Une fois qu'elle lui à bien accrocher la fleur, elle se recule et sourit.

Ça te va bien.

Mais par la suite, elle hausse les épaules à nouveau.

J'sais pas, on verra, je fais pas de projets, je vis au jour le jour, j'ai pas d'autre choix toute façon. Mais j'espère que tu pourra sortir toi, tu as l'air d'en avoir envie.

Puis finalement, elle range le bloc note dans la poche de la veste de Fried qu'elle à toujours sur les épaules et prend la main qu'il lui tend pour le suivre.

Comme elle à ranger son bloc note dans sa poche, elle n'écrit plus rien, elle se contente juste de hocher la tête à ses paroles façon de dire qu'elle est d'accord avec ce qu'il vient de dire.

Arrivé devant la porte, c'est pas avec sa force de souris qu'elle pourrait l'ouvrir aussi elle le laisse s'en charger et relâche sa main, même si c'était pas déplaisant. Ils retournent à leur étage et une fois qu'ils sont arrivés devant la chambre de la demoiselle, elle sort ce qu'elle à mis dans ses poches puis elle retire la veste et l'as rend à Fried avant de noter sur un papier.

Merci.

Les fleurs elle va les mettre dans sa carafe d'eau et les pose sur le rebord de la fenêtre qui ne s'ouvre pas puis elle regarde Fried qu'elle remercie autant de lui avoir prêter sa veste, que de l'avoir fais sortir et d'avoir passer un moment avec elle.

Quand il lui dit qu'il va partir, elle hoche la tête doucement avant de lui faire signe d'attendre. Elle hésite un instant puis elle se hisse sur la pointe des pieds et lui dépose une bise sur la joue puis elle lui fait signe de la main pour dire bye bye.

Elle même ne s'attendait pas à lui déposer cette bise sur la joue, mais, dans le feu de l'action c'est venu tout seul. Il à été tellement gentil avec elle, qu'elle n'allait pas le laisser repartir avec un simple signe de la main. Une bise sur la joue était la façon la plus correcte pour elle de lui dire au revoir.

Dans sa chambre, elle va pour se mettre dans son lit, elle est un peu fatiguée, mais en entendant la voix fâchée de l'infirmière, elle ouvre la porte et elle passe la tête pour écouter et regarder ce qu'il se passe. Quand elle voit que Friedhelm se fait disputer, elle sort de la chambre et se rapproche puis regarde l'infirmière et se mêle à la conversation, elle sait que cette infirmière pratique le langage des signes aussi elle signe à toute vitesse.

Si vous l'engueulez vous devez aussi m'engueulez, c'est pas juste qu'il se prenne tout dans la gueule j'étais avec lui, je suis aussi fautive alors.

Elle hausse les épaules.

Et alors ? Je l'ai suivis de mon plein gré, il ne m'as pas forcer, ni mis de couteau sous la gorge pour que j'y aille avec lui. Moi aussi je connais le règlement pourtant je l'ai pas appliquer alors lui mettez pas tout les torts sur le dos, on étaient deux un point c'est tout.

Elle secoue la tête puis elle grimpe sur le lit et s'assoit à l'opposer de Friedhelm en tailleur. Comme elle sait qu'il ne comprend pas la danse des mains, elle reprend son calepin.

Elle râle toujours que je reste dans mon coin et pour une fois que je quitte mon coin, elle râle aussi, faut qu'elle se mette d'accord avec elle même.
Je suis pas d'accord qu'elle t'engueule alors qu'on étaient deux.

Elle reprend le calepin et renote.

Oui ils sont chiant, ils feraient mieux de nous laisser tranquille pour une fois, il y à d'autres personnes à cet étage dont ils pourraient s'occuper. Puis si vraiment ils avaient été inquiet, ils nous auraient chercher tout de suite et pas attendu qu'on rentre comme si de rien n'était.

Elle hoche la tête et commence à faire un signe, puis deux, puis trois signes avec les mains avant de ré écrire.

Bonjour, merci, au revoir.

Puis elle refait les signes pour qu'il les fasse avec elle.

Comme il y arrive bien, elle hoche la tête et sourit avant d'aller dans d'autres mots qu'elle commence à signer.

Comment ça va ?
Je vais bien et toi ?

Puis comme précédemment, elle les note sur le papier.

Comment ça va ?
Je vais bien et toi ?
Qu'est ce que tu veux savoir dire au juste ? Y a certains mots que tu veux apprendre ?

Parfois il place mal ses doigts, alors Sixtine pose ses mains sur les siennes pour les remettre correctement. Et lui montre d'autre signe plus ou moins facile qu'il saura refaire.
En même temps elle écrit.

Ça me dérange pas d'écrire, mais bon c'est vrai que c'est plus pratique pour toi, t'as pas toujours envie de lire.
Je sais que dans la bibliothèque, y à un livre qui parle du langage des signes si ça peut t'aider.

Elle réfléchit avant de recommencer à signer.

Bonjour, je m'appelle Sixtine et toi ?
Bonjour je m'appelle Fred. Parce que je sais pas écrire ton prénom. Voilà ce qu'elle rajoute sur son papier.

Ben si jamais, je te donnerais ce que j'ai à porter pendant que j'écris tout simplement.

Elle esquisse un petit sourire quand il lui dit qu'il ira voir ce livre, ça la touche un peu. C'est rare qu'on lui demande à apprendre de parler avec les mains pour réussir à la comprendre. D'ordinaire les gens se contente qu'elle écrit et puis c'est tout.

C'est pas grave tu sais, tu te débrouille plutôt bien mais attend, laisse moi placer tes doigts, ne résiste pas.
Alors maintenant on va dire, j'ai faim, je suis fatigué, j'ai soif, je suis désolé et à nouveau la danse des mains et des doigts recommencent et Sixtine guide ceux de Friedhelm.

Je sais, t'as dis que tu étais pas romantique, donc pas galant, donc tu me proposerais pas de me porter mes affaires alors je te les donne d'office, t'a pas le choix.

Elle lui montre d'autres gestes avant de mieux le guider avec ses mains, mais quand il lui capture les siennes, elle le regarde surprise en fronçant les yeux. Et la suite va encore plus la surprendre, qu'il vienne l'embrasser, elle ne l'avait pas vu venir. Ce qui l'as surprend encore plus c'est qu'elle le laisse faire, elle qui repousse tout le monde d'habitude. Non elle ne repousse pas Friedhelm au contraire, elle lui rend même son baiser.

De se prendre un coup c'était une possibilité, mais qu'elle le fasse voler en bas du lit, avec sa petite force de souris bébé, elle aurait eu du mal à le pousser, elle se serait plus fait mal que l'inverse.
Un baiser il y à bien longtemps qu'elle n'en à plus eu, il faut reconnaître aussi que ce n'est pas désagréable du tout. et Fried ne l'as pas forcer non plus il à juste tenter sa chance et faut croire que Sixtine est de bonne humeur ou bien disposer vu qu'elle accepte les contacts et qu'elle accepte ce baiser auquel elle répond quand il le prolonge.

Peut être pour lui, mais pas pour elle. Quand elle se sent attaquée ou en danger, elle se recroqueville sur elle même ou part en crise. Quand on dit que cette nana n'est pas normale. Il faut bien qu'ils respirent, même si le nez n'est pas là pour faire figuration sur leurs visages pour ces instant là justement. Pourtant c'est quand même ce qu'elle va faire et stopper ce baiser pour respirer. Elle détache doucement ses lèvres des siennes et pose sa main sur la sienne pour reprendre cet oxygène vital.

Sixtine se doit d'avouer que c'est à contre-cœur qu'elle à rompu se baiser, car il dire que c'était bien et que ca lui donnerait bien envie de recommencer, mais ce n'est pas elle qui prendra l'initiative de se jeter sur lui.
Quand il l'as regarde, elle lui fait un petit sourire avant de recommencer à parler en geste puis de ré écrire.

Un baiser, embrasse moi. C'est comme ça que ça se dit, tu veux essayer de le faire avec tes mains ? Puis elle lui montre la feuille.