Un ancien adepte de la  scientologie se rend au commissariat de police pour porter plainte. Il est victime de menace téléphonique, de harcèlement mais surtout de menace de mort. La police prend la plainte mais sans preuve cela ne pourra abouti à rien. Celui-ci annonce en avoir et revenir le lendemain. Malheureusement cela est trop tard, l'homme est retrouver mort dans son appartement qui est sans dessus, dessous. La police mène son enquête et examine les caméras de surveillance près de l'immeuble. Sur les images on aperçoit Anthony ainsi que d'autre personne. Selon l'heur de la mort du pauvre malheureux, les hommes s'y trouvait a l'heur exacte. A police fit une descente chez les différentes personne ainsi que dans la salle de cour où se trouve Anthony qui se demande bien se que la police lui veut. Prenant son sac, il les accompagnes sans poser problème et arriver au commissariat du couloir se trouve les deux autres hommes de la vidéo. N'ayant pas le temps de s’asseoir, Anthony fut appeler par une jeune femme blonde à la suivre dans une salle d'interrogatoire. Posant son sac au sol, il prit place sur la chaise fasse à la jeune femme qui était de dos a un miroir sans tain.

Pando

Anthony restait silencieux en observant la jeune femme. Sous ses airs premier de la classe, il ne disait rien sur le fait que la jeune femme était fatiguer. Mais quand on voyait les poches sous ces yeux on comprenait que la seul chose que elle souhaitait était plonger dans ces duvets. D'ailleurs elle confirmait les pensées quand elle annonçait vouloir faire vite pour rentré en demandant les informations habituelle lors d'une arrestation.  S’accoudant à la table il répondit aux questions de l'officier.

Anthony Cavendish 20 ans dans 2 jours. Je vis au  29 Eaton Place à Belgravia. Et je suis en licence LEA.

Répondit-il en regardant la jeune femme prendre des notes. A sa question il levait son regard vers elle.

Un homme tuer ? Je ne vois pas de quoi vous, voulez parler. Quel est l'endroit ? Vous savez je bouge beaucoup.

Dit-il et quand elle parlait de l'avoir tuer cela fit sourire Anthony.

Cela vous ferais plaisir que je vous dise que oui.

Lançait-il avec un sourire sournois avant de s'adosser contre le dossier de sa chaise.

Mais non ce n'est pas moi et je ne suis pas un meurtrier. Et puis pourquoi tuerais-je une personne ?  

Pando

Anthony écoutait en silence, ne montant aucun signe de peur ou de mépris non il restait simplement neutre et regardait la photo que la jeune femme lui déposait sous les yeux. Se penchant, Anthony la regardait silencieux avant de s'adosser à nouveau contre le siège de sa chaise.

Mauvais endroit, mauvais moment, on pourrait dire.

Dit-il en lui adressant un sourire. Et alors que la jeune femme parlait du pourquoi ci, pourquoi cela... Cela le fit sourire à nouveau.

En conséquence, on peut dire que la vie est un jeu et que l’aptitude à jouer consiste à tolérer la liberté et les barrières et à comprendre les buts, avec le pouvoir de choix quant à sa participation.  

Pando