Mon Dieu, enfin elle le revoit. Son amour, celui qui lui à tellement manquer. Comme elle est heureuse pour le coup, mais comme elle souffre aussi de le voir comme ça. Au moins maintenant il est sorti de cet enfer, il est à l'hôpital et les médecins vont bien le soigner. Elena veille sur lui, elle ne le quitte pas des yeux, elle le regarde, sans un mot, sans un bruit et quand il ouvre les yeux elle sourit. Elle s'apprête à se lever pour lui montrer qu'elle est là, mais il l'as voit tout de suite. Elle se lève et s'approche du lit. Elena, oui c'est bien moi. Dit elle en gardant son sourire et en prenant sa main.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Quand Elena lui prit la main il compris que cela était pas une hallucination que c'était la réaliser que elle était là. Combien de fois il avait penser a elle quand son morale était au plus bas et souvent différente pensée lui venait en tête si elle avait elle aussi été arrêter, avait-elle quitter Paris... Mais a présent elle était a ses côtés. Serrant sa main il lui adressait un sourire. Il avait tellement de chose a lui dire mais il était trop faible.

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Elena est rassurée quand il ne l'as repousse pas. Non au contraire il lui serre la main. Elle s'assoit sur le rebord du lit et de sa main libre, Elena lui caresse le front en lui souriant aussi. Repose toi Sebastian. Tu as besoin de dormir et d'être au calme pour reprendre des forces, te remettre et pouvoir rentrer avec moi. Je reste là, je ne bouge pas pour l'instant. Non elle ne compte pas partir tout de suite, elle va rester avec lui jusqu'à la fin des visites, mais elle reviendra demain, après demain, elle sera là tout les soirs après son travail pour s'occuper de son chéri. Elena vit toujours chez ses parents mais elle les préviendra qu'elle à retrouver Sebastian et qu'elle rentrera avec lui quand il pourra quitter l'hôpital.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Ayant retrouver Elena lui non plus ne voulait plus la quitter. Si il ne serait pas aussi faible il l'aurait serrer dans ses bras et couvert de baiser comme autre fois. La pneumonie était difficile a guérir surtout que Sebastian fessait toujours de la fièvre. Mais avec tout les médicaments que on lui fit avaler celle-ci commençait à diminuer jusqu'à disparaître même si elle l'avait tenue encore deux long mois. A présent guéri, il était temps de le remplumé et l'engraisser comme une bonne dinde de noël même si cela était difficile. Ayant reprit seulement 10 kilo ne pesant que 55kg l’hôpital acceptait que Sebastian sorte puis que il ne sera pas seul. Sortant de l'hôpital, Sebastian suivit Elena sur ses deux jambes sentir l'air frais lui fessait du bien.

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A la façon dont il lui tient la main, dont il l'as regarde, dont il s'accroche à elle, Elena comprend que lui aussi l'aime toujours et elle se sent rassurée. Mais aussi inquiète pour son chéri qui n'est pas au meilleur de sa forme. Heureusement les médecins s'occupe bien de lui. Deux mois plus tard, il est enfin guérit, même si il reste encore très mince, mais Elena sait qu'avec les bons repas de sa mère, il reprend vite des kilos. Enfin il peut sortir, naturellement, il va venir vivre chez Elena, ses parents lui ont préparer une chambre. Non pas qu'Elena ne veut pas passer ses nuits avec lui, mais elle pense qu'une chambre rien qu'à lui, peut lui faire du bien. Elle ne veut pas le forcer à reprendre la vie commune avec lui tout de suite, elle veut attendre qu'il soit prêt. Aujourd’hui il peut sortir, Elena vient le chercher, elle prend son sac et lui prend le bras pour le tenir et le laisse prendre l'air frais. Est ce que ça va ? On va prendre le métro et dans 15 minutes on sera à la maison. Je suis sure que ma mère t'as préparer un de tes plats préférés. Et moi je t'ai préparer ta tarte aux pommes préférée. Dit elle en souriant.

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Dehors l'air était agréable par ce moins d'août 1945. fessant quelque pas, Sebastian regardait autour de lui et quand Elena lui demandait si cela allait il lui fit un signe positif.

Oui ça va...

Dit-il en lui adressant un sourire avant de la suivre. Quand elle lui parlait que sa mère avait préparer son plat préférer et que elle avait réaliser une tarte au pomme cela le fit sourire. Oui cela fessait si longtemps que il n'avait plus manger de tarte aux pommes. Descendant dans la bouche de métro, Sebastian senti une boule se formé dans son estomac mais il essayait de ne pas y préférer attention cela fessait quelque jour que son estomac lui jouait des tour surtout depuis que l’hôpital essayait de lui faire prendre du poids. Mais quand ils furent dans la rame de métro c'est là que il se senti mal à l'aise se revoyant dans ses wagon a bestiaux serres les uns contre les autres avec le bruit strident des freins sur les rails. Assit sur un des siège, Sebastian fermait les yeux serrant sa main dans celle d'Elena.

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Pour une fois il ne fait pas trop chaud et le trajet ce passera rapidement. Elena à hâte de rentrer à la maison, que ses parents puissent revoir et embrasser Sebastian et que celui si puisse se reposer un peu. Dès demain ou plutôt dans les jours et les semaines à venir, elle verra pour leur trouver un appartement rien qu'à eux, comme ils en avaient parler ce fameux soir de leur dîner en amoureux. Elena n'a pas oublier combien son chéri adorait les pommes. Pendant son absence, dès qu'elle voyait des pommes, elle avait envie de pleurer en pensant à lui. Pendant longtemps, elle ne pouvait plus en manger. Maintenant qu'il est là, ça va mieux, elle s'est même mise en cuisine pour lui faire une tarte aux pommes avec amour, pour son amour. Dans la rame de métro, elle s'assied à côté de Sebastian et laisse sa main dans la sienne, quand il commence à lui serrer, elle se demande ce qu'il se passe. Elle le regarde et voit qu'il n'as pas l'air bien. Sebastian ? Chéri qu'est ce qui ne va pas ?

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La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées

Il y a beaucoup de chose qui on manquer à Sebastian durant ces longues année dans les camps. Une bonne douche chaude, un bon chocolat chaud en hiver une pomme ou même un autre fruits mais surtout les baisers d'Elena. Un jour au travers les grillages il avait vu une pomme au sol et s’était dépêcher de l'attraper. Celle-ci était geler et a moitié pourrie mais il avait tellement faim que cela ne l'avait pas empêcher de la grignoter complètement même si le lendemain son intestin n'avait pas été ravis de cette pomme. Mais le reste du temps il avait rien a manger un simple croûton de pain aussi dur que de la pierre et du bouillon qui était plutôt de l'eau chaude avec une ou deux carotte qui trempait dedans.

Dans le métro, Sebastian restait silencieux serrant la main d'Elena qui avait remarquer que cela n'allait pas. Fessant un signe négatif il gardait les yeux fermer en lui annonçant que ça allait passer... Mais il fut heureux quand elle lui annonçait que il était temps de sortir. Bousculer par les gens, il ne lâchait pas la main Elena la gardant dans la sienne avec la peur de la perdre a nouveau. Mais quand ils furent hors de la bouche de métro, à l'air pur là il commençait à se détendre.

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Tout ce qui lui à manquer, il pourra en ravoir à volonter, des douches, du chocolat chaud, des fruits, des baisers d'Elena, surtout les baisers d'Elena, ils ont perdu du temps, ils doivent le rattraper maintenant. Maintenant son chéri ne souffrira plus de faim, de froid, il aura toujours une bonne assiette bien remplit, bien chaude. Elena veillera qu'il ne manque de rien. A force Elena connait Sebastian, elle à bien remarquer que quelque chose n'allait pas et comme il ne veut pas entrer dans les détails, elle hoche la tête quand il lui dit que tout va bien. Arrivée à la station, elle se lève et lui dit qu'ils sont arrivés. Elle s'apprêtait à lui lâcher la main pour sortir du métro, mais comme il reste agripper à elle, Elena le laisse faire et l'entraîne avec elle. A nouveau à l'extérieur, elle lui montre un immeuble juste en face. Voilà, on habite ici maintenant. Au troisième étage. Tu es prêt à découvrir ton nouvel appartement le temps qu'on trouvent notre petit nid d'amour ?

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Sebastian avait difficile a reconnaître Paris, certaine chose était différente mais la capital avait garder son charme. Regardant l'appartement que Elena lui montrait il fit un signe positif avant de lui adresser un sourire quand elle parlait de leur petit nid d'amour. Lui non plus n'avait pas oublier leur discutions et quelque fois il se les repassait en tête les jours ou il avait des pensés plutôt sombre. Marchant avec Elena il la suivit au troisième étage où se trouvait les parents de sa compagne. Il était content de les retrouver même si il savait que il ne pourront jamais remplacer les siens.

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Leur petit nid d'amour, cette fois Elena pourra vraiment se mettre à la recherche d'un appartement pour eux deux. Même si pour le moment, ils vont rester chez les parents d'Elena comme avant, comme quand ils étaient tous ensemble. Posant le sac, elle pose sa main sur la joue de Sebastian et lui sourit. On y va, ils t'attendent avec impatience. Dit elle en gardant son sourire puis en reprenant le sac et gardant sa main dans la sienne. Ils traversent la rue et arrivent à l'immeuble, Elena pousse la porte, lui montre le hall et la cage d'escalier. Ils montent à l'étage où les attendent les parents de Sebastian. Laissant les trois se retrouvent, Elena va déposer le sac dans la chambre qu'elle à préparer pour Sebastian. Non pas qu'elle ne veut pas refaire chambre commune avec lui. Mais elle veut attendre qu'il soit prêt à reprendre leur relation.

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Directe il eut placer le pied dans l'appartement que il fut directement accueillit par Pierre puis la mère d'Elena. Il avait bien vu sur leur visage la surprise de le voir ainsi. Oui il était très différent du petit étudiant que ils avaient accueillit chez yeux quelque année auparavant mais il ne voulait pas le bousculer avec leur question faut dire que il avait pas grand chose a leur raconter après tout il n'était pas parti en camps de vacance et la plus part des récits que il pourrait raconté n'était que tristesse. Et certaine personne qui avaient parler de se qu'ils avaient vécu n'était même pas cru on les traitaient de menteur et d'exagérer la situation. Après quelque minute, Sebastian pus découvrir sa nouvelle chambre et prit place sur le bord de son lit.

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Elena le laisse à ses retrouvaillent avec ses parents, elle sourit en les entendant lui dire combien ils sont heureux de le revoir et qu'il soit de retour parmi eux. Sa mère l'emmène dans la chambre où Elena termine de ranger ses affaires dans l'armoir. Elle sourit à Sebastian quand il entre. J'espère qu'elle te plait ? Elle est plus petite que celle que tu avais avant mais j'ai essayer de la faire à peut près pareil. De la fenêtre, tu as une jolie petite vue sur la Seine. Dit elle en souriant et en le laissant s'asseoir sur le lit. La salle de bain est à côté, ma chambre est juste en face de la tienne. Si jamais tu as besoin de quelque chose, tu peux venir me demander. Elle vient le rejoindre et s'agenouille devant lui. Non elle ne va pas lui faire une demande en mariage, mais elle pose la main sur son genou. Est ce que tu veux te reposer maintenant ? Ou allez manger ? Peut être prendre un bon bain chaud ?

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C'est vrai que cela était plutôt mais plus agréable de se qu'il avait au camps ça c'est sure. Assit sur le lit il écoutait Elena et lui fit un signe positif quand elle lui parlait des différents endroit et de sa chambre. C'est vrai que dormir avec Elena était trop tôt même si un parti de lui le voulait mais il avait encore le sommeil perturber et il ne voulait pas lui balancer des coup durant la nuit sans le vouloir. A sa demande se qu'il voulait, lui même ne savait pas se qu'il voulait. La regardant, il posait ses mains sur les sienne et lui adressait un sourire.

Je... je sais pas trop... un bol de chocolat.

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Agenouillée devant Sebastian, Elena lui explique les pièces et garde les mains sur ses genoux, sans quelles soient baladeuses, juste pour pouvoir toucher son compagnon sans le brusquer. Si elle s'écoutait, elle sauterait sur Sebastian pour faire l'amour avec lui. Mais elle se retient. Elle préfère attendre que lui vienne vers elle. Même pour dormir, ça sera chacun sa chambre, mais Elena se connait, elle sait que cette nuit, elle viendra rejoindre Sebastian dans sa chambre pour le regarder dormir et s'allonger contre lui quelques minutes. Quand il pose ses mains sur les siennes, elle lui sourit aussi. Un bol de chocolat avec des tartines ou une part de gâteau ou de tarte ? Demande t-elle en se redressant et en lui déposant un baiser sur le nez.

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A la question d'Elena ce qu'il voulait avec le bol de chocolat il ne savait quoi répondre. Si il arrive déjà a avaler le bol de chocolat sans devoir courir au toilette pour le rendre cela sera déjà un bon exploit. Certes il avait réappris a manger mais il y avait encore certain aliments qui avait encore difficile à garder dans l'estomac même si quand il le mangeait cela lui gouttait beaucoup. Regardant Elena se redresser, l la regardait et eut un sourire quand elle lui embrassait le bout du nez.

Je... seulement du chocolat.

Dit-il avant avant de se lever et la suivre à la cuisine. S’avançant vers la table ou se trouvait les parents d'Elena, Sebastian se mit assit regardant la mère éplucher les pommes de terres et son père qui avait pas changer toujours a faire les mots croiser du journal. Silencieux, il les regardaient faire ne sachant que dire.

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Puisque Sebastian ne veut qu'un bol de chocolat, il n'aura qu'un bol de chocolat. Elena se redresse après lui avoir embrasser le bout du nez et lui tend la main. Elle l'emmène avec elle dans la cuisine où se trouve ses parents. Elle le laisse prendre place et va s'occuper de préparer le chocolat que voulait son chéri. Elle le laisse avec ses parents qui sont bien occupés comme toujours et qui n'ose même pas parler avec Sebastian, alors qu'avant les discussions allaient bon train. Si finalement c'est la mère d'Elena qui entame la conversation avec une question tout à fait banal.   Alors Sebastian, est ce que la chambre te plais ?

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Silencieux, Sebastian sorti de ses pensées quand la mère d'Elena s'adressait à lui en demandant comment était la chambre.

C'est... bien...

Répondit-il avec un faible sourire. Pour lui elle était très bien, presque un quatre étoiles comparée à ce qu'il avait connu ces trois dernière année. Lit superposé en bois avec aucun matelas, ni couverture et ni oreiller. D'habitude le jeune homme était un vrai moulin a parole quand il étaient en captivité mais a présent il fallait lui tiré les vers hors du nez comme on dit. Mais Sebastian ne savait pas de quoi parler et il se voyait mal parler de se qu'il avait vécu durant ces dernières années. Les médecins lui avait dit que cela prendrait du temps de reprendre de retrouver une vie normal et il espérait que cette vie qu'il avait laisser derrière lui revienne doucement.

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Il est vrai qu'avant, Sebastian ne pouvait pas se taire, il parlait, parlait, parlait. Le seul moyen qu'Elena connaissait était de l'embrasser pour qu'il se taise. Maintenant il faut lui arracher les mots de la bouche pour qu'il parle un peu. La mère regarde Elena et Elena hausse les épaules. Elle vient vers Sebastian avec le bol de chocolat chaud. Voilà Sebastian. Un chocolat chaud comme tu les aime. Dans son chocolat, Elena à rajouter un peu de miel, ça ne peut pas lui faire de mal à son chéri. Elle pose le bol devant lui et lui fait signe d'attendre, elle revient avec une boite de médicament qu'elle ouvre. Le médecin m'as dit que tu devais prendre ça aussi.

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Assis, Sebastian se contentait de regarder se que fessait les parents d'Elena et quand elle lui posait le chocolat devant lui il la remerciait. Posant les mains dessus, il allait le porter à ses lèvres quand Elena lui demandait d'attendre. Peu être voulait-elle en boire un avec lui, mais non elle ouvrit une boite de médicaments devant lui pour lui donner. Regardant les pilules, Sebastian ne fit aucun geste pour les prendre. Non, il en avait trop avaler des pilules quand il était dans les camps nazi. Avec d'autre personne on lui disait de les avalés sans discutions que cela était des vitamines. Mais en réalité on testait certain médicaments pour vérifié leur efficacité. Une fois une des pilules lui avait donner la Dysenterie il avait été très mal au point que il croyait en mourir. Mais heureusement, sans doute due à sa bonne étoile, il s'en était remis même si cela avait prit du temps. Par contre certain hommes étaient tomber très malade et certain en été mort... En fait, on les testaient comme des vulgaires rats de laboratoire. Et quand Elsa déposait les pilule devant lui, Sebastian les repoussaient loin devant lui.

Non... pas question je prends pas ça ! 

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Le médecin à donner à Elena des vitamines pour Sebastian, il faut qu'il les prenne pour allez mieux et il ne va pas commencer  à faire l'enfant. Quand elle lui pose les pilules et qu'il les repoussent, Elena s'assoit à côté de lui et le regarde. Sebastian, ce sont des vitamines, pour que tu ailles mieux. C'est le médecin qui me les as donner. Tu dois les prendre pour les allez mieux. Elle pose la main sur la sienne et lui sourit. Mon chéri, c'est uniquement pour que tu guérisses plus vite. Regarde. Elle prend un des comprimés, le met en bouche et boit un peu d'eau par dessus. Tu vois je l'ai pris aussi, alors prends le s'il te plais. Pierre qui suit l'échange entre sa fille et son beau-fils, décide de s'en mêler. Il se lève, passe derrière Sebastian et pose la main sur son épaule. Des amis qui ont aussi quitter cet enfer lui ont rater certains détails. Je sais pourquoi tu refuses de prendre ses médicaments, mais vraiment, Sebastian on est ta famille. Tu as ta femme à côté de toi et tes beaux parents. Tu sais que tu n'as rien à craindre de nous, on ne te ferais pas de mal.

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Elena placer à ses côtés, il la regardait quand elle parlait de vitamine il eut un sourire nerveux. Bien sure c'est des vitamines on ne fessait leur dire que cela mais des vitamines qui vous tuait. Il savait que il pouvait faire confiance en Elena que jamais elle ne lui donnerait quelque chose de mauvais mais une parti de lui se voulait être toujours méfiant. Regardant Elena avaler une pilule pou lui prouver que il y avait rien de mauvais il fit un signe positif avant d'hésiter tout de même à les prendre. Quand Pierre s'avançait vers lui et posait sa main il fut surprit et écoutait. Oui il avait confiance en eux même si il y avait toujours de la crainte même si cela était involontaire. Après quelque seconde, il tendit la main et prit les pilules qu'il mit en bouche et les avalaient.

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Assise à côté de Sebastian, Elena veut le rassurer, qu'elle ne lui veut pas de mal, que ce médicament est bon pour lui, pour qu'il aille mieux, pour qu'il redevienne l'homme gaillard qu'il était. Elle lui prouve même que ce n'est rien de mauvais en prenant elle même le comprimé et en l'avalant avant que son père ne vienne y mettre du sien pour rassurer son gendre. Voyant qu'il accepte de prendre les comprimés, elle lui caresse la joue avant de l'embrasser sur la même joue et de lui sourire. Il faudra les prendre 3x par jour, matin, midi et soir. Quand ça commencera à allez mieux, juste deux fois par jour, puis une fois et ensuite ça sera fini. Maintenant mon chéri boit ton chocolat. Dit elle en se relevant.

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Et en plus ces « saloperies » sont a avaler 3 fois par jour ! Bon comme Elsa lui avait dit, cela était pas du poison mais des vitamines mais il avait tellement avaler de pilule ces dernière année que il ne pouvait plus en voir même en peinture. Après avoir bus son chocolat avec un peu de difficulté, Sebastian passait le reste de la journée avec la famille d'Elena même si il était pas très bavard.

La nuit venue, après une douche il se plaçait seul au lit. Mais a peine il eut fermer les yeux que ses cauchemars venait a nouveau de hanté. Et malheureusement toute les nuit était ainsi la panique et les cris. Après une semaine, même si les parents d'Elena appréciait beaucoup leur futur gendre il firent comprendre à leur fille que il vaudrait mieux penser a emmener Sebastian... non pas dans une maison de fou mais un endroit où l'on pourrait s'occuper de sa santé mental. Parce que ceux-ci ne pouvait plus supporter d'être réveiller a 3 ou 4 heurs du matin parce que celui-ci avait fait un cauchemars.

Elena ma chérie nous ne voulons pas nous débarrasser de lui... mais il serait préférable que il voie une personne pour discuter de tout cela, un spécialiste qui s'occuperait de lui.

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Si Elena demande à Sebastian de prendre les vitamines, c'est pour lui, pour son bien. Pas pour lui rappeler de mauvais souvenirs, mais pour qu'il se sente mieux et devienne l'homme vaillant qu'il à toujours été. C'est dur pour Elena de ne pas allez passer la nuit avec Sebastian, mais elle reste dans sa chambre, sauf quand elle l'entend crier. Elle sort de suite de son lit pour allez le rejoindre et le calmer, comme elle le ferait avec un de ses élèves qui aurait un problème. Elle veille son chéri jusqu'à ce qu'il soit calme et se rendorme. Ceci fait, elle retourne dans sa chambre. Et tout les soirs, toutes les nuits, elle fait pareil. Dès qu'elle l'entend crier ou remuer dans la chambre voisine, elle quitte la sienne pour allez le rassurer. Elle se doute que ses parents ne supportent plus la situation, elle aussi à du mal, elle ne dort pas beaucoup, elle est fatiguée au travail, mais ça lui est égal. Elle doit être là pour Sebastian. C'est son rôle de petite amie d'être présente pour lui. Quand vient le moment de la discussion avec ses parents, elle prend mal ce que son père lui dit. Je sais qu'il ne va pas bien, mais met toi à sa place. Si tu avais vécu ce qu'il à vécu, tu ne serais pas mieux que lui. Je vais l'emmener chez un médecin pour qu'il puisse discuter avec lui, mais il reste avec moi, je n'ai pas envie qu'on nous sépare une fois de plus. Elle soupire. Je vais nous chercher un appartement, comme ça vous ne serez plus réveiller par ses cauchemars et ses hurlements la nuit.

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