Ca vois tu c'est une excellente idée et oui nous allons faire comme ca. Il faut que je réfléchisse ce que je pourrais te faire découvrir. Quoi que j'ai déjà ma petite idée en tête. Mais tu le saura en temps voulu.

Ca serais assez glauque que tu ai confirmation, pour ca tu devrais me faire une craniectomie. Tu en serais capable ? Et encore tu trouverais juste mon cerveau la dedans.
Sa tête qu'elle secoue doucement. Alors la je travail, la je serais de matinée, après c'est la journée, puis en nuit. Hummm attend deux secondes. Elle réfléchit. J'ai mon jour de repos vendredi prochain. Répond elle en lui rendant son sourire.

J'aurais pu dire la seconde aussi. Mais ca aurais laisser penser à la nana qui se croit irrésistible, laisse moi me garder une part de modestie et oui je commence à te connaître un peu. Mais la suite, elle le regarde surpris en haussant doucement les sourcils. Le bout des doigts de Léo sur lesquel elle pose un petit baiser puis sourit. C'est vrai, je suis assez grande pour le faire moi même. Renchérit elle en bougeant un peu puis en venant déposer ses lèvres sur celle de Léo afin de commencer un baiser.
   

C'est donnant donnant, tu ne me dis pas où tu m'emmène, je ne te dirais pas où je t'emmène.
Alors on va donc laisser cet acte chirurgical de côté et tu verra bien par toi même si j'ai un dédoublement de personnalité ou pas. Rajoute t-elle avec un sourire.

Elle rigole aussi. Ah ben merci, voilà que tu me fais réfléchir pour rien toi, tu aurais pu me le dire plus tôt aussi. Dit elle en le boudant faussement.
Donc Mardi de la semaine suivante ou jeudi, ces soirs et nuit la je ne suis pas au cabinet de véto.

Bien sur je suis modeste, tout comme toi gentil est ton deuxième prénom à ce que tu m'as dis tantôt, Modestie est le mien. C'est vrai ca ne fais pas de mal de temps en temps. Mais pas trop souvent alors, ca coute cher les fleurs.
Si la main de Léo se pose sur sa hanche puis sur sa joue pendant le baiser qu'ils viennent de commencer et qui se prolonge, Séléna elle pose une main sur l'épaule du jeune homme et l'autre main elle l'as pose sur son bras. Ne quittant pas ses lèvres sous ce baiser plus que plaisant.
   

On fais comme ca alors et puis qui sait peut être que ton idée va me plaire et que mon idée te plaira aussi. Du moins, il n'y a pas de raisons que ca ne soit pas le cas. Dit elle en gardant son sourire.

Juste un petit peu tu sais, le temps que les effluves d'alcool se dissipe et que le jour se lève. Mon cerveau est en mode off la nuit, il se remet en mode on dès le lever du soleil.
Je sais bien que tu me taquine, c'est pour ca que j'entre dans ton jeu tu sais. Elle hoche la tête. Je te garde jeudi alors et je prévoirais mon gros pull et ma veste bien chaude que je portais à Kiev.

Tu veux dire ramasser celle qui se trouve dans les parcs ? Ah non alors quelle horreur, déjà elles ne sentent pas bon et puis avec les chiens qui font leur besoin dessus, merci mais non merci, autant payer le prix chez un fleuriste.

D'assise sur le canapé, elle se retrouve assise sur les jambes de Léo, elle s'y installe à son aise de façon à ne pas avoir de crampes mais aussi à ne pas lui faire mal en remontant ses mains le long de sa nuque, une reste sur sa nuque qu'elle caresse doucement et l'autre va à la rencontre de ses cheveux. Le baiser se fait un peu plus intense qu'au début et largement plus fougueux.
   

Je n'ai pas vraiment de raison de mal prendre ce que tu dis. Je sais que tu ne le fais pas pour me vexer, mais plutôt pour plaisanter. Aussi ca passe mieux. Et oui depuis les quelques heures qu'on à passer ensemble, tu commence à me connaître et à cibler ma façon d'être. Elle sourit aussi. Je ne poserais pas de question, je verrais sur place une fois qu'on y sera. Tant qu'il ne l'emmène pas nager avec les requins tout va bien.

Elle fronce le nez. Tout ce qui est fleurs de parcs municipaux ou de terre plein central, ne sentent jamais la rose, juste pour éviter qu'on ne les cueille justement.
L'âme généreuse je crois qu'elle s'appelle porte monnaie au fond de ta poche, c'est elle ou lui l'âme généreuse qui t'en paiera.

Séléna gigote légèrement non pas pour partir mais pour s'installer un peu mieux contre Léo pour qu'il soit plus à l'aise de ses mouvements et elle aussi. Quand leurs lèvres se séparent, elle en profite pour reprendre son souffle et frissonner quand il l'embrasse dans le cou, ce qui ne l'as laisse jamais indifférente. Elle aussi à des principes, du moins un seul dans ce moment là c'est toujours se protéger, autant pour elle que pour la personne, même si elle sait ne rien n'avoir. Elle à bien compris dans quel sens ils vont, même si Léo à l'air de calmer ses ardeurs, c'est la jeune femme qui va être davantage entreprenante en commençant à déboutonner un à un les boutons de la chemise du jeune homme.
   

En général je dirais que ces gens là, sont surtout des gens qui n'ont pas la conscience tranquille tu ne crois pas ? Sinon rien ne pourrait les vexer.
Elle hoche la tête. J'en ai juste une seule, tu ne compte pas m'emmener nager avec les requins ? C'est la seule question que je poserais, après le reste je tacherais d'être patiente.

Elle sourit. C'est ce qui me semble être le plus logique, elles sont là juste pour faire jolie. Si elles sentaient aussi bon que les roses, tulipe et compagnie, il n'y en aurais plus. Après il faudrait demander aux gens de la mairie pourquoi elles sentent si mauvais.
Comment as tu oser oublier ton meilleur ami. Dit elle en plaisant sous un ton de reproche.

Quand il pose les mains sur les siennes, elle le regarde surprise, se demandant ce qu'elle aurait pu faire de mal. Pourtant tout avais si bien commencer, peut être que d'un coup, elle ne lui fait plus envie, mais l'explication qui suis la laisse encore plus surprise. Elle regarde Léo et c'est elle qui rougit pour le coup. Oh bon sang, alors ca je ne m'y attendais pas. Non, mais non ne t'excuse pas. C'est moi qui suis désolée, je ne sais plus où me mettre du coup, ni pour quoi je passe, pour une nana facile qui se serait laisser avoir le premier soir. Elle sourit et lui dépose un baiser. T'en fais pas.
   

Sache qu'avec moi, tu n'a pas besoin de te gêner, tu peut dire ce que tu veux.
Elle soupire de soulagement. Oufff, ca va alors.
Nager avec les dauphins ? Elle le regarde avec des yeux pétillants. Alors ca, ca serais un rêve à réaliser. Si à l'avenir tu m'emmène nager avec les dauphins, ca je ne dirais pas non. Dit elle en souriant. Mais elle se doute que ce n'est pas ca qu'il avait prévu.

Elle l'écoute et hoche la tête. Ca c'est très bien penser aussi. Je n'avais pas vu les choses comme ca. Donc au final, les fleurs n'y sont pour rien.
Elle rigole aussi. Oui tu devrais avoir honte, tu mérite le châtiment suprême pour la peine.

Elle pose ses mains par dessus celle de Léo. On auraient peut être du en discuter avant de commencer, mais au moins ca à le mérite d'être original comme situation.
Alors on ne couchera pas ensemble ce soir tout simplement, il n'y a pas mort d'homme. Quand à savoir ce que donnera cette nouvelle relation amicale ou plus ou moins, on verra au jour le jour. Elle se blottie contre lui et pose la tête contre son épaule. Mais non ne sois pas désolé, regarde je ne t'en veut pas. Je comprend et comparer à d'autres filles qui serait partie furieuse en criant des insultes, je suis encore la.
   

99% de ce que tu veux. Laissons nous tout de même une marge de peur et de refus au cas où. Elle sourit. Je … d'accord, il faut vaincre ses peurs paraît il, mais ce jour là, tu ne me lâche pas d'une semelle.

Elle hausse doucement les épaules. Je n'en ai pas la moindre idée, c'étais histoire de dire quelque chose d'un peu intelligent. Dit elle en riant. Mais je connais le supplice des chatouilles qui est un bon châtiment aussi.

A son tour de caresser doucement son visage.
Il n'y a pas de raison tu sais. Tu as eu le réflexe de tout stopper avant que ca ne commence à devenir sérieux. Et surtout avant qu'on ne sois vraiment au bord de s'envoyer en l'air. Comme il l'as garde, elle n'as d'autre choix que de s'allonger avec lui. Je pourrais le faire, mais je n'en ai pas vraiment envie. Et je ne partirais que si tu veut que je parte. Tu veut que je m'en aille ?
   

C'est déjà pas mal je trouve.
J'ai confiance alors oui je serais prête à le faire.

Elle éclate de rire. Tu as vu ca ? C'était tellement spirituel de ma part. C'est à marquer sur le calendrier. Rajoute t-elle en se moquant volontiers d'elle même.
Mais par contre elle fronce le nez avant de sourire. Pas grave, je trouverais un autre supplice.

Elle cligne à nouveau des yeux, pose un coude sur le canapé et sa tête dessus.
Je n'ai aucune exigences Léo. Bon je t'avoue j'aurais effectivement penser que ca irais plus loin. Mais c'est pas le cas, c'est pas un souci. Je comprend très bien ta façon de voir les choses et je l'as respecte.

Elle hoche doucement la tête. Alors je vais rester oui. Je n'ai pas envie de partir en faite. Je suis plutôt bien avec toi.
Vu l'heure je pense qu'effectivement je vais rester passer la nuit ici, mais avec toi, en tout bien tout honneur, sois dans ton canapé, sois dans ton lit, en ta compagnie. Je voudrais dormir dans tes bras amicalement.
   

Tout notre temps oui. Je commence même à avoir hâte d'y être tu vois.

Elle éclate de rire en le voyant faire. Elle regarde par dessus son épaule. Non je rêve tu l'as noter en plus. Une bougie et un gâteau aussi t'en qu'à faire ?
Sois patient, tu le verra en temps voulu et aussi dès que j'aurais trouver quel supplice te faire.

Elle réfléchit un instant puis secoue la tête.
Non, non, ca ira, en faite je n'en ai plus envie. Dit elle en lui souriant.

Elle tourne la tête aussi et regarde l'heure.
C'est vrai qu'il commence à se faire tard maintenant. Mais d'abord fini ta cigarette, finissons nos verres et après ce moment là on ira ce coucher. Elle se redresse aussi et se rassoit. Tu me prête au moins quelque chose pour dormir ? Un t-shirt ou une chemise fera l'affaire j'en demande pas trop. Dit elle en souriant.
   

Dès que tu saura la date, tu me tiendra au courant, je m'arrangerais pour ne pas travailler ce jour là.

Un gâteau au chocolat ? Hum avec de la crème chantilly aussi ? Tant qu'à être gourmand soyons le jusqu'au bout n'est ce pas ? Alors vivement l'année prochaine et cette date symbolique qu'on puisse se régaler. Elle rigole. Merci je vais m'armer de courage et qui vivra verra.

Elle tend la main, lui caressant la joue.
On ne va pas rester sur cette discussion ? C'est bon, regarde pour moi c'est déjà oublier. Je n'y pense même plus.

Elle finit son verre aussi et s'apprête à lui offrir son aide mais il lui dit de monter et qu'il va tout ranger ici. D'accord, à tout de suite. Elle va obéir tiens pour une fois. Elle se lève du canapé, accepte le baiser sur la joue et monte à l'étage à la recherche de la chambre. Une première porte, non un placard, une second, oh coucou la salle de bain, finalement la troisième est la bonne. Elle entre dans la chambre, allume la lumière, baisse les stores et ouvre le lit, puis elle attend que Léo arrive.

C'est parfait alors, on fera comme ca. Elle attendra qu'il lui donne la date et verra avec l'autre assistante pour permuter, elles l'ont déjà fais, du moment qu'il y en a une sur deux ca va peut importe laquelle c'est.

Elle rigole. Tu sais que ton gâteau il me fait déjà envie là ? Rien qu'à t'écouter en parler, ca ressemblerais presque à une Forêt Noire. Vivement l'année prochaine et promis je ne jouerais pas avec la crème. Dit elle en souriant.

Elle sourit. Je sais que ca le saura. Même si elle sait que la perfection n'existe pas, mais rien que le faite d'attendre rendra le moment encore meilleur.

Dans la chambre de Léo, elle se permet de fouiller dans son armoire et de lui prendre une chemise. La lumière du plafonnier fessant mal aux yeux, elle l'éteint pour ne laisser allumer que les lampes de chevet. Elle se déshabille et enfile la chemise qu'elle finit de boutonner au moment où rentre Léo. Séléna commence à ouvrir la bouche pour lui dire qu'elle lui à emprunter une chemise, même si il doit s'en rendre compte, mais n'a le temps de dire un mot qu'il s'approche d'elle et l'embrasse. Posant les mains sur ses épaules, elle prolonge le baiser de Léo tendrement.

Oh il y a toujours des occasions pour faire des gâteaux ? Juste parce que c'est le dimanche après midi ou bien parce qu'on en a envie. Dit elle en souriant.
Quand il lui dit avoir la peau sensible, elle glisse son doigt le long de son bras. On fera très attention à ta peau dans ce cas.

Retour dans la chambre de Léo. Elle qui pensait qu'ils allaient tout simplement aller se coucher après quelques petits baisers et quelques petites câlineries, finalement le moment prend tout un autre sens. Le baiser elle ne le rompt pas, elle le continue avec la même intensité que lui.
En sentant les mains de Léo frôler son corps, ca réveille à nouveau l'envie de Séléna qui pourtant était en sommeil. Elle ouvre les yeux, s'accrochant à lui et se retrouve contre le mur, elle sourit à cela. Finit les principes ? D'accord, plus de principe. Rajoute t-elle avec ce même sourire.
Cette fois à nouveau elle pourra laisser ses mains aller sur le corps de Léo sans retenu. Les mains qui commencent tout de suite à quitter ses épaules pour descendre dans son dos.

Tu te considère être le meilleur, mais tant que je n'aurais pas goûter, je ne pourrais pas te donner mon avis. Elle laisse sa main sur le bras et continue de toucher doucement. Je n'oserais pas me ficher de toi. Dit elle en lui posant un baiser sur la tempe.

Puisqu'il n'y à plus de principes, ils peuvent reprendre là où ils s'étaient arrêter plus tôt dans sur le canapé. Les mains et les lèvres de Léo qui font connaissance avec son corps ne laisse pas de marbres la jeune femme qui à souvent des frissons aux passages de ses lèvres.
Ses mains à elles ne restent pas en reste elles caressent doucement le dos et le torse, une de chaque côté, avant de lui ouvrir finalement ce qu'il portait en haut pour lui retirer aussi.

Se laissant entraîner vers le lit, elle enjambe la chemise pour ne pas tomber dessus et se retrouve allongée. A l'aide de ses coudes, elle remonte jusqu'aux coussins pour y poser la tête et sourit quand Léo vient s'allonger sur elle, elle remet ses mains sur lui, mais cette fois à d'autres endroits de son corps, des endroits sur lesquels elle n'avait pas encore poser ses mains. Souvent elle se mords les lèvres n'appréciant que davantage ce moment ou les sensations qu'il lui donne.