La Vie est trop courte [Liam]

Liam & Matthew
Le sacrifice de soi pour la vie de l'autre... le plus beau des métiers

Il était quatre heurs du matin quand la l'alarme s'était mit à hurler dans la caserne. Sautant de son lit, Matthew enfilait ses botte puis son uniforme qui était déjà préparer. Descendant les escaliers, il arrivait devant le central où on lui tendait un document qui indiquait un immeuble abandonner en flamme. Pressant le pas, il sautait dans son camion avec ses hommes et partirent en direction de l'incendie. Arrivant sur place, déjà une grande parti du bâtiment avait été ravager par les flammes. Sortant les lances d'incendie les hommes commençait a arrosé le bâtiment quand des cris se fit entendre a l'intérieur du bâtiments. Il y avait des gens de ce bâtiment ? Matthew ne prit pas le temps d'y réfléchir et attrapait un des hommes et embarquait leur bouteilles d'oxygène et masque et partirent ensemble à l’intérieur. Traversant le rez de chaussée, les deux hommes montaient au premier à la recherche de personne et tombèrent sur une fille et un homme. Les transportant, il les sortaient du bâtiment quand la jeune fille demandait après sa petite sœur. Était-elle encore vivant dans toute ces flammes ? Mais Matthew devait retrouver cet enfant ! Laissant l'enfant au médical, il retournait avec l'homme dans le bâtiment qui commençait a craquer de partout et s’effondrer. L'homme annonçait a Matthew qu'il fallait partir, que cela était trop risquer de rester. Mais Matthew voulait trouver cet enfant même si ils étaient SDF elle avait le droit à une chance. Malgré le bruit, Matthew essayait de localiser les cris de détresse quand il entendit la gamine. Cassant une porte, il trouvait la gamine dans un coin de la pièce cacher sous une couverture. Il prit la gamine dans les bras et traversait la pièce la tenant contre lui et enlevait son masque pour lui donner de l'oxygène. Arrivant a mit chemin, Matthew senti le sol craquer sous ses pieds. Appelant son coéquipier, il lui lançait la gamine dans les bras avant de ce sol ne se dérobe sous ses pieds ! Matthew voulu se attraper mais rien ne pouvait le retenir et, il fit une chute de deux étages tombant lourdement au sol ! Matthew eut le souffle couper sur le coup. Allonger dos au sol il le souffle couper et la tête saignant, Matthew regardait l'ouverture par où il était passer mais il n'était pas question de resté ici, il fallait qu'il se relève. Mais, cette manœuvre lui semblait impossible, il avait de la difficulté a respirer. Alors qu'il commençait à sombrer dans l'inconscience, deux personnes le saisissait par les bras et l'entrainait dehors. « Lieutenant, lieutenant... il faut l’emmener à l’hôpital dépêcher vous ! ». Matthew fut emmenez à l’hôpital rapidement, entouré de ses collègues ils firent appelle a des médecins. « Vite, vite un médecin ! Il saigne de la tête et a perdu conscience. Et a traverser deux étage d'un bâtiment ». Répondit-ils aux question des médecins avant de quitter la pièce et de s'installer en salle d'attente pour les laisser s'occuper de Matthew.

BY .TITANIUMWAY

**Invité**

Liam & Matthew
La vie est trop courte

J’étais de garde cette nuit. Ca s’annonçait au départ une nuit relativement tranquillement. Il y avait seulement quelques personnes dans la salle d’attente et je me disais qu’on aurait peut-être la paix cette nuit, mais je m’étais trompé, ou du moins j’avais parlé beaucoup trop vite car on nous avait appelé pour nous annoncer que trois personnes avaient été sauvé des flammes, qu’ils avaient de légères brûlures, mais qu’ils avaient surtout été incommodé par la fumée. Ce n’était pas des gros cas, mais pour ce soir, c’était pas mal ce qui me servirait de passe temps. Les trois cas resteraient sous observation pour la nuit minimalement et ils auraient des soins pour leur brûlure. Je m’apprêtais à aller faire une petite sieste quand on m’informa qu’un pompier blessé était en route vers l’urgence.

Je m’étais préparé enfilant une chemise jaune et une paire de gants pour accueillir l’ambulance à l’extérieur et ainsi pouvoir m’occuper de ce pompier directement à son arrivée. D’ailleurs l’ambulance ne tarda pas et je commençai tout de suite à écouter le rapport médical de l’ambulancier qui descendait la civière du véhicule. On s’était dirigé vers l’intérieur où on avait commencé à retirer l’uniforme du jeune homme pour nous permettre de mieux travailler. Je commençai par faire les examens de bases, alors qu’une infirmière lui mettait un brassard pour la pression, des petites électrodes pour l’électrocardiogramme et un capteur de saturation sur le bout d’un de ses doigts pour voir son taux d’oxygène dans le sang. On lui avait mis un collet cervical dans l’ambulance et je n’allais pas le lui retirer pour le moment. Je lui avais fait mettre de l’oxygène et je demandai à ce qu’on l’emmène tout de suite passer un scan cérébral pour voir s’ily avait des dommages quelconque. J’avais suivi le brancardier jusqu’au scan pour voir les résultats en même temps que le radiologiste et je croisai les bras en attendant. (Comme c’est ton personnage :PC’est à toi de dire ce qui se passe car je ne peux pas décider pour toi ).
Codes par Wild Hunger.

Liam & Matthew
Le sacrifice de soi pour la vie de l'autre... le plus beau des métiers

Matthew n'avait pas ouvert les yeux depuis son arriver à l'hôpital alors qu'on lui avait enlever son uniforme il se fit prendre rapidement en charge part un médecin et infirmière.Transférer de service en service pour être analyser sous toute les coutures. Le scanner cérébral permit de voir l'étendue d'une lésions qui présentait une fracture et d'un hématome au niveau pariétal. Mais aussi une irritation bronchopulmonaire dus a l'intoxication de la fumée de l'incendie. Normalement Matthew aurait dus porter son masque mais, il l'avait donner à la jeune fille pour l'aidé à respirer avant de faire sa chute quelque mètres plus bas ! Une fois que les image scanner fut passer sous l’œil des experts, les résultats fut parvenu au docteur Fitzpatrick.

BY .TITANIUMWAY

**Invité**

Liam & Matthew
Le sacrifice de soi pour la vie de l'autre... le plus beau des métiers

Les fractures du crâne, ce n'était jamais bien bon. Dépendamment des cas, il y avait soit la chirurgie pour retirer le plus possible de pression de l’hématome sur le cerveau, mais dans d’autres cas, il n’y avait que le temps qui réglerait les choses. L’hématome en tant que tel ne me posait pas trop d’inquiétude pour le moment, mais comme tout hématome peut prendre de l’expansion, il est toujours nécessaire de faire un suivi rapproché des victimes de fracture du crâne. Pour ce qui était de son irritation des bronches, le pompier était sous oxygénothérapie depuis son arrivée. J’avais aussi fait la prescription de pompe d’inhalation d’antibiotique qui ne tarderait sans doute pas d’arriver de la pharmacie de l’hôpital d’ici peu. Le jeune homme garderait son collet cervical le temps qu’il faudrait. Comme il n’avait pas repris conscience depuis son arrivée, il était nécessaire pour nous d’agir malgré tout. Le plan de match était de le mettre sous observation aux soins intensifs avec une intubation qui permettrait de le maintenir dans un coma artificiel pour la prochaine nuit et évité du même coup qu’il souffre le temps que tout ca se place un peu.

(Je fais de mon mieux :P je ne suis pas docteur :P j’ai fait des recherches un peu sur google)

BY .TITANIUMWAY

Gaëlle était en patrouille avec Jamie quand son portable a sonner, ne connaissant pas le numéro, elle a tout de même répondu et la elle est tombée sur un collègue de Matthew qui pensant qu'elle était sa compagne l'appelle pour la prévenir que Matthew venait d'avoir un accident et avait été conduit à l'hôpital.

Après avoir raccrocher la jeune femme demande a Jamie de la conduire a l'hôpital, il ne comprend pas vraiment pourquoi sa coéquipière semble si inquiète pour ce jeune homme mais bon il ne dit rien et l'y emmène.

Une fois a l'hôpital, elle tape un sprint jusqu'aux urgences et demande a l'infirmière de l'accueil où se trouve Matthew Casey. Elle finit par la conduire dans la salle où il est entrain d'être soigner.
Gaëlle s'approche doucement et regarde le médecin.

Bonjour, je suis sa compagne. Ce qui n'est pas tout à fais vrai, mais elle sait bien que si elle disait qu'elle n'est qu'une amie, elle se ferait envoyer sur les roses.
Comment va t'il s'il vous plais ?

**Invité**

Je n'étais pas le genre de médecin méchant en tant que tel. J'étais réputé pour être consciencieux dans ce que je faisais que tout soit bien fait selon les normes et de m'assurer que tout soit à sa place, mais je pouvais être parfois un peu bête surtout quand je n'avais pas permis l'accès à la pièce à la famille d'un patient que je traite en traumatologie directement à l'urgence. Ca ne me dérangeait le moins du monde que cette personne vienne un coup que le patient a été stabilisé mais avant ca, ca me fait grincer des dents.

J'avais fait mettre le jeune homme sous sédation et j'étais en train de l'intuber avec l'aide d'une inhalothérapeute qui s'assurait que le patient était bien oxygéné et que l'appareillage fonctionnait bien quand j'aurais terminé l'intubation du lieutenant. S'il se rétablissait bien, ce ne serait que de courte durée, mais pour cette nuit, il le resterait et serait maintenu dans un coma artificiel. Sans trop savoir pourquoi, il y avait une infirmière qui avait laissé entrer un membre de la famille sans me demander et c'est sous le regard d'une autre infirmière qui sentait mon regard un peu méchant que je me calmai un peu à l'intérieur.

"Laissez nous terminé un instant et je suis à vous mademoiselle!" J'avais aidé mon personnel à mettre le jeune homme dans un lit qu'on avait spécialement emmené des soins intensifs. D'ailleurs le personnel partirait déjà avec lui pour l'y emmener. Je retirai mes gants et ma blouse jaune que je jeter dans la poubelle. Je me mis ensuite devant le lavabo pour me laver les mains et les avant-bras.

"Sachez que même si vous êtes la conjointe de mon patient, on ne doit pas entrer sans ma permission dans une salle de trauma comme celle-ci!" J'essuyai mes bras et jetai le papier à la poubelle. Le scanner cérébral de votre conjoint à permit de voir l'étendue des dégâts causé par sa chute. Il a une fracture et un hématome au niveau pariétal, je l'ai mis sous intubation pour la nuit minimalement et il est dans un coma provoqué afin d'éviter qu'il souffre inutilement et ne créé davantage de dommage. Il souffre également d'une irritation broncho-pulmonaire du à l'intoxication de la fumée, je l'ai mis sous oxygénothérapie et j'ai prescris un traitement en inhalothérapie avec des pompes.

Désolé du délais étant hospitalisé depuis plus de 3 mois, c'est pas toujours évident de répondre et de tout suivre La Vie est trop courte [Liam] 2455199438

La Vie est trop courte [Liam] 2455199438

Alors qu'elle se fait engueuler vertement par le médecin, elle ouvre de grands yeux surprise, non mais il est gonflé celui là en plus.
Déjà il ne l'as salue même pas et ensuite il lui parle d'une façon qu'elle apprécie pas mais alors pas du tout.

Ok Officier Cooper, je suis là autant parce que le lieutenant Casey est mon compagnon que pour le travail.
Cependant sachez docteur ... elle regarde le nom sur le badge Fitzpatrick, que je ne me serais pas permise de rentrer dans cette salle si l'infirmière présente la bas ne m'avait pas inviter a le faire, si vous voulez vous en prendre a quelqu'un prenez vous en a elle, pas a moi. Et j'estime qu'un peu de politesse ne serais pas du luxe ne pensez vous pas ?

Elle secoue la tête puis écoute les explications du médecin sur l'état de Matthew.

Quand est ce qu'il va sortir de son coma artificiel ? Et sinon vous savez ce qui s'est exactement passer lors de son accident ? Je n'ai eu aucun détail, tout ce qu'on m'as dis a été vaste.

**Invité**

(heureusement que j'ai dit qu'il se calmait un peu avec le regard de son infirmière looooooooool mais ce n'est pas grave )

La jeune femme ne sembla pas apprécier la façon dont j'avais à lui parler. En prime, elle m'avait menti en disant qu'elle était la compagne du patient alors qu'elle n'Était qu'une simple collègue de travail. Et c'est qui qu'on doit blâmer après ca?

"Je ne me suis certes pas présenter officier Cooper, mais vu votre titre de travail vous n'auriez pas dû mentir pour entrer dans cette salle de trauma! Sachez que l'infirmière ne vous aurait sans doute pas laisser entrer si vous ne lui aviez pas menti à elle aussi! Passons ce détail voulez-vous!"

Elle commence à me dire ce que je dois faire ou ne pas faire en commençant par la politesse et ma mâchoire se serre tout d'un coup. Je sens un peu de colère m'envahir, mais c'est tout de même une femme et une officier de police alors je me retiens de faire quoi que ce soit.

"J'estime que sur mon lieu de travail, j'ai un minimum de droit, je ne vous dirai pas comment me parler sur une scène de crime alors la prochaine fois que vous entrez en salle de trauma ainsi, j'aurai de bonne raison de vous dire ma façon de penser!"

Puis le sujet de conversation revient enfin au patient ce pourquoi elle était venue s'immiscer dans ma salle

"Selon ce que ses collègues ont dit, que le plancher avait cédé sous son poids et qu'il a fait une chute de deux étages. On va refaire un scan demain au courant de la journée pour voir l'évolution de son état. Dépendamment de ce scan, le neurochirurgien de garde décidera si il doit être opéré pour aller retirer la pression exercer dans son crâne mais pour le moment, rien n'indique qu'il ne soit en danger. On préfère garder ce genre de patient dans le coma afin d'éviter qu'il souffre inutilement et qu'on ait à leur donner trop de narcotique pour soulager la douleur. Dans son cas, on a gardé le collet cervical par précaution comme pour la plupart des traumatismes crânien."

** Oopssss autant pour moi, t'as le droit de me taper **

Je ne lui ai aucunement mentis, certes je n'ai pas signaler être un officier de police, mais je lui ai dis que j'étais la compagne du lieutenant Casey, ce qui est la vérité, peut être voulez vous venir visiter notre appartement pour être sur que je ne vous raconte pas de bobards ?

Elle secoue la tête.

Ok vous êtes vraiment bouché à l'émeri ma parole. Je vous ai expliquer que l'infirmière m'as laisser rentrer, chose que j'ai fais d'une façon tout a fais correct et non comme un bourrin, de plus je vous ai saluer, je me suis présenter,enfin ne polémiquons pas la dessus pendant trois heures, nous n'avons pas la même vision des choses

Revenant a écouter ce que lui raconte le médecin concernant l'état de Matt, Gaëlle à les yeux qui deviennent brillants et humide, elle lutte fortement pour ne pas laisser couler ses larmes.

D'accord je comprend. Je vous remercie pour vos explications docteur.
Puis je allez le voir s'il vous plais ? J'aimerais être auprès de lui.

**Invité**

"Désolé, ce n'était pas clair! Et je dois dire que vous m'avez pris au dépourvu en entrant comme ca. Il n'était pas tellement en état d'être vu par vous alors que je l'intubais. J'aurais préféré que vous le voyez directement au soins intensifs alors qu'il serait placez sous surveillance plus étroites et loin du décor de champs de bataille d'une salle de trauma vous comprenez?"

C'était en quelques sortes des excuses, mais la jeune femme s'emporta un peu plus en me traitant de bouché. L'Irlandais que je suis sent la fumée sortir de ses oreilles et ce n'est pas pour autant que je le laisse paraitre. Ma mâchoire finit par se décontracter un peu et je finis par rajouter:

"Je viens de dire que je suis désolé mademoiselle Cooper. J'ai été mal élevé de ne pas me présenter. Je suis le Dr Liam FitzPatrick, je suis chirurgien traumatologue et c'est moi qui ai pris en charge votre conjoint dès son arrivé en ambulance. J'essayais simplement de dire que sur nos lieux respectifs de travail, on doit respecter l'espace de l'autre, mais vous avez raison notre vision des choses est différente."

Puis, voyant que ses yeux deviennent brillant et humide, je prends un papier mouchoir sur le poste de travail et le lui tend avant de poser une main sur son épaule. Je n'étais pas totalement un trou du cul si c'est ce qu'elle croyait de moi. On avait tous de grosse journée et en tant que chirurgien autant qu'en tant que policière, on avait des journées parfois merdiques.

"Si vous me permettez je vais vous y conduire moi même. Je vais m'assurer qu'il soit bien et signez pour que vous aillez droit de rester un peu plus tard que la fin des visites ca vous va?"

Après tout, si je ne signais rien, les visites se termineraient à 20h30 et qu'elle soit sa femme ou non la sécurité la mettrait dehors. Je pris mon sarrau blanc de médecin que j'enfilai avant de replacer mon stéthoscope bien comme il faut autour de ma nuque, j'avais vérifié mon bipper et je n'eus qu'à avertir l'infirmière que je revenais et que s'il y avait une urgence, mon bipper était ouvert. J'attendis une réponse de la jeune femme.

Oui je comprend, je m'excuse aussi, si j'avais su qu'il était si mal en point, je ne serais pas rentrer c'est sur, mais je n'ai pas pu m'empêcher, de le voir allongé comme ca, c'est tellement douloureux.

Lui il est Irlandais, elle, elle est Française, deux sacrés caractères réunie dans une salle ca fait des étincelles surtout si ils sont aussi têtue l'un que l'autre.

Et je viens de vous dire que j'acceptais vos excuses. Bon on va reprendre dès les débuts, je sais que nous sommes dans un hôpital, mais ce n'est pas une raison pour y être des patients n'est ce pas ?
Bonjour, je suis Gaëlle Cooper, officier de police et compagne du lieutenant Matthew Casey, je suis ravie de vous connaitre Dr Fitzpatrick et je vous remercie de vous être occupez de mon homme.

Prenant le mouchoir qu'il lui tend, elle le remercie d'un sourire avant d’essuyer ses yeux.
Je pense qu'il est inutile de vous dire que j'avais une poussière dans l'oeil. Je doute que ca serais très crédible.
D'abord surprise par le geste, elle se laisse entrainer dans la salle. D'accord et je vous remercie, c'est très aimable de votre part. Qu'entendez vous par plus longtemps ? Admettons que je veuille le veiller toute la nuit, serais ce possible ?

**Invité**

" Je peux tout à fait comprendre que ce soit douloureux de voir la personne qu'on aime dans cet état et je ne le souhaite à personne. J'ai parfois peur que ma petite amie se retrouve dans la même situation que votre conjoint, c'est un métier bien à risque tout ca.

Je me calmais et je montrais un côté plus gentil, plus tendre sans doute et moins agressant^^.

"Enchanté mademoiselle Cooper, ca m'a fait plaisir et c'est normal pour moi d'avoir fait tout ce que je pouvais dans l'immédiat pour votre conjoint."

Je lui avais offert un petit sourire qui se voulait rassurant. Elle ne pourrait pas me faire gober qu'elle avait une poussière dans l'œil. Je crois même que bien que je sois un dur, j'aurais les yeux humides si j'étais à la place de la jeune femme.

Inutile non!

Je finis par l'entraîner vers l'ascenseur où je l'emmenai avec moi vers les soins intensifs où Matthew était déjà installé dans sa chambre une infirmière était en train de vérifier les solutés et les aides-infirmières (alias préposée aux patients au Québec) finissait de bien le placer pour qu'il soit confortable.

"Ce serait possible, mais je veux que vous me promettiez que si on vous demande de sortir pour une urgence ou des soins, de ne pas vous interposer et de sortir de la chambre. Je ne suis pas un mauvais bougre au fond, mais je ne veux pas que le personnel médical ait de la difficulté à travailler en cas de besoin vous comprenez?

J'espère pour voir que cela n'arrivera pas a votre petite amie. Cette sensation qu'on vous arrache le coeur au moment où vous entendez que votre moitié a eu un accident s'est indescriptible. Je suis d'accord, ils n'ont pas choisi le métier le plus sur.

Enfin apaisée mais surtout calmée, Gaëlle lui sourit a son tour écoutant ce qu'il dit et surtout les réponses a ses questions.

Dans l’ascenseur, la jeune femme garde le silence, remuant juste les lèvres sans qu'aucun son n'en sorte, elle fait une petite prière, bien qu'elle ne soit pas croyante a la base mais si ca peut aider, autant qu'elle le fasse, ca ne coute rien après tout.

Le suivant, elle entre dans la chambre et retire sa veste qu'elle pose sur une chaise, elle ne pense même pas qu'elle porte toujours son uniforme comme quoi ce n'était qu'un détail pour elle. Elle rapproche doucement la chaise du lit mais attend un peu avant de s'assoir près de lui.

Je comprend parfaitement et je vous promet que quoi qu'il se passe, je serais sans faire de scandale ou d'esclandre.

**Invité**

" Je dois avouer que votre métier n'est pas très sur non plus...

Je lui avais fait un petit sourire pour tenter de détendre l'atmosphère, elle semblait être plus détendu, du moins, peut-être moins inquiète que précédemment.

Dans l’ascenseur, nous n'avions pas vraiment parlé et c'était mieux ainsi, il y avait d'autres personnes avec nous, ils allaient plus haut, et nous on sortait à l'étage des soins intensifs vers où nous nous dirigions.

Avec tout ce brouhaha, je n'avais pas eu l'occasion d'écrire mes notes d'interventions dans le dossier alors venir au soins intensifs, ca faisait parti de mon plan de match alors pourquoi pas lui avoir montrer en prime.

"Je vais vous laisser quelques minutes, je vais inscrire mes notes dans le dossier alors si besoin je serai assis au poste des infirmières."

Aucun métier n'est sur dans un sens, peut importe le métier qu'on fais, il y a toujours une part de danger.

Oui maintenant elle est plus détendue, sa colère et surtout son inquiétude se sont un peu dispersé. Elle a toujours peur pour son homme, mais elle ne va rien dire et tenter de ne pas le montrer.

Sortant de l'ascenseur, elle le suit dans le service des soins intensifs. Arrivée devant la chambre de Matt, elle n'a qu'une envie entrer, mais elle ne va pas encore fausser compagnie au médecin.

D'accord, merci. Et quand il s'en va, Gaëlle entre dans la chambre doucement. Déposant ses affaires sur une tablette, elle prend une chaise qu'elle apporte jusqu'au lit de Matt et s'assied dessus, elle lui prend la main et y dépose un baiser.
Tu n'es vraiment pas sérieux Matthew, qu'est ce qui t'as pris de passer a travers un plancher franchement. Posant sa main de libre sur son visage, elle lui caresse en douceur. Bon allez maintenant il faut que tu te réveille d'accord ? Non tu veux pas ? Ok alors dors encore un peu. Relâchant sa main, elle éteint la lumière, elle baisse la barrière du lit et se couche contre lui, sa tête dans le creux de son cou.

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