La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Bien entendu que je n'oublie pas ce qu'il a vécu et moi aussi je serais traumatisé. Mais il faut qu'il se fasse aider.

Quand Elena parlait de se chercher un appartement, Pierre fut surprit par ces paroles.

Voyons ma chérie on ne vous met pas à la porte. Essaye d’abord de voir un médecin avec Sebastian pour qu'il puisse parler après... nous verront. Mais toi même tu sais que tu ne pourra pas continuellement chaque soir te lever pour t'occuper de lui un jour ou l'autre tu sera sur les genoux ma pauvre fille. Penses aussi à ta santé Elena. D'ailleurs où est Sebastian ?

Sa femme se levait allant dans sa chambre mai elle était vide.

Il a dit que il descendait chercher le courrier et... je ne l'ai pas vu remonter.

Pierre se levait de sa chaise et prit sa veste puis descendit en bas pour se rendre en ville afin de trouver Sebastian.

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Je ne demande que ça qu'il soit aidé. Qu'il aille mieux, que je retrouve mon Sebastian, mais je sais au fond de moi que je ne le retrouverais jamais comme il était au début. Elle soupire. Papa je n'ai jamais dis que tu nous mettais dehors. Mais on avait déjà parler qu'une fois sortie de ce grenier qu'on voulaient s'installer ensemble avec Sebastian. Alors il est temps que je le fasse maintenant et puis je ne peux pas continuer à vous l'imposez, je me doute que ça ne dois pas être vivable pour vous. Elle hausse doucement les épaules. C'est mon rôle papa, Sebastian à besoin de moi, je dois être là pour m'occuper de lui quand ça ne va, quand il fait des terreurs nocturnes ou des cauchemars, comme toi tu le ferais avec maman ou comme maman le ferait avec toi. Je l'aime toujours autant.   Quand il demande où est Sebastian elle tourne la tête et montre la chambre des yeux avant que sa mère ne vienne. Comment ça il n'est pas remonté ? Voilà maintenant elle s'inquiète, elle prend sa veste aussi et va rejoindre son père pour le chercher.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian avait passer la matinée avec la mère d'Elena. Pour se passer le temps il avait éplucher les légumes qu'elle allait utiliser pour faire une soupe. Après avoir entendu la sonnette du facteur à bicyclette, la mère de famille allait descendre mais Sebastian annonçait que il y allait. Prenant la clé de la boite au lettre il descendit dans le hall d'entrée et ouvrit la boite aux lettres quand un homme le bousculait dans le couloir sans s'excuser et quittait l'immeuble. La personne qui l'avait bousculer Sebastian l'avait déjà vu. Oui ce visage comme l'oublier... un des hommes qui le surveillait lui et les autres quand il travaillait dehors et celui-ci n'hésitait pas a tuer sur une personne qui ne travaillait pas parce qu'elle avait les mains et pied geler. Replaçant le courrier dans la boite, Sebastian quittait à son tour l'immeuble et suivit à distance l'homme qui marchait en ville tranquillement sans peur de se faire arrêter. Pourtant ce gars était pas un simple citoyen, pendant guerre il était sergent SS et Sebastian se rappel même que il s’appelait Stefan Mueller. Alors que celui-ci s’engageait dans une bouche de métro, Sebastian continuait de le suivre descendant l'escalier mais arriver en-bas plus aucun trace de l'homme. Regardant autour de lui, Sebastian se demandait comment il avait pus disparaître quand il se prit un volent coup derrière la tête. Tombant au sol, il se retournait et Mueller lui sautait dessus.

Pourquoi tu me suit hein ? T'es flic c'est ça ?

Demandait-il alors que Sebastian se défendit en le repoussant. Mueller attrapait son poignet puis le regardant, il vit le matricule tatouer à son bras.

Encore une saloperie de juif.

Dit-il en frappant Sebastian au visage mais entendant les sifflets de la police qui venait en leur direction, Mueller se redressait et prit la fuite rapidement. Blesser au visage, Sebastian se redressait et parti à la poursuite de Mueller mais quand il fut arriver sur le quai le métro partait. Soupirant, Sebastian fit chemin inverse et sortant dehors il fut attraper par le bras. Surprit, il regardait qui c'était et fut rassurer de voir que s'était le père de Elena.

Sebastian ! Bon sang où étais-tu cela fait un moins unes heurs qu'avec Elena on te cherche partout.

Lançait-il puis regardait son visage.

Mais... tu as vu dans l'état que tu es ? Qu'est ce qui s'est passer ?

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Avec son père, Elena cherche Sebastian dans les coins qu'il connait, où ils vont se promener tout les deux parfois juste pour qu'il puisse prendre l'air. Elle s'inquiète de ne pas le trouver, elle se demande de plus en plus si il ne s'est pas jeté dans la Seine. Elle connait son chéri, elle sait qu'il va mal et qu'il en est capable. C'est finalement son père qui finit par le retrouver alors qu'il sort de la bouche de métro. Elena ne tarde pas venir rejoindre son père et Sebastian. Si son père s'inquiète de le voir blessé, Elena s'approche de Sebastian et lui met une gifle. Tu ne me fais plus jamais ça Sebastian. Disparaître comme ça sans prévenir. Nous on s'est inquiétés, on à eu peur pour toi, ne sachant pas où tu étais. Tu ne sais pas tous les scénarios qui me sont passés en tête. Elle finit par se calmer et lui prend la main. Allez viens, on rentre maintenant qu'on puissent te nettoyer ton visage et te soigner. Demain tu vas avoir de jolis bleus.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian était avec le père de Elena et quand elle arrivait vers lui en lui collant une gifle il fut totalement choquer. Il n'aurait jamais eut la pensée que un jour elle aurait pus lever la main sur lui. Quand il était interner il en avait reçu pas mal des coups mais la gifle d'Elena avait été plus choquante de toute les violences que il avait connu. D'accord il comprenait que elle avait eut peur de sa disparition soudaine mais le fait de l'avoir frapper brisait quelque chose en lui. Alors que elle se calmait et lui prit la main, Sebastian la fit lâcher et se reculait d'Elena.

Non... Je rentre pas...

Dit-il en la regardant et se reculant. Sebastian jetait un œil sur le père de Elena puis puis les quittaient en descendant dans la station de métro.

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Elena aussi est choquée d'avoir gifler Sebastian, elle ne pensait pas qu'elle se laisserait allez à une telle colère. Mais elle l'as déjà perdu si longtemps qu'elle à eu tellement peur de le perdre à nouveau que la gifle est partie toute seule. Mon amour je suis désolée, je ne sais pas ce qu'il m'as pris de te gifler, excuse moi. Lui dit elle alors qu'il l'as regarde et lui lâche la main. Elle peut comprendre qu'il lui en veuille et accepte qu'il soit à présent en colère après elle, mais qu'il se recule comme si il avait peur d'elle, elle ne comprend pas et ça l'as blesse. Quoi ? Chéri, comment ça ? Mais ? Sebastian attend. Quand il part pour descendre les escaliers de la station de Métro, Elena regarde son père puis se lance à la suite de Sebastian pour le rattraper ne comprenant pas qu'il l'as quitte pour une gifle.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Cela était difficile de la quitter comme ça, mais au fond de Sebastian il savait que il ne pourrait jamais faire sa vie avec Elena comme autre fois ils l'avait rêver ensemble. Le métro allait partir quand Sebastian arrivait sur le quai et se glissait entre les portes avant de partir et disparaître...

Juillet 1951, six année ont passé Sebastian à 35 ans. Depuis que il a quitter Elena, il vit seul. Non pas que les filles ne l'intéresse pas au contraire, il a eut déjà quelque romance mais il se voit mal se mettre en couple. Et de toute façon il ne pourra jamais donner a sa femme un enfant puis que dans les camps il a subie une castration chimique. Ça il l'ignorait le temps qu'il était avec Elena il l'à appris seulement il y a un an lors de son dernier bilan médical. Vivant en France, Sebastian poussait la porte d'un bureau où il travaillait. Depuis trois ans, il travaillait avec un groupe qui traquait les nazi pour les conduires devant la justice et répondre de leur actes. Enlevant ses lunettes de soleil, il déposait un dossier sur le bureau de l'homme aux lunette qui fumait une cigarette. Levant ses yeux au-dessus de ses verres épais il restait silencieux avant de prendre le dossier devant lui.

Comment est la météo en Argentine ?

A cette question il eut un sourire.

Très chaude. Eichmann, a été localiser à Buenos Aires on pourrait le capturer et...

Doucement Seb. Tu sais comme moi que Eichmann est un gros morceau. Et le Mossad voudront être les premier à lui mettre la main dessus. Cela ne sera pas aussi facile que Stefan Mueller.

Prenant un autre dossier, l'homme le tendit à Sebastian.

Franz Stangl, a été signaler au Brésil contacte notre groupe là bas.

Le dossier sous le bras, Sebastian quittait le bureau et s'allumait une cigarette se rendant à la gare qui était a quelque pas du bureau. Rentrant dans la cabine, il glissait quelque pièce dans l'appareil et composait le numéro pour contacter leur collaborateur à l'étranger.

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Quand Sebastian à dit à Elena qu'il ne rentrait pas avec elle, la jeune femme était surprise, elle l'as suivit dans la station de métro mais n'as pas eu le temps de le rattraper. C'est le cœur brisé qu'elle est remontée rejoindre son père qui l'attendait et faire le ménage dans les affaires de Sebastian qu'elle à placer dans deux caisses et mit au grenier pour ne plus y penser et le chasser définitivement de sa tête, de son cœur et de sa vie comme il à fait avec elle. 6 ans ont passés, l'oublier à été dur, mais Elena y est finalement parvenu tant bien que mal, enfin à moitié, elle rêve encore de lui la nuit et se surprend à penser à lui en mangeant une pomme ou en faisant une tarte aux pommes pour sa famille. La jeune femme est toujours institutrice, elle s'est mariée et à eu des enfants, une petite fille de 4 ans qui s'appelle Lucy et un petit garçon de 3 mois qui s'appelle Gabriel. Enfin en ce moment elle est surtout séparée avec son mari et prêt à divorcer d'ici quelques mois, contre l'avis de ses parents, mais c'est sa vie. Aujourd'hui Elena emmène Lucy et Gabriel chez ses parents comme elle le fait assez souvent, elle sait combien ses parents aiment passer du temps avec leurs petits-enfants et ça lui permet à elle de faire les courses tranquillement sans avoir sa fille qui lui demande qu'elle lui achète tout les jouets et son bébé qui pleure dans le landau pour avoir de l'attention. Mais d'abord, elle accompagne son futur ex mari à la gare, celui si doit se rendre dans le sud de la France pour le travail pendant quelques semaines et il lui à demander de l'accompagner pour dire au revoir aux enfants sur le quai. Marchant à ses côtés, elle le laisse pousser le landau de Gabriel et tient la main de Lucy qui marche avec elle.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Le téléphone est peu être une magnifique invention de Alexander Graham Bell mais en ce moment celui-ci lui prenait la tête avec ces éternels coupure. Sebastian avait pus discuter a moitié avec son collaborateur et ayant pus de pièce il quittait la cabine alors que le dans le haut parleur de la gare annonçait l'arriver du train en gare. Pressant le pas, Sebastian accouru vers le train qui arrivait en gare et regardait les différents wagon qui passait il allait à la rencontre de Katharina qui avait pour nom de code « Goldie ». Une superbe blonde avec des airs de Marilyn Monroe qui elle aussi fessait parti du réseau de chasseur de nazis.

Comment s'est passer Berlin ?

Demandait-il en lui tendant la main pour l'aider a descendre du wagon.

Horrible...

Lançait-elle avant de l'enlacer par le cou pour un câlin amicale. Prenant la valise de la jeune femme, Sebastian et Goldie remontait le quai en direction du hall vers la sorti.

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Arrivé dans le hall de la gare, le mari d'Elena va regarder le quai où se trouve son train pendant que la jeune femme garde sa fille à ses côtés et prend son bébé qui vient de se réveiller dans ses bras. A son retour celui si leur annonce le quai et Elena grimace un peu, elle ne veut pas tellement allez sur le quai, il y à du vent et elle n'a pas envie que les enfants prennent froid. Au pire ils l'accompagneront jusqu'à la baie vitrée, mais elle n'ira pas plus loin et surtout pas dans les escaliers, elle n'as pas envie de galérer pour descendre et remonter le landau. Suivant son mari, elle pousse le landau et le laisse garder les deux enfants dans ses bras pour leur dire au revoir avant le départ. Plus que quelques minutes, celui si finit par rendre les enfants à Elena qui remet le bébé dans le landau et reprend la main de Lucy, ils attendent le départ du train et reprennent eux aussi le chemin de la sortie. Il suffit d'une seconde d'inattention d'Elena qui remonte la petite couverture pour que Lucy lui lâche la main et se met à courir dans le hall échappant à la vue d'Elena qui se dépêche pour trouver sa fille parmi la foule qui à décider de jouer à cache cache. Lucy, Lucy montre toi, je n'ai pas envie de jouer. Elle finit par la retrouver et commence à la gronder. Qu'est ce qui t'as pris de partir comme ça ? Tu sais que maman n'aime pas quand tu fais ça, ça lui fait peur et après ça l'as rend triste. Allez maintenant viens dans mes bras je vais porter et on va allez chez papi et mamie, ils nous attendent. Dit elle en se penchant pour prendre sa fille dans ses bras et la mettre sur sa hanche. Elle l'as porte et pousse la poussette, mais repose sa fille au sol quand elles arrivent devant l'entrée de la gare et qu'Elena doit se débrouiller pour les quelques marches avec la poussette.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Alors que ils arrivaient à la sorti de la gare, ils croisaient Elena avec son landau. Voyant la petite, Goldie lâchait le bras de Sebastian et s'avançait vers la petite et s'accroupissant devant elle.

Mon dieu que tu es jolie.

Dit-elle en souriant. Goldie avait perdu ses deux enfants pendant la guerre et dès que elle voyait un enfant elle ne pouvait s'empêche d'aller vers lui. Voyant Elena avec le landau, celle-ci interpellait Sebastian.

Mais voyons aide mademoiselle. Tu es piètre gentleman.

Lançait-elle en le grondant même si elle fessait cela pour le taquiner. Attrapant le bout du landau, Sebastian aidait Elena a descendre les quelque marches avant de le déposer sur le trottoir sans savoir que s'était elle. Goldie prenant la main de la petite fille descendit les marches rejoignant Elena en bas.

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Entre surveiller sa fille et essayer de descendre le landau, la jeune maman à fort à faire et encore plus en voyant qu'une femme s'approche de sa fille et commence à lui parler. Même si on est dans les années 50, les enlèvement d'enfants ça existe et Elena ne veut pas prendre le risque d'une femme lui enlève Lucy. Lucy regarde la dame et lui sourit mais ne lui répond pas, maman, papa et mamie lui ont dit qu'il ne fallait pas parler aux étrangers et la petite fille obéit la dessus. Finalement un jeune homme l'aide tout de même à descendre les marches avec le landau et Elena relève la tête pour le remercier. Mer …....... elle s'arrête en se rendant compte qu'elle à en face d'elle Sebastian. Elle souffle un bon coup avant de reprendre. Merci. Dit elle en le regardant furtivement avant de regarder sa fille qui tient sagement la main de la dame. Lucy, tu dis merci à mademoiselle de t'avoir aider à descendre les escaliers et tu lui dis au revoir aussi, on doit y allez maintenant.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Pencher sur le landau pour le porter, Sebastian n'avait pas vu le visage de Elena c'est quand elle se redressait que il vit que cela était elle. Il avait vu sur son visage sa surprise et quand elle le remerciait rapidement il lui fit un signe positif avant de regarder Goldie qui les rejoignit. Celle-ci souriait a la petite fille qui les saluait alors que ils mademoiselle et sa fille les quittaient. Reprenant le bras de Sebastian, Goldie le trouvait songeur.

Ça ne va pas ?

Si... ça va.

Moi je trouve pas. Tu connais cette fille ?

Soupirant, il s'arrêtait devant le passage pour piéton.

C'est... mon ex-copine.

Ooh... et cela à mal fini ?

Non, c'est plus compliquer. Bon, dépêchons nous on est en retard.

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Jetant un dernier regard à Sebastian et à l'espèce de Bimbo qui l'accompagne, maintenant elle comprend pourquoi il l'as quitter, c'est sur qu'avec cette femme, Elena n'aurait jamais pu rivaliser. Laissant sa fille dire au revoir la femme, Elena reprend la main de sa fille et poussant le landau, elle poursuit son chemin sans se retourner pour se rendre chez ses parents afin de leur laisser les enfants comme elle avait prévu pour allez faire ses courses. Avant de se rendre à l'épicerie comme elle avait prévu, elle reste d'abord boire un café avec ses parents où elle leur explique qu'elle vient à tout hasard de croiser Sebastian en charmante compagnie puis voyant l'heure défilé, elle les quitte pour allez faire ses commissions. Tout en faisant ses courses, elle essaie de ne plus penser à cette rencontre qu'elle vient de faire et qui l'as il faut le reconnaître assez perturbée même si elle refuse de l'avouer.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian et Goldie cela était simplement un lien amicale rien de plus e de toute façon le pauvre Sebastian aurait jamais pus satisfaire la demoiselle vu que le mat a difficile a monter et la « bimbo » aime les hommes qui on de l’endurance sous la couette.

A la réunion, Sebastian prit quelque notes sur son prochain voyage pour le Brésil mais il avait l'esprit ailleurs, il pensait à la rencontre avec Lena et il comprenait sa réaction que elle l'ai ignorer totalement après tout il l'avait abandonner du jour au lendemain sans réel explication. Quand il eut terminer la réunion, il quittait le bureau se rendant en ville pour se rendre à la pharmacie pour prendre quelque médicaments pour son voyage au Brésil. Sortant de la pharmacie, il entrait dans le magasin pour acheter de quoi manger durant son voyage. Arrivant dans le rayon des biscuits et céréale il se retrouvait a nouveau nez à nez avec Elena. La voyant il ne savait comment réagir, sentant une boule se former dans son ventre.

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Le « mât » de Sebastian à peut être du mal à monter, mais Elena ne s'est jamais plainte de leur relation sous la couette. Au contraire, il à toujours su la satisfaire de ce côté là. Ils étaient toujours pleins d'entrain et d'enthousiasme sous la couette quand ils y faisaient des galipettes. Dans le magasin, Elena son panier en main fait ses courses. Elle prend des fruits, des légumes et décide de prendre des céréales pour le petit déjeuner de sa fille et pour faire de la soupe au flocon d'avoine comme elle en fait assez souvent. Attrapant un paquet de flocon d'avoine, elle le range dans son panier et en se retournant se retrouve face à Sebastian. Pardon, j'aimerais passer s'il te plais. Dit elle en essayant de cacher son trouble.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Regardant Elena, la demoiselle lui demandait de passer. Il se poussait sur le côté et quand elle passait à ses côtés, il hésitait un instant puis lui attrapait le poignet sans lui aire de mal.

Tu m'en veux toujours ?

Demandait-il en la regardant. Et quand une femme arrivait dans le même rayon, Sebastian lui lâchait le poignet restait silencieux fessant mine de faire ses courses jusqu'à ce que la femme s'en aille dans le rayon suivent.

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Puisqu'il se décale, Elena passe à ses côtés sans rien dire. Elle est surprise quand il lui attrape le poignet et le regarde. Elle allait lui répondre mais comme il l'as relâche, elle attend que la femme s'en aille puis regarde à nouveau Sebastian. D'après toi Sebastian ? Je t'ai attendu pendant presque deux ans, quand je t'ai enfin retrouver, j'étais la plus heureuse, enfin j'avais mon amour de retour. Et comme ça paf, du jour au lendemain, il décide de me quitter sans explications sur un quai de métro. Elle soupire. Alors oui, je t'en veux toujours de m'avoir fais souffrir sans me donner de raison. D'avoir rompu la promesse que tu m'avais faite qu'on se retrouvera et qu'on sera ensemble. Oh oui tu vas me dire que le temps à passer, mais un coeur brisé par celui qu'on aime plus que tout au monde, ça ne s'oublie pas. Tu sais ce que j'ai fais pour essayer de t'oublier ? Je suis retournée auprès de mon ex, je me suis mariée avec lui, fais deux enfants et tu sais quoi ? Ca n'as pas marcher, je n'ai pas réussi à t'oublier. Mais pour toi tout à l'air de bien allez avec ta nouvelle compagne, alors .............. bref . Ça te va comme réponse ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian écoutant Elena. Elle n'avait pas réussi a l'oublier et lui non plus même si le temps avait passer mais on oublie jamais son grand premier amour. L'écoutant, elle lui parlait que elle était retourner vers son ex et que elle avait eut des enfants et pourtant cela n'avait pas été le bonheur pour elle. La regardant il restait silencieux de toute façon il ne savait pas quoi lui dire à cela après tout elle avait raison le méchant de l'histoire c'était lui. Mais quand elle parlait de sa nouvelle compagne il fut surprit avant de faire un signe négatif.

Ce n'est pas ma compagne, c'est juste une amie.

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Non pour elle avec son mari ce n'est pas la joie, sinon elle ne divorcerait pas. Elle à tout fait pour oublier Sebastian. Elle à même fait semblant de ravoir des sentiments pour son ex mais, c'était juste une douce illusion dans laquelle elle se berçait. Revoir Sebastian lui à fait comprendre qu'il n'as jamais quitter son esprit, ni son cœur. Une fois qu'elle lui à déballer tout ce qu'elle avait sur le cœur, elle reprend son souffle. C'est vrai qu'elle à parler vite et sans respirer ayant peur d'oublier un mot. Quand il lui dit qu'il s'agit juste d'une amie elle hoche la tête ne sachant pas vraiment quoi répondre mis à part. D'accord, ben oui c'est bien. Alors si un jour tu as le temps, passe voir mes parents, ils habitent toujours au même endroit et ça leur fera plaisir de te revoir aussi. Ils ne t'ont pas oublier. Tu sais qu'ils t'aiment comme leur fils.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian ne savait pas quoi répondre à tout cela et donc préférait éclaircir sur le fait que Goldie était une amie et non sa compagne. Elena lui annonçait pas la suite de passer un jour saluer ces parents que pour eux il était comme leur fils. C'est vrai que la famille de Elena avait bien prit soin de lui et ils n'y étaient pour rien dans cette histoire.

Oui, je passerais a mon retour du Brésil.

Dit-il quand deux hommes arrivaient dans le rayon où ils se trouvaient. S'avançant vers Sebastian, ils le poussait sans ménagement contre un coin de mur.

Schmidt était a nous tu comprends ? Alors toi et ta petite organisation, vous allez vous mêler de vos fesses c'est comprit !

Lançait-il avant de lui balancer un coup dans l'estomac avant de partir. Sur le coup, Sebastian se pliait en deux avant de se redresser.

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Même si cette Goldie n'est qu'une amie, Elena en est quand même jalouse. Jalouse que cette femme soit proche de Sebastian, qu'elle puisse le voir, le toucher, être avec lui tout simplement. Tout ce qu'Elena n'as plus pu avoir. Comme il accepte de passer les voir un jour, même si ce n'est pas tout de suite, Elena sourit dans le vague. Ils seront content. Je ne leur dirais rien, sinon ils risquent de t'attendre tous les dimanches. Comme ça tu viendras quand tu seras de retour comme tu dis. Et pour l'adresse, si tu t'en rappelles plus, je te la redonnerait. Elena allait rajouter autre chose quand deux hommes viennent s'en prendre à Sebastian, naturellement elle ne peut rien faire pour l'aider, si ce n'est assister à la scène sans rien comprendre. Elle ne peut que poser son panier et l'aider à se redresser une fois qu'il s'est prit le coup dans le ventre. Sebastian, est ce que ça va ? C'est qui ces hommes ? Qu'est ce qu'ils te voulaient ? Lui demande t-elle en le regardant un peu inquiète.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

C'est vrai que ces parents ont toujours été aux petit soin pour lui et si il annonce qu'il va venir il vont l'attendre avec impatience. Il vaut mieux que il débarque par « surprise » cela est le mieux. Quand les deux hommes arrivaient, Sebastian ne s'y attendait pas et il 'eut pas le temps de dire quoi que se soit. Une fois que ils furent partis, il se dressait debout aider par Elena. A sa demande de qui étaient ces hommes, il la regardait un instant avant de lui répondre.

Pas ici... On va se boire un café ?

Si il devait lui dire la vérité il préférait dans un autre endroit que celui-ci.

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Elena n'a pas comprit ce qu'il s'était passé, sauf que Sebastian à encore des ennemis, même si elle n'as pas idées de pourquoi. Et c'est ce qu'elle demande à son ex compagnon. Qu'as t-il fait pour que ces deux hommes l'agresse en plein magasin et devant témoin comme si de rien n'était. Une fois qu'il est debout et qu'il l'as rassure un peu sur son sort, elle le lâche et reprend son panier en lui demandant des explications. A sa proposition d'allez boire un café, elle réfléchit un instant avant de hocher la tête de façon à répondre à la positive. Elle expliquera à ses parents qu'elle à rencontrer une amie et qu'elle à discuter un long moment avec elle. Laisse moi juste allez régler mes achats et on pourra allez boire un café comme tu viens de proposer. Tu as fini tes achats ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

A la demande d'Elena si il avait fini ces achat il fit un signe positif puis payait les trois truc que il avait prit. Il attendit Elena puis allait avec elle dans un bar/restaurant a quelque pas du magasin. S'asseyant à une table en face d'Elena, Sebastian commandait un café puis laissait Elena passer commande avant de lui expliquer se qu'elle voulait savoir.

Après t'avoir quitter, j'ai rencontré des gens qui comme moi vécu dans des camps. Et de file en aiguille j'ai ingérer le groupe Attila. Nous sommes des personnes qui traque et recueille des informations sur d'anciens nazis, des membres des SS et des collaborateurs des nazis présumés impliqués dans la Shoah pour les traduire en justice.

Dit-il en premier temps pour la faire comprendre se qu'il fessait. Quand la serveuse amenait les boisson, Sebastian la remerciait.

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