repas dans la maison comme avant. Mais font attention de ne pas se faire prendre. Enfin le printemps, le beau temps, le soleil qui brille. Cette fois les deux amoureux sont allez plus loin et profite du beau soleil pour bronzer un peu. Allongée sur la serviette près de Sebastian, elle le laisse faire quand il pose les mains sur elle avant que leurs parents ne viennent les engueuler et qu'ils doivent rentrer. Ce n'est pas de bon cœur qu'elle obéit, maintenant qu'elle à pu sortir quelques minutes, elle à envie de continuer encore et encore. Mais contrairement à son chéri que ne se laisse pas faire, Elena ne dit rien. Elle se laisse engueuler sans répliquer, même si elle à passer l'âge maintenant de se prendre un savon. Elle reste dans l'optique que c'est toujours mieux de se faire engueuler que zigouiller. Mais quand elle voit le père de Sebastian lui mettre une gifle, ça elle ne s'y attendait pas et se retrouve choquée. Elle ne sait pas si elle doit allez le rejoindre ou le laisser ce calmer. Cependant elle regarde quand même son beau-père. Tu trouves que c'était nécessaire ce que tu viens de faire ? C'est ton fils d'accord, mais c'est aussi mon copain et je ne trouve pas ça normal qu'à son âge, il se prend une baffe juste parce qu'il dit ce qu'il pense.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian avait passer l'âge de se faire gronder comme un enfant mais Heydrich avait peur. Peur que un Allemand les voit ou que une personnes ne les dénonces à la police ou la Gestapo. Il y a quelque jour une famille comme eux qui était cacher avait été dénoncer par un petit délinquant antisémite suite a cette dénonciation celui-ci aurait empoché la somme de 1639 franc français. En vu de la pauvreté pour le moment une somme d’argent comme celle-ci était tentant...

Heydrich écoutait les paroles Elena mais il ne disait rien au contraire comme toujours Pierre arrivait pour calmer les tentions. Et quittant la pièce la famille remontait à l'étage pour boire un café. Dans sa chambre, Sebastian restait silencieux et lisait une bande dessiné qu'il commençait à connaître par cœur. Il ne levait pas le nez de sa lecture quand son père entrait dans la chambre. Après quelque mot d’excuse celui-ci se levait et parti boire son café.

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Peut être qu'Elena aurait du se taire, mais non, elle ne pouvait pas rester sans rien dire et surtout sans prendre la défense de Sebastian. Elle peut comprendre que leurs parents ont peur, elle aussi à peur, mais elle veut quand même essayer de vivre comme tout le monde. Même si ce n'est que pour 1h. C'est vrai que son père aurait du être psy, il trouve toujours les mots pour calmer les choses. C'est aussi pour ça qu'Elena adore son père, elle le trouve juste parfait. Elle finit par lui déposer une bise sur la joue et fait de même avec Heydrich quand celui si revient après s'être excusé auprès de son fils, elle va rejoindre Sebastian dans leur chambre. Et moi tu me boudes aussi ? Demande t-elle en souriant et en restant dans l'encadrement de la porte.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian boudait-il ? Non, enfin si un peu il ne s'attendait pas à se que son père le gifle et encore moins devant tout le monde même si il comprenait la raison mais bon... cela était fait et il ne pouvait pas y revenir en arrière. Adosser contre le mur avec l'oreiller derrière lui, il levait les yeux de son livre quand Elena lui demandait si il lui boudait aussi.

Mais non, bien sure que non !

Dit-il en lui adressant un sourire et posant son livre sur le côté.

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Ouf il ne boude pas Elena en même temps, il n'as pas de raison de la bouder, elle ne lui à rien fait. Elle à juste prit sa défense après sa départ. Elle entre entièrement dans la chambre et referme la porte derrière elle, elle vient le rejoindre et s'assoit à côté de lui dans le lit. J'ai une idée. Elle le regarde, lui sourit et lui dépose un baiser. Si on se faisaient un dîner en amoureux tous les deux dans la salle à manger de la maison ? Un petit dîner rien qu'à eux, chose qu'ils n'ont jamais pu faire depuis qu'ils sont ensemble.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand Elena le rejoignit en lui annonçait que elle avait une idée, Sebastian fut intriguer. Quel genre d'idée avait-elle en tête ? Puis quand elle lui parlait de l'idée que elle avait cela le fit sourire. C'est vrai que jamais il avaient eut d'intimité a par quand il son tout deux au lit. Mais pour lui c'était une bonne idée et pour éviter tout problème avec les parents ils leur avaient parler de cette idée et ceux-ci avait accepter de leur laisser un peu d'intimité. Descendant dans la salle à manger, ils s'étaient fait une petit repas aux chandelles rien que tout les deux.

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De temps en temps ça lui arrive à avoir des idées et cette fois, elle l'as soumise à Sebastian. Ce qui à l'air de lui plaire vu qu'il accepte une soirée en amoureux avec elle. Elle à d'autres idées aussi, mais ça elle le garde pour tout à l'heure. Notamment de proposer un bain moussant à la lumière des bougies à son chéri. Comme les parents ont aussi accepter, Elena en à profiter pour préparer un dîner ici et à demander à Sebastian de préparer une table romantique en prenant soin que tout sois bien fermé et qu'on ne voit pas de lumière venir de la maison. En même temps vu comment les propriétaires ont condamner les fenêtres, ça ne risque presque rien. Le repas prêt elle le descend dans la salle à manger et appelle Sebastian. A table.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian préparait la table et essayait de la faire romantique avec les moyens du bord et quand il eut terminer, il rejoignit Elena qui l’appelait et prit place à table. Passer un moment romantique ensemble cela était agréable et le repas d'Elena était très bon. Mangeant tranquillement le bon repas, ils ne firent pas attention au couvre feu non ils passaient le temps ensemble discutant un peu de tout comme leur première rencontre et ce qu'il feront quand la guerre sera fini. La parents laissaient leur enfant tranquille mais voyant la soirée s'éterniser, Pierre décidait de descendre pour appeler les jeunes.

Il est bientôt une heure les jeunes...

Dit-il sans plus. Il adressait un sourire à Elena puis montait se couché. Sebastian aidait Elena a ranger puis ensemble il montaient dans leur chambre qui était très chaude. Vu que l'été approchait le soleil tapait déjà bien sur les toit durant la journée. C'est juste vêtue d'un short que Sebastian se glissait sous le drp pour passer la nuit avec Elena.

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Une bonne soirée en amoureux. Un dîner en tête à tête, à discuter, à rigoler, sur des sujets plus ou moins sérieux. Mais surtout pour parler de leur avenir, de la vie qu'ils voudront et auront quand ils seront sorti d'ici. Des souvenirs de leur vie d'avant. De leur amitié qui est venu de l'amour. Vraiment ce soir, ils peuvent parler de tous. Mais comme on dit toute les bonnes choses ont une fin et il est temps de remonter. Elle sourit à son père aussi et aider de Sebastian, ils rangent tout et remonte dans la chambre. Elle ne rejoindre pas tout de suite Sebastina, elle passe d'abord dans la salle de bain pour se faire une petite toilette puis vient rejoindre son homme en chemise de nuit légère pour ne pas avoir trop chaud et s'allonger contre son chéri pour dormir.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Le printemps fait place à l'été et par ce mois de juillet 1942 il fait très chaud. Il est 6 heurs du matin et la famille dors encore tranquillement quand elles est réveiller par des cris et des tirs qui retentissent dans la ville. Se levant du lit Sebastian se penchait discrètement par la fenêtre et pouvait apercevoir des gens se faire emmener par des soldats Allemand. La famille se réunissait dans la cuisine et restaient silencieux en tendant l'oreille au moindre bruit. Entendant des bruits de pas lourd dans le magasin et les pièce en dessous personne n'osait bouger. Assit a la table Pierre se levait et fermait le son de la radio. Entendant plus rien, Heydrich accompagner de Sebastian descendit le petit escalier et écoutait derrière la paroi mais cela était le silence. Ouvrant il sorti dans le couloir mais il y avait personne et Sebastian le suivit. Se dirigeant vers l'escalier, ils commençaient à descendre quelque marche quand ils se retrouvaient nez à nez avec un soldat allemand. Voulant faire demi-tour celui-ci hurlait annonçant de ne pas bouger et c'est se qu'il firent en levant leur main en l'air comme on leur demandaient. Demandant si ils étaient seul Heydrich annonçait que son épouse était encore dans la chambre. Sebastian montait l'escalier rapidement et demandait à sa mère de venir puis annonçait à Pierre de resté là de ne pas faire de bruit. Une parti de Pierre voulait venir en aide à ses amis mais il savait que devant les allemands il ne saurait rien faire. C'est la mort dans l'âme que il acceptait de rester caché avec sa famille en retenant Elena, connaissant sa fille il avait peur qu'elle ne veuille suivre Sebastian.

Il faut que tu reste ici Elena... On se reverra je te le promet... Si tu m'aimes il faut que tu restes...

Dit-il entre plusieurs baiser puis l'embrassait tendrement sentant ses larmes ainsi que celle d'Elena couler sur son visage. Mais entendant les pas du soldat monté l'escalier, Sebastian se détachait d'Elena malgré lui et fessant un signe a Pierre de la faire reculer il refermait la porte puis replaçait rapidement la bibliothèque juste a temps avant que l'allemand ne voit quoi que ce soit. S’essuyant le visage de larmes, il regardait sa mère sortir de la petite pièce sur le côté fessant croire que elle sortait de la chambre avec sa valise puis ils suivaient le soldat allemand. Dehors se trouvait d'autres hommes et on les firent avancer vers un camion Sebastian regardait en direction de la chambre que il occupait avec Elena avant de baiser la tête ne voulant pas attiré l'attention aux allemands puis grimpait dans le camion avant que celui-ci ne quitte la ruelle et disparaisse.

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Il fait très chaud, mais ça n'empêche pas Elena de dormir blottie dans les bras de Sebastian. Mais elle se réveille en sursaut en entendant les hurlements et les tirs. Elle regarde Sebastian paniquée puis sort du lit, enfilant ses vêtements et allant rejoindre sa famille avec son chéri. Enfin le silence se fait au bout de quelques longues minutes mais Elena ne veut pas que Sebastian aille voir si c'est finit, sauf qu'il y va quand même. La jeune femme reste avec son père et sa mère attendant le retour de son chéri. Quand elle le voit enfin revenir, elle sourit, mais pas longtemps. Elle ne comprend pas qu'il lui dise de rester là, de rester cacher, sans le suivre. Elle secoue la tête, non elle veut allez avec lui, même si son père la retient. Bien sur que je t'aime Sebastian, mais je ne veux pas te laisser y allez tout seul. Mais rien n'y fait, il part quand même après plusieurs baisers et la jeune femme reste blottie dans les bras de son père en pleurant toute les larmes de son corps de perdre celui qu'elle aime.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quitter Elena avait été un déchirement pour Sebastian et il essayant de garder en pensée que il la reverrait. Le trajet ne durait pas longtemps c'est non loin de la tour Eiffel, rue Nélaton que le véhicule s’arrête près de l’entrée du Vélodrome d’Hiver, où se déroulaient des compétitions sportives et des spectacles. Descendant du camion, Sebastian suivit ses parents et entrait dans le grand hall qui était immense. A l’intérieur il y avait déjà 5 000 personnes, tous juifs et un brouhaha horrible. Des jeune enfants couraient partout et dans les gradins les parents étaient silencieux ou discutaient entre eux de se qu'il allait ce passer. Mais le plus difficile était la puanteur atroce à cause des toilettes bouchées. Dans cet endroit insalubre, ils y resteront pas longtemps, le lendemain c'est en autobus que la famille fut envoyer. Un long voyage de 1 heure qui les amenait au camps de Drancy quand il furent arriver, Sebastian s’installait dans un coin silencieux se demandant se qu'il allait arriver par la suite mais surtout se demandant qu'allait devenir Elena et sa famille. Un mois plus tard, la famille quittait Drancy pour un nouveau transfert mais cette fois celui-ci fut plus long. Un voyage en train qui durait peu être plusieurs jours mais il ne les a pas compté. Le soleil commençait à se lever quand le train s'arrêtait pour faire descendre les gens. Des hommes hurlait en allemand, les femme a gauche les hommes à droite. Sebastian ne voulu quitter sa mère mais malgré lui il dus suivre son père. C'est a cet instant que il fit ses premier pas en enfer...

Les jours firent place aux semaines puis aux mois. Sebastian furent affecter à un groupe de travailleur et la plupart des tâches étaient relatives à la construction du camp, aux travaux dans les gravières ou dans les dépôts de bois. Aucune pause n'était accordée. Janvier 1944, face à l'avancer de l'Armée rouge, les Allemands jettent les détenus dans l’effroyable marches de la mort. Le 18 janvier 1945 la colonne de détenus se met en marche et ils arriveront au camps de Mauthausen le 25 janvier.  Quatre jours plus tard, Sebastian est affecté à un groupe de travailleurs à l'extérieur du camp dans une entreprise allemande de fabrication d'armes « Mauser Waffenfabrik » destiné à l'armé allemande. Souffrant de malnutrition comme tout le monde mais aussi d'une pneumonie, au yeux des supérieurs il essayait de se montré apte au travail malgré sa fièvre et sa respiration sifflante ne voulant pas être envoyer à l'infirmerie ou à la « douche » sachant qu ceux qui y été envoyer ne revenait jamais. Le 3 mai 1945, les gardes SS abandonnèrent le camp et laissèrent les prisonniers livrés à leur sort et deux jours plus tard celui-ci fut libérer par les troupes américaines. À ce moment, la plupart des gardes SS avaient quitté le camp de Mauthausen, mais 30 qui étaient restés furent lynchés par les prisonniers.

Ne voulant pas rentré à Berlin, Sebastian retournait à Paris qui était déjà libérer depuis plus d'un an et était encore en fête même si la vie avait reprit son cour. Pris en charge par la croix rouge on s'occupait de sa pneumonie qui était assez sérieuse et on essayait de lui faire reprendre quelque kilo ne pesant plus que 45 kilo alors que a la base il en pesait 65. Ses parents disparu dans les camps, il était seul sur ce lit d’hôpital.

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Depuis que Sebastian est parti, Elena n'est plus que l'ombre d'elle même. Elle ne rit plus, ne sourit plus, elle passe son temps à pleurer, à l'attendre. Tous les jours dès le lever du soleil, elle va à la fenêtre et reste toute la journée jusqu'à la nuit tombée. Le soir elle pleure dans son lit de ne pas avoir son chéri avec elle. Les jours, les semaines, les mois passent et toujours pas le retour de son chéri. Elle commence à se dire qu'elle ne le verra plus et n'arrive pas à se faire à cette idée. Eux aussi finissent par être libérer et peuvent reprendre une vie plus ou moins normale. Elena recommence à travailler à Paris, maintenant tout le monde n'en à plus rien à faire qu'elle soit juive, elle redevient institutrice et s'occupe des enfants. Un jour qu'elle ramène un enfant à une de ses amies, celle si qui est infirmière lui dit que Sebastian se trouve à l'hôpital. Au début elle se demande si son amie plaisante ou si elle est sérieuse, mais non, elle est sérieuse. Elena se rend tout de suite à l'hôpital et regarde son chéri allongé dans le lit qui dort, elle n'ose pas le réveiller. Elle s'assoit dans le fauteuil près du lit et attend et se pose pleins de questions. Veut il encore d'elle ? A t-il trouver une autre femme depuis qu'il est de retour ? A t-il une nouvelle vie tout simplement ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Le plus dur était reprendre du poids mais avec sa pneumonie Sebastian avait pas faim il passait son temps à dormir et faire de la fièvre. Dormant, une infirmière entait dans la chambre pour lui prendre sa température sans le réveiller mais le faite de lui avoir prit la température l'avait sorti de son sommeil. Celle-ci prit quelque notes avant de quitter la chambre. Ouvrant les yeux, Sebastian tournait a moitié la tête regardant autour de lui mais il était encore faible et quand ses yeux s'arrêtait sur la chaise face à lui il se demandait si il n'était pas entrain d’halluciné en voyant Elena face a lui.

El...

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