La nuit est bien avancée et amène son lot de personnages hauts en couleurs. Fêtards, pauvres déambulants à la recherche d'un abris de fortune, les petits voyous côtoient les plus grandes fripouilles et dans ce méli-mélo de vies, une jeune femme avance sur les trottoirs new-yorkais, la tête haute, le regard franc, la démarche assurée.
Sans chercher à attirer l'attention sur elle, on ne peut pourtant l'ignorer. Sa jolie silhouette, sa chevelure flamboyante, ses habits et bijoux qui montrent de suite le milieu auquel elle appartient, c'est cet ensemble qui va lui porter préjudice ce soir.
Tandis que le son claquant de ses talons sur le pavé lui donne l'impression d'avoir quelqu'un a ses trousses, les ennuis vont venir d'en face. Eux n'ont rien, ils sont à la rue depuis leur enfance et peut-être qu'ils ne sont pas mauvais dans le fond, peut-être n'est-ce que le résultat d'une vie de galère, mais au moment précis ou leurs regards croisa celui de la jeune femme, elle comprit.
eh Mademoiselle, qu'est ce que tu fais seule à New-York à cette heure ? Petit rire gras de l'assemblée, la jeune femme ne se laisse pas impressionner, après tout on lui a appris comment faire.
je reviens d'une fête Elle tente la compréhension, après tout, c'est ce qu'on lui a apprit, ouaiiii, ben la fête n'est pas encore finie pour toi. Le plus petit, celui qui semble avoir une emprise sur les deux autres s'avance suivit de très près par ses amis et même si elle ne voulait pas reculer, elle n'aura pas le choix. Poussée dans une allée elle tente de se défendre, elle met en application ce qu'elle connait, mais rien ne l'avait préparer à affronter l'esprit de la rue, jamais son père n'avait cogné aussi fort. Progressivement immobilisée elle ne se rend pas car chez elle on se bat jusqu'à son dernier souffle. Elle reçoit des coups, on lui arrache ses bijoux et malgré ses cris étouffés personne ne viendra la sauver.
Après les coups, le vol, vient ce qu'elle redoutait le plus, sa robe se fane peu à peu, des lambeaux arrachés gisent au sol et rapidement l'odeur de transpiration, d'alcool et de pourriture vient se coller sur elle. Elle ne pourra pas dire si ça n'a duré qu'une minute ou plusieurs heures. Elle est prostrée contre le mur, des larmes roulent sur ses joues et un hoquet silencieux lui secoue la poitrine, comme pour s'assurer qu'elle a bien comprit son erreur, le plus petit lui assène un nouveau coup, un coup de pied violent en plein sternum et elle perd conscience.
C'est leur fuite qui mènera un homme à cette découverte. Les urgences sont rapidement prévenues et le téléphone gisant à côté d'elle permettra de l'identifier, de prévenir ses proches.
docteur, jeune femme 25-30 ans, corpulence moyenne, agression, coups multiples, hémorragie interne, poumon probablement touché. Risque de commotion cérébrale, inconsciente depuis plus de douze minutes, respiration très faible, pouls vacillant. okay on l'emmène
bonsoir, mont sinaï hospital nous avons admis une jeune femme qui semble être Kira Dellinger, vous êtes dans ses contacts d'urgence. Vous êtes attendus aux urgences le plus rapidement possible en dire le moins possible au téléphone est la règle, que dire de toute façon ? Qu'elle est entre la vie et la mort ne servirai à rien.
uand on me dit que les rues de New-York sont dangereuses, je me contente de sourire. New-York est ma ville et je m'y sent bien, en sécurité malgré tout ce qu'il s'y passe. C'est pour ça que ce soit j'ai décidé de marcher, quoi de plus normal. Je déteste les taxis, les métros vont bientôt reprendre leurs chemins et je pourrais rentrer chez moi. Ma soirée était parfaite, j'ai revu des amis que je n'avais plus vus depuis longtemps et j'ai un énorme sourire sur le visage. J'ai tellement de chance.
Trois imbéciles s'avancent vers moi, je lève les yeux et soupire en essayant de ne pas générer de conflit je reviens d'une fête. Sa réponse me fait froid dans le dos, je comprends rapidement qu'ils ne vont pas me laisser filer comme ça. Je me défends comme je peux, mais à trois sur moi c'est totalement inégal et j'ai l'impression que mes coups ne font que renforcer leur haine. Je prends des coups plus violents les uns que les autres, ma respiration se bloque à plusieurs reprises et finalement je crois mourir.
La légende dit vrai, à New-York ne crier jamais à l'aide ou au viol, parce que personne ne viendra à votre aide. Je suis anéantie et alors que je crois qu'ils ne peuvent plus rien me faire de pire je sombre dans l'inconscience en sentant probablement deux côtes se briser.
WILDBIRD
Invité
Sujet: Re: Respire ∆ privé 17th Mars 2017, 10:54
「Carl Jung disais; un homme sain ne torture pas ses semblables, en général ce sont les victimes qui se chargent en tortionnaires」
Nath & Compagnie
Nath ne s'était pas coucher. Non il attendait la venue de Kira mais plus le temps passait plus il commençait à se faire du soucie. Tournant en rond comme un lion en cage il prit sa veste et quittait l'appartement de Kira où il logeait avec sa chérie provisoirement et descendit dans le hall du casino. Nath traversait le grand salon où se trouvait encore quelque quelque joueurs au table a espérer gagner le gros lot. Arriver à la porte de service il passait son badge puis poussait la porte traversant le couloir et passant devant la zone de sécurité avant de rejoindre Big Ed à son bureau.
Vous avez eut des nouvelle de Kira ? Je commence a m’inquiéter.
Demandait-il a Ed qui fut surprit par cela. La voyant sorti son téléphone, Nath en fit de même téléphonant a une amie de Kira qui annonçait que elle avait déjà quitter la fête depuis un long moment et a pied. Nath surprit regardait Ed en lui expliquant la situation et celui-ci attrapait a son tour sa veste fessant signe à Nath de l'accompagné. Alors que il était sur le siège passager, le téléphone sonnait de Nath regardant le numéro il vit que c'était celui de l’hôpital des urgence. Décrochant en redoutant le pire on lui annonçait que Kira était à l'hôpital sans donner plus d’information. Annonçant la nouvelle à Ed c'est pied au plancher que ils rejoignaient l'hôpital. Arriver a celui-ci, les deux hommes demandèrent où se trouvait Kira et après que la jeune femme aient comprit se qu'ils voulaient ils se rendaient à la chambre ou elle se trouvait. Arriver sur place Nath restait figé en voyant Kira dans cet état posant les mains sa tête en espérant être dans un mauvais rêve et qu'il allait se réveiller et que elle serait à ses côtés. Malheureusement cela était la triste vérité. S'avançant vers le lit, il prit la main de Kira sans la sienne lui serrant doucement.
...
Invité
Sujet: Re: Respire ∆ privé 23rd Mars 2017, 10:44
that bitch call karmaღ Edward + Nath + Kira + Co.
Ed était a son bureau a surveiller les moniteurs quand Nath arrivait en lui annonçant si il avait des nouvelle de Kira. A cette question il fut surprit, pourquoi devrait-elle lui donner des nouvelle elle était sorti mais voyant le visage de Nath inquiet, Ed senti que cela ne tournait pas à la normal son portable sorti il téléphonait à sa fille mais tombait sur sa messagerie directement. Nath lui annonçait que Kira était parti depuis une heure celons une amie et cela était très mauvais. Se levant il prit sa veste puis annonçait à Nath de l'accompagné. Dans sa voiture, Ed se demandait ou se rendre mais connaissant le chemin de l'amie de Kira jusqu'au Casino peu être que ils la croiseront mais les quartier était vide. Arrêter à un feu rouge, le téléphone de Nath sonnait il le laissait répondre et quand Nath annonçait que Kira était à l’hôpital, Ed fonçait a celui-ci quitte a se faire flashé par al police. Arriver sur place les deux hommes durent secoué l'infirmière pour que elle leur annonce où était Kira. Et quand ils eurent enfin l'information et que ils arrivaient dans la chambre, Ed restant dans l'entré quelque instant. Il avait la sensation d'un déjà vu, une mauvais film qui se repassait a nouveau devant ses yeux. La tristesse l'envahissait mais surtout la rage, quel monstre pouvait faire cela à sa fille. Ed se jure de le retrouver et de lui faire payer. S'avançant, Ed regardait sa fille un instant et passait sa main sur son visage. Intérieurement il était détruit mais il ne voulait montré aucun signe de cette faiblesse sortant dans la chambre, il passait sa main sur son visage et vit un médecin très occupé à charmé une infirmière. S'avançait il le saisit pas sa blouse et l'attirait avec lui vers la chambre de sa fille.
Je voudrais des explications, que s'est-il passer ? Et comment va t-elle ?
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Invité
Sujet: Re: Respire ∆ privé 11th Avril 2017, 14:23
Respire
Même si Wyatt travaille pour le CSI, il lui arrive parfois de prendre des gardes de nuit à la morgue du Mount Sinai, non pas parce qu'elle à besoin d'argent, mais plutôt pour rendre service au médecin chef qui est un ami. Aussi ce soir, elle est de garde. Mais comme il n'y à pas de mort à autopsier, elle s'ennuie un peu au sous sol. Aussi elle décide de monter faire un tour aux urgences pour discuter un peu avec le titulaire de garde et prendre un café en compagnie de vivant. Aux urgences, accoudée à l'accueil, son gobelet de café en main, elle en boit une gorgée, quand elle entend une conversation et deux hommes visiblement agité demander après Kira Dellinger. Sa Kira ? Pendant que les deux hommes vont rejoindre la chambre dans laquelle se trouve Kira, Wyatt demande davantage d'explications à l'infirmière et finit par lui prendre le dossier des mains pour le lire par elle même. Elle garde le dossier et va les rejoindre quand elle voit le plus âgé attraper l'un des médecins par le bras et l'entrainer de force dans la chambre, elle va calmer le jeu.
Doucement calmez vous Monsieur Dellinger. Elle à mis du temps à le replacer, mais Kira lui avait déjà montrer des photos de lui en disant que c'était son père. Puis elle regarde le médecin et lui donne le dossier. Faites votre travail Docteur, les pauses drague ne sont pas prévu dans votre internat et expliquez au père de votre patiente ce qu'il se passe.
La vie aux urgences n'est pas simple, chaque personne qui entre ici n'est pas assurée d'en sortir. La jeune femme est installée sur un brancard, elle circule dans les couloirs, les premiers soins sont apporté et les premiers examens fait. Il faut attendre maintenant.
La standardiste fait son travail et appelle chaque numéro de la liste d'urgence trouvée dans le téléphone de la victime pour prévenir un maximum de personnes. Les premiers résultats sont sur le point de tomber quand deux personnes se présentent. Elles trouvent le chemin vers la chambre de la demoiselle et bien entendu, c'est le choc. Il n'y a aucun médecin présent pour expliquer les choses, alors naturellement le père interpelle le premier médecin qui passe, rapidement rejoint par une femme qui semble savoir qui il est et tendant un dossier. Les résultats qui s'y trouvent ne sont pas très bon et maintenant il va falloir trouver comment annoncer la nouvelle. Faisant appel à son courage et après avoir lu les résultats présent il soupire il s'agirait d'une agression, une agression violente, qui a dégénéré. Votre fille est actuellement dans un coma artificiel, elle a plusieurs hémorragies interne que nous avons réussi à stopper, son poumon droit à été touché, nous ne savons pas encore à quel degré s'élève le traumatisme, il faut attendre le médecin ferme le dossier et regarde les visiteurs avec une certaine gêne dans le regard et ... Elle à également été agressée sexuellement, je suis désolé . Comment annoncer ça aux proches ? Est-ce qu'il y a vraiment une manière adaptée ? Le médecin fait demi-tour la tête basse, d'autres résultats ne vont pas tarder, en attendant il n'y a plus qu'à attendre et prier pour que le coeur soit assez fort, que le corps se batte pour revenir vers ceux qu'elle aime.
