Désolée, on est institutrice ou on ne l'est pas, j'ai vu tes fautes, je n'ai pas pu m'empêcher de le signaler comme je le fais avec mes enfants. Quand elle dit ses enfants, elle parle de ses élèves. Alors si il n'est pas prêt, pourquoi c'est lui qui me dis toujours : quand on seras mariés si, quand on seras mariés ça, pour moi ça veut dire qu'il à envie de se marier que je sache. Elle sourit à ce qu'il dit. Je n'en demandais pas tant, mais merci c'est gentil ce que tu viens de dire. A son tour elle écoute Sebastian. C'est vrai, ce n'est pas tout à fait la même chose. Quand tu es parti, tu as du te séparer d'elle, mais ça fait tout aussi mal. D'ailleurs ça va mieux maintenant ? Je ne doute pas de lui, enfin si un peu, j'ai peur qu'il trouve mieux que moi la bas.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Alors tu vas me prendre comme élève.

Lançait-il en lui souriant. L'écoutant parler de fiancé il fit une grimasse.

D’accord je vois a présent. Mais est-ce qu'il ne dis pas cela uniquement pour te faire plaisir ? J'veux dire que en tant que garçon parfois ça nous arrive de dire des chose que on ne penses pas uniquement pour faire plaisir a la fille.

Demandant si il il allait mieux il fit un signe a moitié positif.

Disons que j’essaie de m'y faire. Je ne sais pas encore combien de temps nous resteront ici et je ne peu pas l'obliger à m'attendre.

Alors que Elena parlait d'avoir peur que il trouve mieux que elle, Sebastian souriait.

Quand on aime vraiment quelqu'un on ne trouvera jamais mieux qu'elle.

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Elle secoue la tête. Du tout, tu es bien trop âgé pour être un de mes enfants. Elena lui explique les choses et Sebastian à l'air de bien comprendre ce qu'elle lui dit. Tu sais souvent je me suis posée la question et j'avoue que je lui laissais le bénéfice du doute. Mais pour te dire, de plus en plus je commençais à me le demander. Dis donc vous êtes des beaux salauds vous les mecs, vous savez que c'est blessant de faire croire des choses à une fille juste pour lui faire plaisir ? Je vais t'avouer quelque chose, parfois je me dis que je devrais arrêter tout ça, que ça ne mène nul part. J'ai 20 ans, je vais pas attendre encore des années qu'il daigne enfin m'épouser. Compatissante, elle pose la main sur son épaule et la presse gentiment. Et si tu …..... pourquoi tu ne lui demande pas de venir ici ? Si tu l'aimes, que tu sais qu'elle est la femme de ta vie, épouse la et fait la venir, il y à de la place pour une personne de plus après tout. Elle sourit. Oui il paraît, mais loin des yeux, loin du cœur, même si il n'est parti que pour les vacances de fin d'année, pas de nouvelles, pas d'appels, pas de lettres, rien.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Elena lui annonçait que il était trop vieux pour être l'un de ses enfant se qui le fit sourire.

Dommage.

Parlant que en tant que homme ils étaient cruel de dire « oui » alors que ils ne le pensait pas cela le fit sourire faiblement. C'est vrai que quelque fois cela lui arrivait de dire « oui » pour certaine chose même si il n'avait pas réellement envie de le faire. Parlant de mettre un terme à sa relation Sebastian ne dis rien il ne voulait aps influencer Elena.

Je ne veux pas t’influencer, c'est a toi de prendre ta décision mais... c'est vrai que tu ne vas pas attendre 20 ans non plus.

Dit-il en lui souriant. Parlant de faire venir son ancienne copine, Sebastian souriait et posait sa main sur la sienne.

J'y ai déjà penser mais quand je lui ai dis que je partais a cause de j'étais juif... j'ai vu dans ses yeux un regard que je n'avais jamais vu auparavant et franchement... cela m'as glacer le sang. Comme tu dis loin des yeux près du cœur oui mais c'est méchant de sa part de ne pas te donner de nouvelle.

Dit-il alors que les deux père rentraient du travail dans la salle a manger en saluant les deux jeunes. Sebastian remballait ses affaire pour laisser les deux mères préparer la table pour le repas du soir et Sebastian allait à sa chambre poser ses livres sur le bureau de sa chambre.

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Parce que tu me voudrais comme institutrice toi ? Demande t-elle en souriant. Bon, tu es trop vieux pour être mon élève, mais si tu veux, je peux t'aider parfois si tu as du mal. N'hésite pas à me demander. Et puis la conversation change sur la relation d'Elena qui va droit dans le mur à force. Elena est un peu triste quand même, ça lui prend la tête toute cette histoire. Mais elle sait qu'au fond d'elle, ça ne mènera nul part et qu'elle ferait mieux d'arrêter et de trouver un homme avec qui elle pourrait réelement faire sa vie, plutôt qu'un homme qui dis oui juste pour lui faire plaisir. Tu ne m'influence rien. Tu me réconforte juste dans mon idée que je fais sans doute fausse route avec lui. Tout les conseils sont bons à prendre. A la suite, ils parlent de la relation de Sebastian et quand il pose sa main sur la sienne elle est surprise mais le laisse faire. Donc le fait que tu étais juif lui posait problème ? Alors tant pis pour elle, elle ne sait pas ce qu'elle perd. Et toi tu trouveras mieux qu'elle. Quelqu'un qui t'acceptera comme tu es. Que tu sois juif, catho ou athée, on s'en fiche. Tant pis c'est comme ça. Quand leurs pères rentrent, Elena retire sa main de celle de Sebastian et se lève pour allez embrasser son père et Heydrich. Elle part elle même mettre ses affaires dans sa chambre puis va dans la cuisine aider sa mère et Danka.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian ne voulait pas influencer Elena mais il trouvait cela dommage que elle s'attache a un garçon qui en avait rien a faire d'elle. Mais parler ensemble il semblerait que cela leur ai fait du bien a chacun afin de libérer un peu leur conscience.

1933 fit place à 1934, 1935... jusque 1940. Sebastian avait 24 ans et avait réussi son bac. La famille vivait toujours ensemble et chacun fessait sa petite vie mais se retrouvait toujours pour passer un bon moment au repas afin de discuter de leur journée. 7 mois plus tôt (Le 3 septembre 1939) la France déclare la guerre à l'Allemagne mais il semblerait que rien ne se prépare pourtant les gens restent méfiant. Par ce beau dimanche ensoleiller d'avril, Elena et Sebastian était sorti en vélo se balader dans Le parc des Buttes-Chaumont puis vers midi ils déposait leur vélos et s'asseyait dans l'herbe face au lac magnant les sandwichs que leur mère avait préparer.

C'est vraiment beau ici.

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Sebastian n'as en rien influencer Elena, au contraire. Elle était déjà décider à rompre, mais avoir un avis en plus est toujours bon à prendre et même ses parents lui conseillait de ne pas rester avec son chéri, que ça ne mènera plus nul part. Avec le temps, ils sont devenus si on peux dire amis et discuter ensemble fait toujours du bien. 7 ans ont passé, Elena à quitter son compagnon et depuis elle est célibataire. Entre temps, elle est sortie avec d'autres garçons mais vraiment rien de concret. Elle à maintenant 27 ans, elle est toujours institutrice et s'occupe toujours des enfants comme si c'était les siens. Même si Elena vit toujours chez ses parents et reste proches des parents de Sebastian et même de Sebastian qui reste un très bon ami pour elle. Comme il fait beau aujourd'hui et qu'ils n'ont rien à faire, Sebastian et Elena vont se balader à vélo et se décide d'un petit pique nique face au lac. Avant de répondre, Elena prend le temps d'avaler sa bouchée et sourit. C'est vrai que c'est beau. Quand on y pense, Paris est une ville magnifique.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Paris étaient une grande ville et cachait beaucoup de chose mais il est vrai que cela était une ville magnifique.

Quand on voit la ville avec les bâtiment on a difficile a imaginer que il y a encore des beau endroit comme celui-ci.

Dit-il en souriant à Elena alors que deux personne assise sur un banc derrière eux parlaient que les allemands commençaient a faire des entrés sur la France et que bientôt ils seront sur Paris et que Paris sera occupé... Sebastian écoutait un peu la conversation avant de regarder Elena.

Tu crois vraiment que l'armée Allemande viendra sur Paris ?

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Tu sais il suffit de bien connaître les endroits. C'est vrai que dans le centre de Paris c'est immeuble, immeuble et immeuble. Mais regarde la Tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, Notre Dame, Montmartre et même ici c'est beau. Et le jardin du Luxembourg. Pendant qu'il écoute la conversation des gens, Elena finit son sandwich. A la question de Sebastian, elle hausse les épaules. Je ne sais pas Sebastian, honnêtement je n'en ai pas la moindre idée. Je pense que c'est possible, mais j'avoue que je n'ai pas envie d'y penser. Elle tourne la tête et le regarde, elle pose sa main sur son bras. Tu as peur ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

C'est vrai quand on y pense Paris c'est une capitale ou il y a toujours quelque chose a voir et à découvrir pas étonnant que beaucoup viennent s'installer à Paris.

La capitale de la découverte.

Dit-il en lui souriant. Après avoir écouter la conversation, Sebastian regardait Elena et à sa question, il ne savait pas quoi lui répondre.

Moi non plus...

Répondit-il en lui glissant une mèche de cheveux derrière son oreille.

Peur ? Pas vraiment... Juste inquiet.

Dit-il en lui souriant faiblement avant de terminer son sandwich. Cela fait, ils profitaient un peu du soleil avant de décider de se remettre en route pou terminer leur tour puis direction la maison pour ne pas être en retard lors du repas du soir. Posant leur vélo, ils rentaient dans le salon où étaient réunirent leur parents qui avaient les visage fermé et triste.

Qu'est ce qui se passe il y a un mort ?

La mère l'Elena fit un signe négatif alors que Pierre se lançait.

Nous avons perdu nos emplois. Il semblerait que l’administration n'accepte pas les gens comme nous ! Et nos dirigeants, ceux qui son sensé nous protéger se foute de nous !

Hurlait-il alors que sa femme essayait de le calmer. Heydrich se levait du canapé et tendit un morceau de tissu jaune a chacun des jeunes.

A partir d’aujourd’hui a chaque fois que vous sortez dehors vous devez porter ceci.

Sebastian le prit en main avant de le jeter sur la table base.

Non je refuse !

Seb nous avons pas le choix ! Moi non plus je ne veux pas être signaler au yeux des autres que je suis juif ! Mais si on ne le fait pas on risque de finir en prison.

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La Capitale de la découverte, la ville des amoureux, elle à tout pleins de noms quand on y pense. Mais moi ça reste ma ville tout simplement. Et tant que possible on évite les mauvais quartiers. Quand il lui remet la mèche de cheveux, elle le laisse faire et le remercie. Ne t'inquiète pas, n'y pensons pas pour le moment. Vivons nos vies comme on le fait tout les jours. Ils se baladent en vélo encore un moment et finissent par rentre chez eux. Ils mettent les vélos à la cave et se monte à l'appartement. Elena comme toujours va embrasser ses parents et les parents de Sebastian avant d'écouter ce que son père vient de leur apprendre. Voyant son père s'énerver, elle laisse sa mère et le calmer et écoute ce que leur dit le père de Sebastian. Elena aussi prend le sien et se met à pleurer en silence. Elle finit par essuyer ses larmes et regarde Sebastian. Elle prend l'étoile qu'il vient de lancer, la ramasse et lui donne. Moi non plus je ne veux pas la porter, mais entre dire oui je suis juive et allez en taule, je choisi de montrer que je suis juive. Alors maintenant tu arrêtes de faire le gamin capricieux et tu suis le mouvement c'est tout.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Avec sa famille Sebastian avait fuit Berlin justement pour éviter cela et a présent à Paris on lui obligeait de le faire. Prenant l'étoile que Elena lui donnait, Sebastian poussait un soupire puis enlevant sa veste il la tendit à sa mère pour que elle lui coud l'étoile dessus.

Le lendemain quand Elena allait prendre sont travail on fit comprendre a la demoiselle que on avait plus besoin de ses services même si elle se doutait quel était la raison de son renvoie alors que jusqu'à présent on disait d'elle d'êtres un très bon professeur. Même des élèves furent exclus de l'école se retrouvant sans éducation. Certain parents juif avait prit contacte avec Elena et celle-ci purent leur faire classe dans la salle a manger d'une mère qui l'avait arranger en salle de classe pour les 8 élèves qui avait décider de suivre ces cours.

En juin l'armée Allemande se fit de plus en plus présente dans la ville et les administrations se qui donnait une sensation de peur et de malaise aux gens. Quand Elena terminait ses cours au enfant, de temps en temps Sebastian rejoignait la maison où elle enseignait pour l'accompagner pour le retour une simple sécurité parce que certaine personne avait connu quelque acte de violence. Adosser contre le mur, Sebastian attendit que Elena sorte après avoir vu les 7 élèves passer devant lui rentré chez eux. 

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Elena se doute que Sebastian ne veuille pas afficher qu'il est juif, mais ils n'ont pas le choix et Elena ne le lâchera pas tant qu'il n'acceptera pas de mettre cette fichue étoile. La sienne, Elena l'as coud toute seule sur sa veste, avec sa mère qui l'aide en lui expliquant où elle doit donner des coups d'aiguille. La soirée fut maussade et le lendemain matin, elle se rend à l'école mais elle se fait assez vite rembarrer, nul besoin d'en comprendre la raison, elle n'est qu'une juive et ça ne leur plait pas. De retour chez elle, Elena s'est laissée consoler par sa mère qui comprenait ce que pouvait ressentir sa fille. Mais heureusement, elle peut continuer à enseigner grâce à des parents d'élèves juifs qui voulait la garde comme enseignante pour leurs enfants. Tous les jours elle se rend dans chez cette famille et fait classe aux enfants et elle revit. Elle fait ce qu'elle aime, elle est avec les enfants qu'elle aime, il ne manque rien ou pratiquement rien à son bonheur. Depuis que l'armée Allemande est entrée à Paris, Elena se fait discrète quand elle part de chez elle et qu'elle rentre chez elle. Si certains de ses connaissances juifs ont connu de la violence, elle, elle y à encore échapper et souvent, Sebastian vient la chercher ce qui l'as rassure il faut l'avouer. Quittant la famille pour rentrer chez elle, elle sourit en voyant Sebastian l'attendre. Elle s'avance vers lui et l'embrasse sur la joue. Coucou toi.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Sebastian fit un sourire à Elena quand elle venait vers lui et l'embrassait sur la joue.

Ça été ta journée ?

Demandait-il en lui souriant. Offrant son bras à Elena, Sebastian accompagner de la demoiselle marchait en direction de chez eux tout en discutant de la journée d'Elena quand un policier les firent s'arrêter en leur demandant leur papier. Soupirant, il sorti ses papiers l'homme les regardait puis lui rendait avant de prendre ceux d'Elena.

Vos papiers ne sont pas a jour. Allez vous rendre dans le commissariat de votre quartier afin de vous mettre a jour.

Une fois que il eut rendu les papiers, Sebastian et Elena reprit leur chemin.

Depuis quand on doit aller au commissariat mettre a jour nos papier ? Il y a anguille sous roche...

Dit-il avant d'arriver enfin chez eux.  

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Oui elle était très bien comme toujours. J'adore mes enfants et pouvoir enseigner c'est vraiment ce que j'aime faire. Et toi ? Comment s'est passée la tienne ? Demande t-elle en retour en prenant son bras qu'il lui offre. Marchant direction chez eux, ils discutent en même temps et quand ils se font arrêter par un policier, Elena prend peur et serre un peu plus fort le bras de Sebastian. Les papiers qu'il demande, elle les sort et les range quand il lui rend. Je ne sais pas Sebastian. Demandons à nos parents, ils sauront mieux nous répondre. Excuse moi de t'avoir serrer le bras si fort, j'ai ….... j'ai eu peur et serre ton bras me rassurais. Une fois arrivée chez eux, elle lâche son bras et pousse la lourde porte cochère avant d'entrer dans le hall de l'immeuble puis de monter à leur étage. Elle sort ses clés et ouvre la porte d'entrée.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

La journée de Sebastian était oins intéressante que celle de Elena elle au moins elle avait un peu de divertissement avec les enfants lui de son côté il y avait rien de divertissant de jouer au carte avec la mère de Elena.

C'était... tranquille. Mais c'est bien que tu peux encore enseigner.

Quand il se furent arrêter, Sebastian avait senti Elena s’agripper a lui et cela ne l'avait pas déranger et puis il comprenait se réaction. Après que elle s'excusait de l'avoir serre il fit un signe négatif.

Aucun problème, je comprends.

Sebastian trouvait cette situation étrange mais comme l'avait dit Elena leur parents peu être auront la solution mais quand on leur demandait ceux-ci était incapable d'y répondre et préférait suivre les instructions plutôt que de risquer d'avoir des problèmes.

Plus les jours avançaient plus la vie des juifs devenaient difficile. En plus de porté cette étoile, les juifs doivent rendre leurs vélos, les juifs n'ont pas le droit de prendre le tram ; les juifs n'ont pas le droit de circuler en autobus, ni même dans une voiture particulière ; les juifs ne peuvent faire leurs courses que de trois heures à cinq heures, les juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif ; les juifs n'ont pas le droit de sortir dans la rue de huit heures du soir à six heures du matin ; les juifs n'ont pas le droit de fréquenter les théâtres, les cinémas et autres lieux de divertissement ; les juifs n'ont pas le droit d'aller à la piscine, ou de jouer au tennis, au hockey ou à d'autres sports ; les juifs n'ont pas le droit de faire de l'aviron ; les juifs ne peuvent pratiquer aucune sorte de sport en public. Les juifs n'ont plus le droit de se tenir dans un jardin chez eux ou chez des amis après huit heures du soir ; les juifs n'ont pas le droit d'entrer chez des chrétiens ; les juifs doivent fréquenter des écoles juives.... Exaspérer de cette situation Pierre lançait lors du repas :

Je n'ose plus rien faire, j'ai peur que ce soit interdit.

Lançait-il alors que dans leur assiettes la nourriture étaient restreint alors que en 1933 ils mangeaient à leur faim.

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Elle sourit à ce qu'il lui répond. Merci. Je t'avoue que je suis heureuse aussi. Ça me manquais trop de ne pas pouvoir enseigner. Tu voudrais venir un jour avec moi ? Tu pourrais m'aider à m'occuper des enfants. Qu'est ce que tu en dis ? L'épisode arrestation lui à fait peur et elle se doute que Sebastian à sentie sa peur. Heureusement il ne lui en veut pas de s'être accrochée à lui. Une fois chez eux. Ils demandent à leurs parents qui disent pareil qu'Elena. Suivons les règles et voyons ce qu'il se passent. Enfin plus ça va et moins ça va. Tout empire pour les juifs. Bientôt ils auront des heures pour respirer. A table avec ses parents, Sebastian et ses parents, Elena écoute son père se plaindre en se retenant de pleurer de cette situation. Papa, beaucoup s'en vont. On devraient peut-être songer à partir nous aussi

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

La demande de Elena le surprenait mais cela pourrait être une bonne idée même si Sebastian n'avait jamais travailler avec des enfants mais cela ne devait pas êtres si compliquer que ça de s'occuper d'enfant.

Assit à table, Sebastian restait silencieux en mangeant son repas et écoutant Pierre se plaindre. Alors que Elena s'adressait à son père que ils devaient partir celui-ci fut surprit.

Mais pour aller où ? Nous sommes contrôler on ne pourra pas passer la frontière sans se faire arrêter !

Après quelque jours les enfants qui étaient au nombre de 8 ne furent plus que 6 puis 3 puis 1. Certain famille quittait Paris, d'autre disparaissait du jour au lendemain sans raison. Pierre qui travaillait au noir chez un garagiste avait apprit par celui-ci que il devait fuir avec sa famille si il ne voulait pas se faire tuer que certain juifs avaient été arrêter sans raison et qu'on avait pus revu. C'est avec beaucoup de regret que la famille dus quitter leur appartement ne voulant pas se faire tuer. Comme les Juifs n'ont pas le droit d'utiliser les transports publics, ils doivent marcher pendant plusieurs kilomètres depuis leur appartement, chacun revêtant plusieurs couches de vêtements pour qu'on ne s'aperçoive pas qu'ils transportent des valises. C'est tard dans la nuit qu'ils arrivaient chez une dame qui avait accepter de les cachés et en contre parti recevait de l'argent de la famille. Arriver devant le magasin la femme leur ouvrit la porte et fit entrer les familles. Traversant les allées du magasin elle ouvrit une porte et montait à l'étage. Arriver devant une bibliothèque elle la fit glisser puis ouvrit une porte cacher derrière et laissait les familles entré par le petit escalier arrivant dans le grenier aménager en appartement. Appartement beaucoup moins chic que celui de la famille James. Dans l'appartement se trouvait déjà un couple ,un homme et une femme d'une quarantaine d'année qui les accueillaient. L'appartement était diviser en quatre chambre, une salle de bain commune et une cuisine avec salle a manger et une petite pièce qui servait de garde manger. Dans la chambre où se trouvait Sebastian et Elena se trouvait deux lits ne pouvant pas construite de mur un file fut tiré pour séparer la chambre et un drap fut place sur celui-ci coupant la chambre en deux si la demoiselle avait besoin d'intimité. Sebastian enlevait ses affaires les rangeant dans le petite coin de la pièce qui lui était réserver puis tournait la tête regardant Elena qui lui tournait le dos.

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Chez eux Elena demandeà son père pourquoi eux aussi ne partentpas et à sa question de savoir où allez, la jeune femme hausse les épaules. Je ne sais pas où on pourraient allez. J'ai entendu dire que certains partaient en Belgique, en Angleterre et les plus courageux voulaient allez aux USA. Finalement ils s'en vont eux aussi. En pleine nuit et une longue marche les attends. Elena à les pieds en feu mais elle tient bon malgré la fatigue. Arrivée chez cette femme et voyant la misère dans laquelle ils sont maintenant, Elena se demande ce qu'ils vont devenir. En attendant de savoir la suite, elle se retrouve à partager sa chambre avec Sebastian. Heureusement chambre légèrement séparée par un drap. Chacun son semblant d'intimité. Dans sa partie, Elena retire tout les vêtements qu'elle porte et enfile un long t-shirt puis se retourne. Seb ? Je vais essayer de dormir une petite heure. Je suis fatiguée. Tu vas faire quoi ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Voyant l'heur il y avait pas grand chose a faire et Sebastian préférait lui aussi se reposer.

Je vais dormir aussi un peu.

Dit-il à Elena. S'avançant, il l'embrassait sur la joue puis tirait le drap entre eux deux et se couchait sur son lit pour dormir. Et même si il pensait que il arrivera pas a dormir rapidement il trouvait le sommeil épuiser par tout ce qui s'était passer. Se réveillant, Sebastian regardait par la toute petite fenêtre qu'ils avaient dans leur chambre le soleil était déjà lever. Passant son pantalon, qui quittait la chambre sur la pointe des pied laissant Elena dormir et allait à la cuisine boire une tasse de café avec les personnes qui étaient déjà réveiller. Plus tard dans la journée le mari de la dame qui les cachaient leur apportaient du ravitaillement : nourriture, eau, café. Étant le seul contacte avec l’extérieur ils les tiennent au courant des nouvelles de la guerre et des événements politiques et leur amène même une radio mais a écouter en sourdine pour ne pas se faire repérer par les Allemand.

Confiner dans le grenier était difficile les premier jours mais l'on essayait de trouver un moyen de tuer le temps avec certaine activité comme le dessin, la couture, la lecture... Après le repas Sebastian s'était allonger sur son lit pour lire un livre. Entre lui et Elena le draps était tiré alors que la demoiselle se déshabillait pour la nuit. La lumière du coter d’Elena se projetait sur le draps dessinant ainsi la silhouette de la demoiselle comme une ombre chinoise ou il pouvait distinguer chaque parti de son corps nus. Situation embarrassant mais plutôt... agréable même quelque peu érotique.  

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Elena décide de se coucher une petite heure pour dormir et se reposer. Il faut croire que Sebastian est fatigué aussi vu qu'il décide de faire de même. Quand il l'embrasse sur la joue, elle fait de même et va se coucher. Elena aussi trouve le sommeil rapidement, un sommeil peuplé de cauchemars qui la font se réveiller en sursaut plusieurs fois mais elle arrive à se rendormir aussi vite.Quand il sort de la chambre au petit matin, elle dort encore et finit par se réveiller quelques heures après. Une petite toilette et elle s'habille puis va rejoindre tout le monde. Ce n'est pas facile de vivre les uns sur les autres et la jeune femme à souvent besoin de solitude, mais ça elle ne peut pas, ils ne sont pas seuls, elle ne peut pas se permettre de s'enfermer dans une pièce. Après le repas, ils remontent dans leur chambre, pendant que Sebastian lit, Elena se change, elle retire sa robe et ses sous vêtements pour enfile une chemise de nuit et une nouvelle petite culotte. Quand elle se retourne, elle voit que la lumière à projeter son ombre et la jeune femme se retrouve mal à l'aise. Sebastian, rassure moi, tu n'as rien vu ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Le seul endroit où ils pouvaient avec de l'intimité étaient leur chambre quelque fois Sebastian sortait pour laisser Elena seule mais il est vrai que il ne pouvait pas aller ailleurs et le plus dur étaient de ne pas pouvoir sortir. Le seul moment où il pouvait respirer de l'air frais était quand ils ouvraient la fenêtre et encore cela était que quelque minute pour ne pas attiré l'attention sur le grenier.

Sur son lit, Sebastian n'arrivait pas à se décrocher de la silhouette d'Elena et quand celle-ci s'adressait a lui il fut surprit. L'avait-elle vu ou alors elle s'était rendu compte que la lame la reflétait ? En tout cas à sa question il ne savait pas quoi y répondre et préférait rester silencieux jusqu'à se qu'elle écarte de draps un fois fini. La regardant face a lui, Sebastian attirait sa couverture la plaçant sur lui il était trop honteux que la demoiselle voie que sous le pantalon du jeune homme avait eu du plaisir a la regarder.

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Même si Elena aurait préférer avoir une chambre rien qu'à elle. Sebastian est un bon coloc. Il ne laisse pas traîner ses chaussettes et ses slips salent, il ne ronfle pas, il fait son lit, le ménage de son côté de la chambre et parfois il laisse la chambre à Elena qu'elle puisse être seule, mais ce n'est pas pareil. Est ce qu'Elena à vu Sebastian la regarder ? Non mais elle s'est doutée qu'avec le reflet et l'ombre, il à pu voir quelque chose. Enfin heureusement il ne l'as pas vu entièrement. Mais juste sa silhouette. Mais toute de même, il aurait pu voir la courbe de ses seins et de ses fesses. Quand elle vient lui demander si il l'as vu, elle ne comprend pas sa réaction, mais elle finit vite par se rendre compte qu'il à vu quelque chose, surtout la façon dont il se cache. Excuse moi Sebastian. A l'avenir, je ferais attention à ne rien laisser voir. Elle sourit en voyant la bosse sous le drap. Heumm un peu d'eau froide ça peut aider.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand Elena s'excusait il fit un signe négatif.

Non, ce... ce n'est pas grave ce... s'était agréable a regarder...

Dit-il avant de rougir à se qu'il venait de dire. Mais c'est vrai que cela avait été agréable puis que Elena lui avait fait quelque peu de l'effet. A sa demande si il avait besoin d'eau froide il se senti rougir doublement prêt a se cacher dans un trou de souris.

Euh... nan ce... ça va aller... ça... ça partira tout seul...

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Elle le regarde surprise à ce qu'il vient de dire. Ah parce que tu as regarder ? Mais enfin Sebastian. Je suis pratiquement ta soeur depuis toutes ses années et toi tu me regarde quand je suis nue ? Est elle fâchée ? Non pas vraiment. Plutôt surprise de ce qu'il à fait. Il faut dire aussi qu'elle trouve cela flattant. Après tout ça prouve qu'elle est belle à regarder et qu'elle à un beau corps. Pour l'aider à faire partir sa trique, elle lui propose de l'eau froide, mais non il n'en veut pas. Elle sourit alors. D'accord comme tu veux. Je vais nous chercher une petite cruche d'eau et deux verres au cas où on à soif cette nuit. A tout de suite. Dit elle en sortant de la chambre.

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