Cela fessait un mois que Miller était de retour à Londres. Cela lui avait fait étranger de revenir dans cette ville où il avait vécu une grande partie de son enfance. Il connaissait tous les coins et les ruelles de la capital, mais nombreuses ruelles avait changer de puis son absence. Certains avaient disparu pour laisser place à de grands immeubles et d'autres étaient devenu à sens unique. En premier temps, il avait préféré prendre les transports en commun le temps de se familiariser avant de prendre sa voiture.

C'est à sept heurs que Miller arrivait dans son bureau qu'on lui avait gracieusement donné même s'il se doutait qu'auparavant, il dût être une réserve à d'anciennes affaires. Après un rangement, enfin, il avait l'apparence d'un véritable bureau. Dans la salle commune encore vide, Miller mit en route la machine a café et quand il fut servi, il allait s’asseoir pour reprendre son travail de la veille sans regarder le temps qui passe.

De temps en temps, il récupérait un dossier, parlait avec quelques personnes. Puis on lui annonçait qu'un homme souhaitait voir un supérieur. Miller ne demandait ni le nom, ni qui était cet homme, il acceptait de le recevoir. Le nez penché sur le dossier, il l'entendit entrer dans le bureau et levant le nez vers celui-ci quel ne fut pas sa surprise de voir Josh Devlin ! Enlevant ses lunettes, il les déposait sur son bureau. Tu es bien la dernière personne à laquelle je m'attendais à voir dans ce bureau. Qu'est-ce que tu veux ? Demandait-il en allant droit au but. Après tout, si Josh était ici ce n'était pas pour se taper la causette et reprendre contact.

Ils étaient peu être frère, mais cela ne voulait pas dire que Josh et Miller cela était le grand amour ! Loin de là... Voilà plus de 25 ans qu'il n'avait pas vu son « miroir » et une chose est sur il n'avait pas changer, toujours sa petite tête de jeune intello premier de la classe tiré a quatre épingle. Était-il jaloux ? Loin de là ! Miller ne regrettait pas sa vie, il n'avait pas a se plaindre. Mais quand Josh lui demandait de l'aide, il soulevait un sourcil. Tu as besoin de mon aide ? Dit-il en s'adossant contre son siège. Pourquoi je t'aiderais ? Quand j'ai demandé ton aide, tu ne m'as pas tendu la main.

Si Josh avait oublié cette histoire, Miller quant à lui ne l'avait pas oublié. Aux paroles de Josh, il fit un bon dans son siège Parfaitement ! 25 ans ! Je crevais le martyre dans cet hôpital. Tu étais le seul qui pouvait m'aider, mais non, non ! Tu as préféré m’ignorer. Oui, Miller l'avait mauvaise, il avait un foie complètement HS est pour l'aider il y avait que Josh qui aurait pour lui en donner un morceau mais au lieu de cela il dut attendre un donneur inconnu pour avoir la possibilité d’une transplantation.

Cela était facile de tenir les parents responsables, mais Miller n'était pas idiot, il se doutait bien que Josh n'aurait pas clamé haut et fort le fait de vouloir se faire charcuté pour sauver un « traite » qui avait choisis une autre famille.

Ce n'est pas "si je veux" c'est comme ça ! Lançait-il avant de soupiré. Même mineur, tu aurais pu. Dit-il avant de lancer son bic sur la table voulant clôturé cette conversation qui les mènerait a rien ou alors à se prendre par la gorge. Et au final en arriver a quoi ? Rien du tout ! Bon assit ton cul ! Tu vas finir par prendre racine. C'est quoi ton histoire ? Demandait-il. Mais ce n'est pas parce qu'il allait peu être l'aide que la hache de guerre serait enterrée.

Le temps que Josh se décide a poser ces fesses sur le siège, Miller sorti un dossier de son tiroir pour noter l'histoire que il va lui raconté. En relevant la tête Josh parlait de sa femme et sa fille, jetant un œil sur le cadre qui se trouvait sur le coin de son bureau il le prit et le plaçait a plat sur le bureau sans lui répondre. Raconte moi plutôt ton histoire. Tu as tuer quelqu'un ?

Josh était surpris quand Miller lui demandait s'il avait tué une personne, mais bon, on ne sait jamais avec tout ce qu'on entend à Londres ou au USA. À la demande de Josh de venir même si il avait tué une personne le fessait sourire, mais pas Miller. Tu sais que dans mon métier, j'en ai vu des meurtriers et il y en a même qui venaient se déclarer coupable alors qu'ils n'avaient rien fait. Dit-il à Josh, mais quand il lui parlait de drogue, Miller refermait le dossier. Tu t'es trompé de bureau, les stups, c'est à côté moi, je suis de la criminelle.

Miller lâchait un soupire en regardant Josh qui lui réclamait de l'aide et des conseils. Je te l'ai dit, tu t'ai trompé de bureau moi, je bosse pour la criminelle, alors bute ton employée, fait toi assassiner ou demande qu'on te fasse péter ton magasin alors, oui peu êtres que je bougerais mes fesses. La drogue pour moi ce n'est pas de mon ressort.

Dit-il en regardant Josh qui semblait comme un cabot attendre qu'on lui donne une friandise. Ou alors... Il fit une pause et se levait de son siège pour fermer la porte derrière Josh. Une fois fermer, il se plaçait devant Josh en se plaçant à moitié assis sur son bureau. Ce que tu peux faire, c'est tendre un piège à celui que tu soupçonnes. Tu attends qu'il se pointe et tu lui prends la main dans le sac. Voyant la tête dubitative de Josh, Miller souriait et allait reprendre place sur son siège. Ne me regarde pas comme ça, tu voulais un conseil, je t'en donne un. Maintenant, tu fais ce que tu veux avec.

Il se retenu de rire en voyant Josh bouchée et le prenant au sérieux le fait de tuer son employé. En tout cas, s'il avait choisi cette option, il aurait été bien idiot. Mais sa décision se portait sur le fait de piéger son employé ce qui était selon Miller le meilleur choix de lui prendre la main dans le sac. À la bonne heure ! Et débrouille toi pour avoir des images si tu as des caméras de surveillance. Dit-il à Josh puis entendant son téléphone sonner, il saisit celui-ci et le portait à son oreille. Il écoutait le message et fit un signe de tête avant de le placer en poche et de se lever de son siège. Le devoir m’appelle. Lançait-il en regardant Josh puis de dirigeant vers la porte de sortie.